Métaphore Animiste

Si le poème s'achève sur un constat d'échec, Rimbaud affirme pourtant que dans cette entreprise, il est allé plus loin que les autres, mais finalement, incapable d'admettre les limites qu'il rencontre, il finira par renoncer à la quête (midi, métaphore de l'âge adulte, sera l'heure du départ et du silence). Une question reste en suspens : est-ce un conte ou un récit de rêve ?

ont un rapport avec la crusifiction. Le personnage de Hamm est cloué dans un fauteuil, allusion métaphorique de la crusifiction. L'espace scénique est une scène unique, c'est un espace de vie comme c'est un espace de mort. C'est aussi une sorte de métaphore du monde tout entier, aspect métaphysique . L'espace scénique n'existe que par ses fonctions qui se superpose. 1) des personnages sans identité C'est la première caractéristique du personnage beckettien. Chez Beckett le personnage ne se construit

propre système sémantique, et la liaison même des mots aux choses par le symbolisme des sons, les rapprochements établis entre les objets par la loi analogique de la métaphore, tout cela participe d’un processus général de concentration poétique. C)Puissance de l’imagination C’est du reste la métaphore que pense avant tout Roudaut lorsqu’il évoque le paradoxal scintillement de l’illumination poétique : « l’illustration d’un élément donne pour premier par quelque

soustraits au système hiérarchique de la grande culture classique. « J'ai tout regardé », concédait Francis Bacon. « Je suis plutôt comme une grinding machineune broyeuse à travers laquelle tout est passé. » L'art, dit-il en ces termes, est une métaphore de l'appareil digestif dont l'art est le produit. C'est ainsi que l'image de la nurse, extraite du film d'Eisenstein Le Cuirassé Potemkine, se mêle inextricablement, dans le tableau de Bacon, à la figure du souverain pontife peinte par Velázquez

distingue par l’emploi du pronom « je » mais dans l’ensemble du poème, il emploie le pronom « nous » v. 1 et 34: image d’un couple uni - Par ailleurs, le lexique associé à la femme est très valorisant : elle est idéalisée par le poète : ➢ Métaphore des astres : « Etoile de mes yeux, soleil de ma nature ». insistance car occupe le vers entier, parallélisme de construction et les mots portent l’accent ➢ Emploi de tournure emphatique (vocatif) 2 X : « ô la reine des grâces » 42, « ô

La Bicyclette de J. Réda 1989 le poème est composé de 20 vers de 14 syllabes et d'un seul alexandrin au vers 7 Au vers 3,5,6,11,18,19,21,20,la lumière joue un rôle fondamental dans le poème, le champ lexical de la lumière est particulièrement étendue , il est possible de classer le champ lexical en plusieurs catégories: «soleil» vers 3 unique source lumineuse thèmes se rapportant à l'unité lumineuse vers 3,5,6,17,18,19,20,21 vers6 notation de couleur vers11 vaste réseaux

rendre les faits évoqués plus vrais.
 - Présence d’ironie qui montre sa prise de position : modalisateurs d’opinion (« naturellement », « A les lire », « n’échappait à personne », « on pouvait avoir », « d’ailleurs peu raisonnable »…)


 II. Une métaphore : l’occupation nazie pendant la Seconde Guerre Mondiale

 A. La ségrégation 

- La disparition de l’égalité : mot « égalité » répété (premier paragraphe), excepté devant la mort. 
- Antithèse entre « l’impartialité efficace » et « le jeu normal

"J'ai attendu trois heures ". ~L~ Leitmotiv : retour de la même formule à plusieurs reprises dans un texte. Litote : dire le moins pour exprimer le plus Ex : Chimène disant à Rodrigue dans le Cid "Va, je ne te hais point"(= je t'aime). ~M~ Métaphore : rapprochement de deux éléments liés par une analogie, comparaison sans outil de comparaison, qui crée une image. Ex : "Déjà la nuit en son parc amassait un grand troupeau d'étoiles vagabondes". Métonymie : Désigner un objet ou une idée par un

de la crise (5 quatrains. Alexandrins) - 1er quatrain : Impression d'étouffement, d'encerclement. Le ciel est un couvercle qui enferme l'esprit à la manière d'un cercle. - 2ème quatrain : Confirme le 1er. Prison, isolement. - 3ème quatrain : Métaphore significative, forte et claire. Pluie = immense prison, vaste (v.10) d'abord extérieure au poète en proie au spleen, finit par être intérieure. Prison physique → prison psychique. « Filet au fond de nos cerveaux » (v.12). Météo montre délire intérieur

expriment la continuité  longue phrase qui dure jusqu'à la fin des quatrains :                     1. proposition principale                     2. proposition subordonnée CC de but                     3. proposition subordonnée hypothétique - métaphore filée du navire qui marque la traversée : "aborde", "vaisseau", "grand aquilon" - vers 7 "chaînon"  idée de continuité qui établit l'immortalité L'objectif est de faire rêver et la poésie est une essence divine, c'est pourquoi elle est immortelle