Mrs Dalloway

qu'elle épouse l'état d'esprit des persos 2) la subjectivité du héros comme dynamique même du genre : Le roman épistolaire (Rousseau, Laclos) puis surtout Proust (incipit de Du côté de chez Swann), avec l'importance de la conscience, et Woolf dans Mrs. Dalloway. 3) la réalité transformée par le pt. de vue du héros : J'ai repris l'extrait de Stendhal (Fabrice heureux en prison) et fait le lien avec Le Rouge et le Noir; j'ai terminé avec l'inquiétude métaphysique des héros des Frères Karamazov qui confère

chemin: qu'est-ce donc qu'une promenade? Marche-t-on toujours au même rythme? Ne pourrait-on pas, dans un roman, décrire le chemin avec minutie (roman «psychologique», comme La Princesse de Clèves, ou «flow of consciousness» anglais, comme dans Mrs. Dalloway), plutôt que d'en montrer l'image dans le miroir? N'y a-t-il pas des chemins plus difficiles à parcourir que d'autres? Lorsqu'on marche, fait-on attention à tout ce qui borde le chemin sur lequel on marche, ou remarque-t-on plutôt ce qu'il peut

Boccace Fictions, Jorge Luis Borges • • • • • • • • • • La mort d'Ivan Illitch, Tolstoï Récits divers, Anton P. Tchekhov Les Mille et une Nuits Huckleberry Finn, Mark Twain Ramayana, Valmiki L'Énéide, Virgile Feuilles d'herbe, Walt Whitman Mrs Dalloway, Virginia Woolf Promenade au phare, Virginia Woolf Les Mémoires d'Hadrien, Marguerite Yourcenar • • • • • • • • • Les Hauts de Hurle-Vent, Emily Bronte L'Étranger, Albert Camus Les poèmes de Paul Celan Voyage au bout de la nuit, LouisFerdinand

(Arthur), Une saison en enfer, Illuminations, Lettres dites « du Voyant » (Poésie/ Gallimard) Sarraute (Nathalie), Le Silence, Le Mensonge, L’Usage de la parole Shakespeare (William), Macbeth Vercors, Le Silence de la mer Woolf (Virginia), Mrs Dalloway III- La parole au cinéma Bergman (Ingmar), Le Silence Dreyer (Carl Theodor), Ordet Eustache (Jean), La Maman et la Putain Kechiche (Abdellatif), L’Esquive Rohmer (Éric), Les Nuits de la pleine lune, Le Rayon vert, Conte d’été… IV- Pour

cette adresse (1938) Stephan Zweig, Le joueur d’échecs, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, La confusion des sentiments - Joyce : Ulysse (1922) - Faulkner : Le Bruit et la Fureur (1929) - Virginia Woolf : Mrs Dalloway (1925), Orlando -George Orwell, 1984 (1948) -J.D. Salinger, L’Attrape-cœurs (1945, traduit en 1986) -Ray Bradbury, Fahrenheit 451 (1953) - Mouloud Feraoun : Le Fils du Pauvre (1950) - Rachid Boudgedra : La Répudiation (1969) -

couleurs. Enfance heureuse auprès d'une mère, élevée dans la tradition victorienne, proche de ses enfants. Cependant, le couple parait étrange pour cette petite fille espiègle qu'est Virginia. Elle trouve sa mère extraordinaire, comme elle décrira Mrs Ramsay dans la promenade au phare. Elle raconte ainsi cette attention touchante aux désirs exquis d'un enfant si enthousiasted'aller voir la mer. Mais il ne faut pas oublier le père si massif, parfois sans sentiment. La vie est douce, ces quatre enfants

Mon intériorité n’est-elle qu’étrangeté ? Plongés dans la vie de Clarissa Dalloway pendant le temps d’une journée, les lecteurs se trouvent exposés aux nombreuses pensées de la protagoniste, cohérentes, incohérentes, spontanées, volontaires ou même automatiques ; caractérisées par des sauts dans la syntaxe et une utilisation de la ponctuation non-conventionelle. L’auteur de ce roman (Mrs Dalloway) Virgina Woolf se rattache au mouvement artistique anglophone appelé stream of consciousness 

| | | | | |XXème siècle |ANGLETERRE |VIRGINIA WOOLF |MRS DALLOWAY |1925 | | | | | | | |XIXème-Xxème siècle

d’aristocrates) 2-Le personnage peut également nous paraître plus proche parce qu’il nous laisse entrevoir une intériorité d’ordinaire : dès lors il nous ouvre les portes du mystère humainqui nous demeure inaccessible face aux autres humains Mrs Dalloway de Virginia Woolf accompagne l’héroïne dont on suit toutes les pensées dans une seule journée Du côté de chez Swann de Proust : les errances amoureuses de Swann qui s’éprend d’Odette parce qu’elle lui rappelled une oeuvre d’art, est en proie

stratagème est bien entendu impossible au roman car l’écriture stoppe l’effet de surprise. Le roman, contrairement au théâtre, ou en tout cas de façon plus profonde s'intéresse à l'intériorité des personnages (pensées, choses "invisibles") comme le dit Mrs Dalloway de Virginia Woolf. Les monologues intérieurs du personnage sont, dans une mise en scène directement adressés aux spectateurs et peuvent créés des quiproquos. Le personnage pensant parler seul (et au spectateur) peut être surpris par un autre acteur