Métaphore Animal Poéme

comme cet amant éploré qui charmait dieux et animaux grâce à son chant, la vision traditionnelle de la poésie semble rimer avec expression des sentiments. En effet, plusieurs auteurs ont utilisé leurs poèmes pour se représenter et mettre en scène leur souffrance en tant que poète. Baudelaire dans son poème tiré des Fleurs du Mal choisit de représenter, à travers l’allégorie de l’Albatros, l’aspect marginal du poète. Comment Baudelaire grâce à un poème fondé sur le symbole de l’Albatros propose-t-il

et substitution. Le poème confère aux images une valeur et un sens qui en font les instruments privilégiés de ce qu'on appelle la fonction poétique. Les figures d'images sont appelées figures d'analogie et de substitution car elles permettent de rapprocher des mots, des sens, ou au contraire de créer des détournements de sens, de jouer sur les mots et leurs connotations. On trouve parmi elles : ● La comparaison, la plus simple et la plus reconnaissable, ● La métaphore, qui est une comparaison

Introduction Victor Hugo, auteur romantique légendaire du XIXème siècle, écrit en 1856 un recueil intitulé Les Contemplations. Dans cet œuvre tout se penche sur la misère et l’injustice sociale. Mélancholia est un poème en alexandrins qui est tiré de ce recueil. Il montre l’un des sujets qui intéressé le plus Victor Hugo, celui du travail des enfants. Tout d’abord, l’auteur veut nous faire prendre conscience de la durée des journées de travail que les enfants ont à faire. Avec les marqueurs

ces jeux de correspondances entre le poète et l’animal, puis nous nous intéresserons à la signification de ce portrait symbolique. I – Une analogie surprenante : Le poème  se présente d’abord comme une marine (tableau représentant une scène liée à la mer) qui va s’avérer être un trompe-l’œil. A – Une marine : Le poème s’ouvre sur la narration d’une scène maritime ainsi qu’en témoignent les termes appartenant au champ lexical de la mer et de la navigation (oiseaux des mers/ le navire/ la tempête/

| |la métaphore |met en relation de manière implicite (= sous-entendue) | |b. absence d’outil de comparaison. Le comparé est | | |deux éléments , le comparé (qui est parfois |b. Ce (les soldats) n’était plus que des sacs d’os. |identifié totalement au comparant. La métaphore met en | |

marque la fin d'une mesure. Les vers longs comportent plusieurs coupes : la plus importante placée au milieu est appelée césure. Exemple : « Sur ce baisé / je meurs ! » - W. Shakespear, « Roméo et Juliette »   6. L’enjambement, le rejet Dans un poème, un enjambement est le rejet au vers suivant d’un ou plusieurs mots nécessaires au sens du premier vers. On voit que la phrase dépasse la limite du vers et continue sur le vers suivant. Exemples : •Racine, Britannicus, acte I, scène 2 : Mais puisque

outil de comparaison. La musique souvement me prend comme une mer. ( Baudelaire ) La métaphore Rapprochement de deux éléments sans outil de comparaison Je me suis baigné dans le poème de la mer. ( Baudelaire ) Métaphore filée Métaphore développée à travers plusieurs expression d'un texte. La Personnification Prêter des comportements ou des sentiments humains à un être inanimé ou à un animal. La cathédrale explique tout, a tout enfanté et conserve tout. Elle est la mère, la reine

séduit voyageur et les emméne pr les noyer. Sylphe et les sylphides, sirénes... Le poéte s'inspire d'une autre source d'inspiration, charme ondulatoire en nocturne des nymphes des eaux germaniques. Théme Ondine reprit ds musique et litté. Théme de ce poème est scéne de séduction qui échoue de peut car poéte hésité. Compo, 3 strophes en discour direct, chanson d'ondine et 2 suivantes, récit qui inclut dialogue. 1Ére strophe délivrant style indirect le discour de Ondine et la suivante du poète. Exemple

De plus du vers 118 au vers 121, le poète utilise un rejet, une métaphore et une antithèse « innocents dans un bagne, anges dans un enfer » qui toutes rejoignent la même idée : Le travail éternel et perpétuel. Il y a une personnification des machines avec des animaux dangereux et féroces au vers 119 « sous les dents d’une machine ». Il y a une insistance sur la peur des enfants, face à d’horribles machines, grâce à la métaphore filée au vers 120 « monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans

France, mère des arts p.111: 1. Prosodie : Genre : Sonnet 2 quatrains (2 strophes de 4 vers) 2 tercets (2 strophes de 3 vers) Volte (Changement de sujet) Pointe (Une formule bien formulée qui résume tout le poème) Ce titre est un incipit  On prend les premiers mots du poème. Mesure : Octosyllabes : 8 Décasyllabe : 10 (4+6) Alexandrins : 12 (6+6) Comment compter ? Toutes les syllabes Toutes SAUF le e- muet final de la rime féminine. Elision  2 voyelles qui rencontre n’en font qu’une