Musique des Antilles françaises

La Réunion : acculturation, créolisation et réinventions culturelles par Christian GHASARIAN | Presses Universitaires de France | Ethnologie française 2002/2 - Tome XXXVII ISSN 0046-2616 | ISBN 2-13-052526-1 | pages 663 à 676 Pour citer cet article : — Ghasarian C., La Réunion : acculturation, créolisation et réinventions culturelles, Ethnologie française 2002/2, Tome XXXVII, p. 663-676. Distribution électronique Cairn pour les Presses Universitaires de France. © Presses Universitaires de France

Hip‐hop  signifie  donc  progresser,  avancer d’un point de vue social mais  créatif grâce à son intelligence.  hip‐hop,  rappelle  aussi  le  «  bebop  »  mouvement  jazz  apparu  après  la  seconde  guerre  mondiale  pour  la  continuité de sa musique.  Le hip‐hop est une vision de la société  et  de  tout  ce  qui  la  compose.  C'est  donc  dans  ce  ghetto  du  Bronx  que  va  se  situer  le  cadre  de  développement  du hip‐hop.  Cette  expression  répétée  par  les  «  MC’s  »  (maîtres  de 

Université des Antilles et de la Guyane Faculté des Lettres et Sciences Humaines – ISEF – Martinique Master – Arts, Lettres et Langues Mention : Arts, Lettres, Civilisation Spécialité : Langages, Cultures et Sociétés en milieu plurilingue Parcours : Didactique du FLE La Chanson : Vecteur Culturel en classe de FLE MÉMOIRE DE MASTER Présenté et soutenu par Laurence PORTUGUES Sous la direction de Monsieur le Professeur Mohamed MILED LABORATOIRE D’ACCUEIL : Centre

Hip‐hop  signifie  donc  progresser,  avancer d’un point de vue social mais  créatif grâce à son intelligence.  hip‐hop,  rappelle  aussi  le  «  bebop  »  mouvement  jazz  apparu  après  la  seconde  guerre  mondiale  pour  la  continuité de sa musique.  Le hip‐hop est une vision de la société  et  de  tout  ce  qui  la  compose.  C'est  donc  dans  ce  ghetto  du  Bronx  que  va  se  situer  le  cadre  de  développement  du hip‐hop.  Cette  expression  répétée  par  les  «  MC’s  »  (maîtres  de 

cinéma joue ce rôle aujourd'hui, ou bien la chanson populaire, rythmée, rimée, dansée. Le jazz peut-être, ou sous d'autres cieux, le calypso, le maloya, le sega. Le paradoxe ne date pas d'hier. François Rabelais, le plus grand écrivain de langue française, partit jadis en guerre contre le pédantisme des gens de la Sorbonne en jetant à leur face les mots saisis dans la langue populaire. Parlait-il pour ceux qui ont faim ? Débordements, ivresses, ripailles. Il mettait en mots l'extraordinaire appétit

Africaine et Arabe. Il y a des dossiers macro et micro économique, des enquêtes approfondies reflétant l’évolution du monde des affaires. 2.1.2 - La télévision CFI-TV : (Canal France International TV). Emise depuis 1999. C’est une chaîne de musique, de culture et de sport, elle s’est imposée chez les jeunes et est considérée comme un véritable pont entre l’Europe et l’Afrique. Canal satellite Horizons : Bouquet numérique de canal+ à destination de l’Afrique. TRACE@MCM : Anciennement MCM

leur calendrier est d’ailleurs très chargé, un cocktail de rendez-vous joyeux où se mêlent gastronomie, musiques et pratiques religieuses : le carnaval, le jour de l’abolition de l’esclavage ou encore les fêtes patronales ou religieuses. Chaque fête est symbolisée par un déguisement spécial, une musique ou bien un plat local comme le lundi de Pâques où l’on mange le Matoutou6. D’ailleurs, aux Antilles, la cuisine créole est très réputée pour ses plats épicés et ses délicieux mélanges de saveurs et d’épices

trouver aux Indes. Le 28 octobre il découvrit Cuba. Il effectua en tout quatre voyages entre l'Europe et l'Amérique : 2nd voyage (1493 – 1496) : Il embarque en 1493 avec 17 navires, dans le but de fonder une colonie sur Hispaniola, une île des Antilles. A Hispaniola, Colomb et ses hommes capturent 150 indigènes et les vendent comme esclaves. 3ème voyage (1498 – 1500) : Colomb débarque à Hispaniola fin août 1498. Il trouve la colonie agitée par des troubles orchestrés par Francisco Roldan. 4ème

contrées exotiques. Considérable est l'influence de l'exotisme sur notre littéra- ture et cette influence s'est exercée dans tous les temps. cet Préciser apport extérieur aux sources le nationales de la littérature française^ tel est but que nous nous sommes proposé. Mais, cet apport est tellement varié, c'est un fleuve ali- menté par tant de sources, ruisseaux, qu'une vie à en épuiser tous les grossi par tant de humaine n'eût point suffi éléments

. . 11 Nouvelle-Calédonie novembre 2003 . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 Pondichéry avril 2004 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 Amérique du Nord juin 2004 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22 Antilles-Guyane juin 2004 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25 Centres étrangers juin 2004 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30 France juin 2004 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .