Musée d'art contemporain de Lyon

Cours histoire de l'art Semestre 2 Cours 1 Bibliographie BLUNT Anthony, Nicolas Poussin et son temps, Rouen, Musée des Beaux Arts, 1961 BLUNT Anthony, Art et architecture en France ; 1500- 1700, Paris, Macula, 1961 CHASTEL André, L'art Français. L'Ancien Régime (1620-1775) Paris, Flammarion, 2000 CHATELET Albert, Peinture française du XVIIIème siècle, Genève, Skira, 1992 DELAPIERRE Emmanuelle ( Dir. ) Rubens contre Poussin. La querelle du coloris dans la peinture française à la fin du

contre-jour alors qu’il vient d’avoir vingt ans, jusqu’au vieil homme fatigué, ridé, au nez bourgeonnant de 1669. En Espagne, on connaît plusieurs autoportraits de Murillo ou de Vélasquez, dont la frappante représentation au travail des Ménines (vers 1656, musée du Prado). Quant à Zurbarán, il s’est représenté en saint Luc, patron des peintres, aux pieds du Christ en croix (vers 1635). À remarquer Léopold de Médicis qui collectionna les nombreux autoportraits de son époque (XVIIe siècle) et qui sont exposés

traiter des domaines comme l'art contemporain, les arts non-occidentaux, très en poupe ces vingt dernières années). L'histoire de l'art est associée à des figures de discursivité (notion créée par Roland Barthes, désignant des personnes qui vont inventer un univers méthodologique nouveau dans leur discipline). Ex : Aby Warburg a inventé une méthode iconologique, à travers les questions des survivances. Ces modèles d'analyse sont souvent nés d'une œuvre d'art difficile à analyser. Ex. : Le

Daniel Roche il écrit «  la mobilité ne se réduit pas à la dynamique de la pauvreté. Autres choses peut donc aussi se jouer en ville» Solde naturel naître et mourir en ville Pour les contemporains les villes sont des tombeaux de l'humanité. C'est une image négative , la ville est redouter par les contemporains. Cette image est véhéculer par les médecins qui constatent la forte mortalité en ville. Ils prennent cs de l'impacte de l'environnement urbains sur la santé et publie tout des traités qui

populaire (11 millions de visiteurs) et financier. Paris, pour un été, est un lieu de fête. Les résultats de l’Exposition sont cependant loin de répondre aux attentes. Certes, l’industrie s’est modernisée et la France conserve son rang en matière d’arts décoratifs, mais la progression des ÉtatsUnis et des États allemands est patente. Quant aux idées sociales des organisateurs (patronage), elles ne reçurent un écho favorable qu’auprès de l’élite, et non auprès des ouvriers. Les expositions universelles

et donc d’interaction sociale dans l’espace public oblige à reconsidérer l’effet de centralité sous un angle symbolique et temporel. Le lien entre ces deux dimensions, constitutif de la centralité, est rarement pris en compte dans les approches contemporaines du phénomène. Or la capacité de symbolisation de l’unicité de la 3 BORDREUIL, Samuel, 1994, « Centralité urbaine, ville, mobilité », Le courrier du CNRS, n° 81 Or, « Il ne peut y avoir d’activité sans individus, et pas de centralité sans concentration

et donc d’interaction sociale dans l’espace public oblige à reconsidérer l’effet de centralité sous un angle symbolique et temporel. Le lien entre ces deux dimensions, constitutif de la centralité, est rarement pris en compte dans les approches contemporaines du phénomène. Or la capacité de symbolisation de l’unicité de la 3 BORDREUIL, Samuel, 1994, « Centralité urbaine, ville, mobilité », Le courrier du CNRS, n° 81 Or, « Il ne peut y avoir d’activité sans individus, et pas de centralité sans concentration

B.O.I. 4 C-200 du 5 mai 2000. Est cité l’exemple d’une entreprise informatique qui offre gratuitement à un important musée la création d’une base de données informatique de ses collections de dessins. mécénat en raison de la disproportion marquée entre le don et les contreparties reçues. En revanche, si l’entreprise exigeait, en contrepartie du mécénat technologique, que le musée équipe son centre de recherche exclusivement de son matériel informatique, alors la contrepartie serait une prestation

de telle sorte que la parcelle d’intelligence qu’on leur laisse est insuffisante pour former une épingle ou un clou entier. » Il rejoint alors spirituellement le groupe éphémère de la confrérie préraphaélite. Leur but était de promouvoir une forme d’art qui dériverait directement de la nature et non des conventions artistiques de la Renaissance. William Morris fut séduit par les conférences de Ruskin sur le sujet, et rejoignit le groupe. En 1858, la culture domestique préraphaélite fut pour ainsi

exigences du service public. Qu’ils en soient ici remerciés et qu’ils trouvent dans ce rapport un témoignage de leur travail et de leur engagement quotidien. L’année écoulée aura d’abord été marquée par le succès rencontré auprès du public par le Musée de la musique depuis sa réouverture, au terme d’une importante campagne de rénovation. Avec près de 200 000 visiteurs, la nouvelle présentation des collections permanentes a permis de mieux faire connaître un patrimoine qui ne cesse de surprendre par