Médee Euripide

littérature, les arts et la philosophie, il constitue une sorte de verre grossissant, à travers lequel l'humanité observe avec angoisse ce mélange de grandeur et de faiblesse qui la définit. On sait très bien que la tragédie grecque (Eschyle, Sophocle, Euripide...) pose essentiellement le problème du destin. Après la seconde guerre mondiale, l'homme s'interroge plus que jamais sur le champ d'action que lui offre une liberté illusoire ou réelle. Ce défi que la fatalité jette aux hommes, pour les inciter

Sophocle fut, avec Eschyle et Euripide, l’un des trois tragédiens ayant fortement marqués la Tragédie Antique Grecque. Ces œuvres sont très fortement caractéristiques de la période antique bien que ce soit un auteur quelque peu « innovateur ». Beaucoup de ses œuvres restent célèbres, on parlera notamment d’ Œdipe Roi, d’Antigone et bien sure d’ Electre. L’extrait que nous allons étudier se trouve au cœur de cette œuvre. Electre est une tragédie fondée sur la vengeance. Après la mort d’Agamemnon

ce sont d’anciens héros, pas parce qu’ils sont vieux. La littérature grecque de l’époque classique reflète l’idée que la vieillesse est une malédiction, synonyme de laideur, de souffrance et de rejet par la société. Les poètes et les tragédiens (Euripide, Eschyle) ont une vision négative de la vieillesse : à côté du cliché flatteur du vieux sage, il y a les figures pitoyables de vieillards décrépits et souffrants (Sophocle, Œdipe à Colone). Les auteurs de comédies ajoutent le côté ridicule du vieillard

sa faible santé). En 1872 il publie son premier ouvrage majeur « La naissance de la tragédie », « cette métaphysique d’artiste » selon ses propres dires, qui soulève un tollé chez les philologues. La tragédie grecque (avec Sophocle, Eschyle, Euripide ) est une œuvre d’art qui opère la synthèse entre l’esprit apollinien et l’état dionysiaque. Raison et ivresse sont inséparables dans la réalité humaine. Apollon est le symbole de la rationalité, de la mesure, de la raison, de la lumière, et Dionysos

av J-C et mort en 456av J-C. Il a entre autres écrit : les perses, les sept contre Thèbes ,l'orestie ou encore les suppliantes. Sophocle: né vers 495 av J-C et mort vers 406 av J-C. Quelques unes de ses oeuvres: Antigone, électre,les limiers. Euripide: né en 480 av J-C et mort en 406 av J-C. Quelques oeuvres: téléphe,les crétois,égée,palamède. .Les thèmes tragiques sont souvent l’héroïsme, l’honneur et la vengeance, l’amour, la fatalité. .6/Le personnage d'electre : a) C'est un membre de

tandis qu'il y a eu sou- vent des transitions entre l'économie domestique et l'éco- nomie urbaine (Stadtwirtschaft), aussi pour ce qui est des travaux faits par les femmes.1 C'est ainsi que chez Aristophane,2 dans le chant dans lequel Eschyle imite Euripide, il est question d'une femme, évidemment une simple ménagère, qui se plaint de devoir se lever de grand matin pour porter la laine filée au marché. Sans doute il faut admettre que la femme filait pour elle-même et toute la famille, et qu'elle tâchait

des décors et des costumes pauvres, tandis que les pièces baroques ont des décors et des costumes très riches  + III- L'idéal classique Les grands auteurs de l'époque, tels Corneille, Racine, Molière, La Fontaine, s'inspirent des Grecs, Euripide, Aristophane, Théophraste, Ésope et des Latins, Plaute, Térence, Virgile, Horace et Sénèque. La Bruyère s'inquiète, à la première page des Caractères, que tout soit dit : « En ce qui concerne les mœurs, le plus beau et le meilleur est enlevé ; l'on

|   Tous les décors sont peints sur des panneaux. Un dispositif ingénieux, l'eccyclème, permet, à l'aide d'une sorte de grue, de faire descendre du ciel les dieux sur la scène pour résoudre les conflits des hommes.Ce procédé très utilisé par Euripide, est appelé par les Romains deus ex machina (le dieu descendu d'une machine). Par extension, le deus ex machina est le personnage ou l'évènement dont l'intervention, même peu vraisemblable, apporte un dénouement à une situation sans issue. Afin

SÉQUENCE: THÉATRE Leçon I/ Petite Anthologie du théâtre Le théâtre prends son origine dans l'antiquité avec des représentations de tragédie dans la rue autour d'auteurs comme: Sophocle Euripide Eschyle Aristophane Théâtre Surréaliste Le Manifeste du Surréalisme, d'André Breton de 1924, dans la seconde de 1930, débute par l'éloge de l'imagination, de la folie et du Freudisme. Ces auteurs dramatiques créent une forme d'illusion nouvelle. Au lieu d'imposer comme vrai ce qui est représenté

Lycurgue (vers 330 avant J.-C.). Leur talent a néanmoins été reconnu et consacré par plusieurs victoires aux grandes Dionysies. Les sources documentaires disponibles permettent d'en compter treize pour Eschyle, dix-huit pour Sophocle et quatre pour Euripide (Meier, De la tragédie grecque comme art politique, Paris, Les Belles Lettres, 1991, p. 72). A partir du milieu du Vè siècle, on se mit à accorder également une distinction au meilleur protagoniste. Cette innovation souligne une importance accrue