Muses

triomphe de leur sage volonté ». Si ce texte fait immanquablement songer à la formule inaugu- rale de la Genèse, il ne faut pas s’y laisser tromper : dans le texte d’Hésiode, plus d’une centaine de vers précèdent le « commence- ment », qui célèbre les Muses inspiratrices du poète. Et le poète, en chantant les dieux, fait surtout l’éloge des derniers d’entre eux, les Olympiens, garants de la justice et du pouvoir royal : chant politique, donc, comme l’expose clairement Jean-Pierre Vernant qui 048423

est victime de cet amour, la figure du mal-aimé est utilisé dans des poèmescomme « La Chanson du Mal-Aimé » : Adieu faux amours confondu », l’amour estfaux et mauvais et fait du mal au poète. Le regret de ses relations passées avec ses muses est une thématique phare du recueil Alcools , il exprime son regret pour son amour non-réciproque pour Annie Playden qu’il rencontra en Allemagne, dans sespoèmes tel que : « La Chanson du Mal-Aimé » et « Anne ». Et

est doué pour ceci, telle autre pour cela, la répartition des tâches dans la cité doit être réalisée en fonction de ces aptitudes. « il existe telle femme douée pour la médecine, & telle qui ne l’est pas , telle femme douée pour les muses, & telle autre étrangère aux muses, tout cela par nature {….} il existe donc aussi telle femme douée pour la garde & telle autre non. N’est ce pas un tel naturel que nous avons sélectionné aussi chez les hommes doués pour la garde ? » → « ce sont donc telles femmes

décrire les astres, et de marquer les signes qu'ils nous présentent ». Pour réussir, il va jusqu’à demander l’aide des dieux, principalement des « muses aimables et douces » et du « père des hommes ». Hésiode dans ce texte qui est pourtant didactique réussi à garder une véritable poésie. Notamment avec de nombreuses références mythologiques. Il parle de muses mais aussi de l’origine des deux Ourses par exemple. Nous pouvons ici imaginer que le poète se veut vulgarisateur de quelque chose de technique

rythme haché - allitérâtion en ( m D - voyelles nasâliÉes => élegie ll, l,e mystère et l'irréversibilité de {ett* perte 1. Mystère et mythologie - ( Fortune D : personnifrcation antique du Sort - c rivage écarté I = Hélicon où demeur€nt fes muses - c danser {..,) lune } : inspiré d'Horace r r Déjà Vénus de Cythère conduÈ les danses,sous la lune u Or Erato, muse de la poésie lyrigue présente des analogies avec Vénus. - douceur 2. l"'irrév€rsibilité lll. La conception de la poésie 1. 1

Synthèse : Le Parnasse Mouvement Littéraire Le Parnasse Dates (approximatives) 1850 - 1860 Origine du terme « Parnasse » : référence à la demeure d’Apollon et des neuf Muses qui vivaient sur le mont Parnasse. Héritage Ce courant s’oppose aux excès du lyrisme romantique ; pour les parnassiens, il n’est pas normal d’engager l’art dans une cause politique ou sociale.  Souci d’impersonnalité : Refus de tout lyrisme, de toute expression des sentiments. Principes et  Doctrine

classique le motif de l’unique tombeau, davantage propre aux années 1580. ------------------------------- ORPHEE ET EURYDICE Orphée et Eurydice d'après Corot (1861) © Museum of Fine Arts, Houston, Texas. Apollon lui fit don d'une Lyre à 7 cordes; les Muses lui apprirent à en jouer et en leur honneur il rajouta deux cordes à sa lyre. Non seulement il attendrissait les bêtes féroces mais il charmait aussi par sa musique les arbres et les rochers au point qu'ils se déplaçaient pour le suivre et l'écouter

Histoire littéraireLe roman du Moyen-Âge à nos jours● Moyen-Âge- Le roman de chevalerie Il se développe à partir du XIIème siècle et Chrétien de Troyes en est l’un des auteurs les plus représentatifs. Premier romans écrits en français, qui héritent par bien des égards des épopées : - écrits en vers - personnages de chevaliers héroïques qui affrontent des épreuves

Beauvais à Port Royal au collège d'Harcourt à Paris. Il recoit également une importante culture grecque et latine. Jean racine En 1660, il recoit une pension du roi grâce à des odes qui sont : la Convalescence de Roi, la Renommée aux Muses et la Nymphe de la Seine. En 1664, il est introduit a la cour, grâce à un poème à l'éloge de Louis XIV. La même année il fait jouer l'une de ces pieces par la troupe de Molière. En 1665, il fait jouer Alexandre Le Grand qui sera son plus grand

des égyptiens. Dans les écrits homériques, le neuf a une valeur rituelle. Déméter parcourt le monde pendant neuf jours à la recherche de sa fille Perséphone. Léto souffre pendant neuf jours et neufs nuits des douleurs de l’enfantement. Les neuf muses sont nées de Zeus, lors de neuf nuits d’amour. Neuf semble être à la mesure des gestations, des recherches fructueuses et symbolise le couronnement des efforts, l’achèvement d’une création, pour mieux en préparer une autre.   En Chine, où ce chiffre