Métaphore Animiste

Interjection et apostrophes - Phrases exclamatives - Rythmes brisés - Lexique des émotions (souffrance, pitié, peur…) | Emouvoir le destinataire, éveiller sa compassion. | Polémique | - Marques de la première personne  - Procédé de dévalorisation (métaphores dépréciatives, antiphrases ironiques)  - Procédés d’insistance (anaphores, accumulations)  - Apostrophes - Provocations - Lexique de l’émotion (indignation, surprise) | Défendre ses idées. Opposer ce que l’énonciateur juge bon à ce qu’il juge

pierre » : alliance concret / abstrait, vocabulaire poétique • « comme un sphinx incompris » • « blancheur des signes » : statue antique d’une blancheur immaculée B) La beauté personnifiée • Reprise du mythe de Pygmalion dans les métaphores d’Ovide : Pygmalion sculpta une statue de femme d’une blancheur d’ivoire si belle qu’il en tomba amoureux. Il demanda donc à Aphrodite de la transformer en femme, celle-ci exauça son vœu et la femme devint la beauté personnifiée. • « pierre »

son long cheminement des ténèbres vers la lumière. Le crapaud IntroductionI) La révélation d'une "sainte énigme" : la pitié est l'unique fondement d'une morale universelleA. Le jeu des antithèses et la revalorisation du négatifB. Le jeu des métaphores illustre de manière concrète la thèse de HugoC. La pitié : valeur morale universelleII) L'âne et le philosopheA. Retour sur les protagonistes de la fableB. L'âne et le philosophe : une vérité sensible au coeur et non à la raisonIII) La bonté, vertu

buah » ; « le vilain méchant » -Fascination : homme Cl de la fascination + applaudissements Hyperboles * Quasimodo est à la fois attirant et repoussant : Paradoxe II. Une écriture monstrueuse A. Inspiration mythologique et biblique Métaphores : comparé à un cyclope (mythologie) Réf au diable (personnage biblique) * Q est roux : dans la bible les personnages roux sont maléfiques Donc : mythologie, bible, symbole de la lumière Q boite : déséquilibre, faiblesse Borgne : malfaisance

métamorphose, illusion, différents masque, instabilité. 1) PARADOXE DE L'HYPOCRISIE L'art de composition : DJ fait l'éloge de l'hypocrisie : hyperbole = « merveilleux avantage » Champ lexical du théâtre : « personnage, « profession », « art » Métaphore des habits : « rhabillé », « manteau de la religion », « habit respecté » Gestuel : « baissement de tête », « roulement d'yeux »... ð n'importe qui peut être hypocrite avantage de l'hypocrisie : opposition frappante : « impunité souveraine »

se montrer fort et combatif (comme le lui demande Frère Laurent...). Quant à Juliette, elle est en hauteur et là encore il faut faire parler cette situation : en hauteur, elle est comme une « étoile » à laquelle Roméo la compare et si on file la métaphore religieuse de la scène du bal, le balcon fait de Juliette, une « déesse » une madone qu'on adore et à qui on voue un culte. Et si l'on compare l'attitude des deux personnages devant l'adversité, on constate que Juliette est la plus « virile » de

Analyse les contemplations Victor Hugo est on homme littéraire du 19eme Siècle qui mélange tout les genres : Poésie théâtre et romans mais qui est aussi un des plus grands auteurs romantique de la littérature française. Les textes romantiques on la particularité de faire part au lecteur de leur sentiments et de leur intimité, généralement l’amour. L’inspiration s’ouvre aux domaines inconnus comme le rêve ou l’imagination. Le héros romantique est torturer et une sombre fatalité pèse sur lui, dans

bras d’Hercule ». 1) - Force physique : quelque chose de direct et brutal - La Fontaine dit qu’ « Hercule » rime avec « ridicule ».  Quel propos indirect ? Quel message ? (syntaxe, vers, rythme) - Un Dieu apparaît dans la Fable : Métaphore du Roi. - C’est la monarchie absolue et la présence du Roi. - Le paysan est en bas du Clergé ; On a le champ lexical de la misère. 2) - Paysan ruiné donc odieux : Importance dans le discours  Apostrophe et vers expressif

Il analyse la tirade de Tartuffe qui apparaît comme un séducteur flatteur et hypocrite, démasqué par son argumentation. Texte analysé: Ah ! pour être dévot, je n'en suis pas moins homme ; Et lorsqu'on vient à voir vos célestes appas, Un coeur se laisse prendre, et ne raisonne pas. Je sais qu'un tel discours de moi paraît étrange ; Mais, Madame, après tout, je ne suis pas un ange ; Et si vous condamnez l'aveu que je vous fais, Vous devez vous en prendre à vos charmants attraits. Dès que

manifestée : Rien ne nous proscrit de la mort, ni la gloire, ni l’intelligence. L’antithèse entre « ouvrent les yeux à la lumières » et « ferment pour toujours leurs paupières » souligne cette vanité qui traduisent la naissance et la mort. Au vers 13, métaphore du tribunal : l’Homme a beau se défendre, se révolter comme un accusé, il mourra un jour = vanité. Le rythme ternaire souligne cette vanité au sens physique « la beauté, la vertu, la jeunesse » . L’hyperbole « tout » traduit la vanité. L’antithèse