Moustache

de la basse caste : ouvrière II. Omniprésence du personnage è Descriptions physique et morale : ‘’ George Duroy ‘’ , passé militaire peur glorieux ( ‘’ sous-officier’’ ) + focalisation omnisciente ; élégance ( ‘’beau garçon’’ , ‘’ frisa sa moustache ‘’ ) Focalisation qui montre le contraste entre son attitude et ses difficultés financières. èDécouverte interne du héros : focalisation interne superposer a celle du narrateur , ‘’ c’est le regard rapide et circulaire de Duroy sur les habitués

senti aucuns pressentiments ou alarme d'eux alors. J'ai une image dans ma mémoire(souvenir) de mon père examinant le nôtre et réfléchissant à cela. Il a penché cela, y regardant fixement throught ses verres et soufflant doucement throught sa moustache. Il a inspecté la tige droite et le tronc boisé dont est a sauté. Il a donné curieux, si pas l'attention très pénétrante aux trois bâtons petits, nus qui sont devenus droits en haut à côté de la tige. Il a lissé les feuilles(congés) vertes entre

et un ans. Il erre depuis huit jours sur les routes du Nord, à la recherche d'un travail. Etienne est un jeune garçon "très brun, joli homme, l'air fort malgré ses membres menus" (I, 1). Catherine le trouve "joli, avec son visage fin et ses moustaches noires" (IV, 1). Il est possédé par un mal héréditaire: dernier enfant d'une race alcoolique, il souffre "dans sa chair de toute cette ascendance trempée et détraquée d'alcool" (I,4). Il devient méchant, a même envie de tuer quand il boit. Il

poitrine dans un même geste qui semble symboliser la frustration, et donc l’envie. Ses yeux lorgnent dans deux directions opposées, car l’envieux est envieux de tout et de tout le monde. On reconnaît bien sûr la tristement célèbre moustache d’Hitler. Il faut savoir que cette moustache figurait sur le carton préparatoire, mais n’a été peinte sur le tableau par Dix qu’après la fin de la guerre. (On reviendra sur ce point dans la troisième partie). Le troisième personnage est central. Il arbore un costume de

souris . " le chat laissa reposer avec précaution ", il fait les choses presque a contre cœur : Il le fait avec beaucoup de délicatesse. Il accepte finalement de tuer la souris . Ce lien , cette connivence , " les moustaches noires de la souris se mêlaient aux siennes ", le mélange des moustaches du chat et de la souris font penser a un baiser . L'humour de Boris Vian , a travers les paroles du chat et de la souris. On a parfois envie de rire de certaines réplique, mais cet humour est tout de même perçu

MAUPASSANT 1. Présentation des personnages principaux : Georges Duroy, qui deviendra plus tard Du Roy de Cantel suite à son mariage avec Mme Forestier, est né à Canteleu, petit village perdu de la France. C’est bel homme blond et séducteur. Sa moustache et ses yeux clairs charment toutes les femmes du monde parisien. Il est aussi appelé Bel-Ami par la fille d’une de ses maîtresses, Laurine de Marelle. Après deux ans à l’armée en Algérie, Georges monte à Paris et vit pendant au bureau des chemins

milieu social où l’on vit. Cette théorie, appelé évolutionnisme, leur viens de Charles Darwin, est illustré ici à travers le personnage de Georges Duroy, qui semble très intéressé par son milieu d’origine, l’armée. On nous dit qu’il « friss[e] sa moustache d’un geste militaire » (l.4), qu’il « marche la poitrine bombée et les jambes entrouvertes » (l.26) comme s’il venait de descendre de son cheval. Son corps, ses gestes et même son caractère conquérant sont ceux de tous les militaires et pas d’un

moi dès son enfance, Et j’en aurai chéri la plus tendre espérance, Mon cœur aura bâti sur ses attraits naissants Et cru la mitonner pour moi durant treize ans, Afin qu’un jeune fou dont elle s’amourache Me la vienne enlever jusque sur la moustache, Lorsqu’elle est avec moi mariée à demi ! Non, parbleu ! non, parbleu ! Petit sot, mon ami, Vous aurez beau tourner : ou j’y perdrai mes peines, Ou je rendrai, ma foi, vos espérances vaines, Et de moi tout à fait vous ne vous rirez point.

connu même des jeunes : le mythe de Charlot est certainement l’un des plus puissants qu’ait jamais créé le septième art. Qu’on le veuille ou non, il est devenu un type, tout comme Arlequin ou Pierrot. Avant que Charlot n’apparaisse avec sa petite moustache, son pantalon trop large et ses souliers trop grands, le cinéma avait déjà connu des clowns célèbres. Mais tandis que ceux qui l’ont précédé désiraient simplement faire rire, Chaplin, lui, voulait que, derrière ses grimaces et ses farces, le public

hommes n’ont aucun problème montrer leurs émotions, trait qu’on ne voit pas souvent dans les personnages des chevaliers. Après, Charlemagne instruit Besgon de prendre Ganelon comme prisonnier, et il lui arrache la barbe et la moustache. Quand on arrache la barbe et la moustache à un homme, c’est considéré comme une insulte. Puis tous les chevaliers lui donne des coups de poing. Les verres 1823-1828 continuent sans pause pour indiquer que les actions souviennent rapidement l’une après l’autre. Ces