Métaphore Animale

semblable à l’Éden, en 4 sous-parties : - Une localisation géographique à l’ancienne : • géographie homérique ou virgilienne (antique) • métaphores :* « Colonnes d’Hercule » -> les montagnes *« La terre de Tharsis » -> péninsule libérique. - Une contrée tempérée : • description des conditions climatiques (l.5-6) • métaphore archaïsante (l.7-9) -> ancrer la géographie dans un contexte antique. - Une région riche : • description de l’environnement, du paysage:

est présenté au commencement du jour ,car Colette aime l'aube « j'aimais tant l'aube » , au moment de son réveil comme l'atteste la présence du champs lexical des origines : « premier souffle » ; « premier oiseaux » ; « bleu originel » . La métaphore de l'éclosion « le soleil encore ovale ,déformé par son éclosion... » ou le soleil est comparé à un oeuf sur le point d'éclore, ne fait qu'embellir le caractère frais et pur de cette aube naissante. De plus la Nature représente ici un refuge ou

entre "montait" et "descendait" + oxymore "la carcasse superbe" v13).  PROBLÉMATIQUE Comment définiriez vous ce poème? I. La place de la femme. a) L'éloge de la destinataire: apostrophe (→ termes mélioratifs, hyperboles "reine des grâces", métaphore "mon ange" "soleil de ma nature").  Déterminant possessif: "mon âme".  "Mon ange", "ma passion" → relation amoureuse.  b) Femme complice et spectatrice: évocation d'un souvenir commun, promenade amoureuse "nous vîmes" (pluriel+passé simple) = cadre

un véritable réquisitoire pour la dénoncer. I. Un anti-héros et témoin principal Comme nous l’avons précédemment indiqué : Bardamu, engagé sur un coup de tête dans l’armée, découvre ici l’horreur d’être au front, une découverte exprimée par une métaphore à la ligne 6 « J’étais dépucelé » : il faut comprendre par là qu’il a perdu son innocence mais aussi ses illusions. Ainsi le narrateur nous livre ses sentiments et ses réflexions : il éprouve d’abord de la solitude « seul » l7., du regret de ne pas

Classes de 1res S et ES   Correction de l’examen de février  Question sur le corpus.  Le  corpus  réunit  quatre  poèmes  composés  dans  la  seconde  moitié  du  XIXè  siècle  dans  lesquels les poètes font l’éloge d’un animal ou d’un objet repoussant. Ainsi Victor Hugo se  fait‐il  le  défenseur  de  l’araignée  et  de  l’ortie  dans  « J’aime  l’araignée »  extrait  de  Les  Contemplations publiées en 1856. Baudelaire décrit une charogne repoussante dans « Une  charogne »  tiré  du  recueil   Les 

beaucoup de poêtes. En 1857, Baudelaire publie le recueil Les fleurs du mal Proposition de plan : I-La chevelure de la femme permet le voyage : -Particularités de la chevelure (texture, couleur) -Une sensualité (moment et lieu, voc. animal) -Chevelure = image de la mer II-Ampleur dans le mouvement : -Eloignement géographique de la destination -Bonheur exotique : il faut aller loin pour le trouver -Plaisir extrême atteint grace à la chevelure -Eblouissement

"les champs", "la terre", "les animaux". C'est donc la faune et la flore qui doivent instruire la vie de Jeanne. La procréation a alors lieu selon les lois de la nature, on en retrouve le champ lexical: "fécondée", "amour", "tendresse". Les deux infinitifs "ouvrir" et "dégourdir" scandent la phrase. Le complement d'objet direct est suivi de trois complements du nom dispose en rythme ternaire qui nous montre le projet du père: la découverte de l'amour par les animaux et donc l'éveil à la vie. Il veut

une langue plus poétique que théâtrale [III]. I. Le public de théâtre, mille corps en un seul Du texte se dégage une définition originale du public de théâtre. 1. Un être de chair Lechy Elbernon souligne la dimension physique du public par la métaphore « de la chair vivante et habillée » (l. 18) et par la métonymie de « l’œil » et de « l’oreille » qui le désignent (l. 33). Elle le définit essentiellement par les sens : il « entend », il « voi[t] » ; ils « écoutent », « regardent ». La comparaison

qui rend Dom Juan condamnable « La profession d’hypocrite a de merveilleux avantages. C’est un art de qui l’imposture est toujours respectée » Le nom « profession » est une métaphore qui renvoie encore à l’hypocrisie comme une banalité mais qu’il faut savoir gérer (comme un métier). Observation d’une deuxième métaphore avec « art » qui désigne l’hypocrisie comme quelque chose de précieux qui est admirable. Merveilleux avantages : adjectif qualificatif « merveilleux » qui amplifie grandement le

comparant outil comparé Point commun • La métaphore : variante de la comparaison, la métaphore consiste à établir un lien de comparaison entre deux éléments sans pour autant utiliser d’outil. → La Terre est une orange. • La personnification : consiste à attribuer des caractéristiques humaines à un objet ou un animal, quelque chose de concret. → Une armoire boiteuse. • L’allégorie : variante de la personnification, l’allégorie