Médée Euripide Anouilh

RACINE, Phèdre, I, 3, 1677 Image : J. RACINE, Britannicus, mise en scène de B. Jaques-Wajeman, 2004 194 194 195 195 Corpus ⁄ ¤ ‹ › ∞ 6 ‡ EURIPIDE, Les Troyennes, 415 av. J.-C. P. CORNEILLE, Horace, IV, 5, 1640 P. CORNEILLE, Cinna, III, 4, 1642 J. RACINE, Andromaque, III, 6, 1667 J. RACINE, Bérénice, IV, 5, 1670 J. ANOUILH, Antigone, 1944 OUVERTURE CONTEMPORAINE J.-P. SARTRE, Les Troyennes, 1965 OUVERTURE CONTEMPORAINE 196 198 201 204 206 208 209 Pour argumenter

dell’arte à la codification de la règle des 3 unités (1 lieu, 1intrigue, 1jour) puis aux mélanges des genres de nos jours sans contrainte et sans codification. Pour la tragédie, apparue d’abord avec des chants arrive à mettre en scène avec Sophocle ou Euripide le malheur qui arrive à de nobles personnages proposant une réflexion sur le destin de l’homme ; puis sera, tout comme la comédie, codifié pendant la période du classicisme par des contraintes esthétiques et dramatiques spécifiques. Puis une nouvelle

cherchera-t-on à dénoncer en ressuscitant un tel personnage ? • On peut aussi choisir un même mythe et étudier son passage de récit au théâtre par exemple. On peut citer ici, parmi les innombrables exemples, l’adaptation d’un passage de l’Odyssée par Euripide, le Cyclope. En étudiant minutieusement ce que suppose le passage du récit au drame (isolement et reprise du discours direct, transcription des descriptions et des actions dans les didascalies, coupes parmi les épisodes, choix du vers ou de la prose)

cherchera-t-on à dénoncer en ressuscitant un tel personnage ? • On peut aussi choisir un même mythe et étudier son passage de récit au théâtre par exemple. On peut citer ici, parmi les innombrables exemples, l’adaptation d’un passage de l’Odyssée par Euripide, le Cyclope. En étudiant minutieusement ce que suppose le passage du récit au drame (isolement et reprise du discours direct, transcription des descriptions et des actions dans les didascalies, coupes parmi les épisodes, choix du vers ou de la prose)

Deuxième chapitre Trois auteurs et tris œuvres 1-la place de Sophocle, Anouilh et Cocteau dans la littérature mondiale et leur rôle dans la création théâtre La littérature dans une communauté reflète l'aspect différents de la vie politique, sociale, économique ou culturelle, c'est à dire toutes les évènements favorable ou défavorable qui peut l'homme vivait le long de sa vie La littérature est liée à la civilisation des livres par lesquels nous exprime leurs sentiments et

revisité L’Oedipe de Sophocle Œdipe dans les œuvres contemporaines : quelles sont les raisons de l’actualisation de ce mythe (étudier le rapport entre l’époque et les œuvres) (Jardin des lettres p 216 … p244 à 249, s’inspirer du mythe de Médée) Dossier élèves Histoire des Arts I) Arts et Pouvoir La négritude : un mouvement contestataire (Césaire, Senghor…) Intérêt du choix : découvrir un mouvement littéraire et culturel Problématique : Quelles sont les origines

Acte I, scène 2 : l’éloge de l’infidélité Acte III, scène 1 : la scène du pauvre Acte V, scène 2 : la tirade de l’hypocrisie Acte 5, scènes 5 et 6 : le dernier combat de Dom Juan. Lectures complémentaires : Euripide, extraits de Médée (431 av. JC) et Anouilh, Antigone (1944) Antigone et Médée, révolte ou folie ? Du problème de l’identification au personnage révolté. Shakespeare Hamlet (1603), extrait de l’acte III, scène 2 : le théâtre baroque au service de la révolte. Molière, le Misanthrope (1666)

Représentantes. Eschyle (526 av. J-C. – 456 av. J-C). Les Perses (472 av. J-C) Les Sept Contre Thèbes (467 av. J-C) Les Suppliantes (464 av. J-C) L’Orestie (458 av. J-C) Promethée Enchaîné ( ? av. J-C) Euripide (480 av. J-C - 406 av. J-C). Alceste (438 av. J-C) Médée (431 av. J-C) Les Héraclides (430 av. J-C) Hippolyte Porte-Couronne (428 av. J-C) Andromaque (426 av. J-C) Hécube (424 av. J-C) La Folie d’Héraclès (424 av. J-C) Les Suppliantes (424 av. J-C) Ion (418 av

par les formes tragiques que les aventures d’Œdipe sont vivantes pour nous, traitées à la fois par Eschyle, Euripide et Sophocle. Ces trois sources prennent par la rareté des sources les précédents, la valeur de source première du mythe. De la trilogie que lui a consacré Eschyle, il ne subsiste que Sept Contre Thèbes, évocation de la rivalité entre Etéocle et Polynice, fils d’Œdipe. Euripide quant à lui consacre à la dynastie Thébaine Les Phéniciennes (abordant le même thème que la pièce d’Eschyle)

(catharsis) et propres à de telles émotions. » Au Ve siècle avant Jésus-Christ, trois grands tragiques, Eschyle, Sophocle, Euripide, ont chacun à leur manière fait évoluer le genre de la tragédie. Ils ont dans leurs pièces fait intervenir de plus en plus de personnages : d’abord, un seul acteur sur scène (le protagoniste), puis Sophocle introduisit un deuxième (le deutéragoniste), puis Euripide un troisième (le tritagoniste). En alternance aux parties dialoguées, les parties dansées et chantées du chœur et