Métaphore Animal Du Poète

d'Etat du 2 décembre 1851, il doit prendre le chemin de l'exil jusqu'en 1870. Installé à Jersey et Guernesey, il écrit 'Les Châtiments', et 'Les Contemplations'. De retour enFrance, à plus de 60 ans, il entame la rédaction de 'La Légende des siècles'. Poète romantique, dramaturge en rupture avec les codes classiques, et auteur de romans mythiques, Victor Hugo a connu la gloire populaire et la reconnaissance de ses pairs. 2 . A la découverte de l’œuvre : Hugo écrit Les Contemplations en 1856 alors qu'il

d’autre objectif que la beauté de l’objet produit) Baudelaire assigne à la poésie un autre rôle : celui de chanter le Mal, le spleen ( < de rate en anglais) qui marque l’homme de ses humeurs noires. La poésie naît de ce terreau infâme qu’est le Mal du poète, le Mal de l’homme. Véritable prologue ou préface ce texte donne tout d’abord le sujet de l’œuvre Baudelaire présente une vision très pascalienne de l’homme : ce philosophe du XVIIème disait « Que le cœur de l’homme est creux et plein d’ordure » La

« La Cour du Lion » Jean de La Fontaine. ( INTRODUCTION ) Jean de La Fontaine est un poète français de la période classique, inspiré par les fabulistes de l’Antiquité gréco-latine, pour ses fables et qui font de lui sa renommée. « La cour du Lion », extrait du livre VII du deuxième recueil des fables de la Fontaine est un travail de réécriture d’une fable de Phèdre. En quoi Jean de la fontaine dénonce t-il la société ? Et comment fait-il pour porter la satire de cette fable ? Tout

de métaux simples en métaux précieux, a donné naissance à diverses théories. En poésie, l’alchimie est une métaphore qui insiste sur la capacité du poète à transformer ce qui semble laid, comme la boue, en une chose admirable, comme l’or, et donc à révéler la beauté du monde. Ce thème a été souvent repris, par exemple par Baudelaire ou Tristan Corbière, mais aussi par Victor Hugo, célèbre poète romantique du XIXe siècle. Dans son texte « J’aime l’araignée et j’aime l’ortie » issu des Contemplations

Raccommodé Échine : Partie de la colonne vertébrale s'utilise préférentiellement chez les animaux. Croupe : Partie postérieure du cheval qui s'étend des reins à l'origine de la queue et familièrement le postérieure d'une personne. Ulcère : Plaie qui ne cicatrise pas. Rimbaud décide de détruire cet idéal de Venus que l'on retrouve dans les premiers vers. Il la décrit comme une femme grosse et l'assimile aux animaux croupe, échine. Au lieu de sortir de l'écume de la mer, elle sort d'une baignoire populaire

disproportion entre les deux parties est frappante. PREMIERE PARTIE (vers 1-vers 13 jusqu'à bercent) Elle développe l’action que la musique a sur le poète, l’élan qu’elle lui donne. VERS 1 : UNE COMPARAISON POLYSEMIQUE Le premier vers énonce en effet le thème principal du poème qui est celui de l’emprise de la musique sur le poète. Comparaison : La musique (comparé) est comme une mer (comparant). On perçoit ici le dénominateur commun des deux termes : c’est le mouvement (celui du

Au pauvre animal. Plaignez la laideur, plaignez la piqûre, Oh ! plaignez le mal ! Il n'est rien qui n'ait sa mélancolie ; Tout veut un baiser. Dans leur fauve horreur, pour peu qu'on oublie De les écraser, Pour peu qu'on leur jette un œil moins superbe1, Tout bas, loin du jour, La mauvaise bête et la mauvaise herbe Murmurent : Amour ! 1Ici : méprisant. * * * [Introduction ] ​Il s’agit d’un poème de Victor Hugo, célèbre poète du XIXesiècle, chef

Gala, la compagne du poète, puisqu'il s'agit d'elle, ici, s'élargit, ainsi, à l'univers, au cosmos, et ce, par le simple jeu grammatical de l'expansion du substantif, « (tes) yeux ». Se tissent, en effet, des réseaux lexicaux faisant d'« elle », tour à tour, et à la fois, le réceptacle : -  des quatre éléments : l'Air (« vent/ciel »); l'Eau (« rosée/mer ») ; la Terre (« mousse ») ; le Feu (« astres »). -  de trois règnes : végétal (« feuilles/mousse/roseaux/paille ») ; animal (« ailes/couvée ») ;

A la suite de ces portraits, l'homme et la femme constituent de véritables allégories et vont donc devenir le symbole d'une classe : la classe des pauvres pour l'homme et celle des riches en ce qui concerne la femme. Pour cela, Hugo emploie une métaphore en chosifiant l'homme en tant que "spectre de la misère" tandis que la "gloire" représente la femme, la classe supérieure. L'auteur de par ces procédés, met en exergue la fracture entre ces deux mondes nullement liés. Pour prouver son engagement

chaque fois, un ou plusieurs verbes de mouvement rythment l’évocation de la femme. Le poète file la métaphore de l’eau et de la mer parce qu’elle permet de donner ce mouvement régulier et doux : danse, balance, se penche, s’allonge, roule, remonte. Tous participent à cette sensation, d’autant plus que les assonances en voyelles nasales assourdissent le poème et atténuent la violence du mouvement. Cette grâce animale ne laisse pas d’être inquiétante par son absence de passion humaine. Que penser des