Mourir d'amour

langage poétique, de la réalité la plus triviale. L'œuvre exerça une influence considérable sur Paul Verlaine, Stéphane Mallarmé ou encore Arthur Rimbaud. Baudelaire travaille ici une forme poétique qui est déjà un topos littéraire : la déclaration d’amour à la femme aimée sous la forme d’une vanité. Ce motif a été très utilisé par les poètes de la Pléiade (Humanisme du XVIe siècle, Renaissance). Ainsi, on peut immédiatement songer à l’intertexte de Ronsard, « Ode à Cassandre » dans Les Amours. Ainsi

de forces supérieurs. C'est le cas de Phèdre de Racine, tragédie dans laquelle Phèdre appartient à un monde où ce sont essentiellement les dieux qui décident et consciente du mal que sa passion pour son beau-fils provoque, elle préfère se laisser mourir. Phèdre est donc victime des dieux qui refuse de la laisser vivre sa passion. Mais dans Horace de Corneille, le héros est victime de ses propres excès. Horace est emporté par son devoir patriotique et tue les frères de son épouse ainsi que

Hermès est extrêmement important, c’est ici qu’Eurydice rencontre Orphée mais c’est aussi le lieu de sa mort. Lorsqu’elle promet qu’elle reviendra, elle ne se doute pas que ce sera pour y mourir, on voit donc apparaître le destin tragique auquel les deux amants étaient voués, avant même que leur histoire d’amour ne commence. => FATUM De même lorsque Orfeo se rend au bureau des disparus dans l’espoir d’y trouver Eurydice, il rencontre un homme qui va le guider jusqu’au lieu du rituel. Les deux hommes

couler la fontaine IV Que je m’ennuie entre ces murs tout nus Et peint de couleurs pâles […] Guillaume Apollinaire, Alcools La Loreley Guillaume Apollinaire (1880 - 1918) à Jean sève À Bacharach il y avait une sorcière blonde Qui laissait mourir d'amour tous les hommes à la ronde […] Ô belle Loreley aux yeux pleins de pierreries  De quel magicien tiens-tu ta sorcelerie Je suis lasse de vivre et mes yeux sont maudits  Ceux qui m'ont regardée évêque en ont péri Mes yeux ce sont des flammes

100)Dans le brouillard s’en vont un paysan cagneux Et son boeuf lentement dans le brouillard d’automne Qui cache les hameaux pauvres et vergogneuxEt s’en allant là-bas le paysan chantonne Une chanson d’amour et d’infidélité Qui parle d’une bague et d’un coeur que l’on briseOh! l’automne l’automne a fait mourir l’été Dans le brouillard s’en vont deux silhouettes

veux, Ronsard parle de sa peur de perdre l’être aimé, et de son inquiétude quand à la guérissons de son chagrin. Cette appréhension n'est que rarement évoqué dans les poèmes d'amour Amour me tue si je ne veux dire Amour me tue, et si je ne veux dire Le plaisant mal que ce m’est de mourir : Tant j’ai grand peur, qu’on veuille secourir Le mal, par qui doucement je soupire. Il est bien vrai,

elle refuse de l'aimer, il livrera son fils aux Grecs.  Acte II Scène 1 Hermione se confit à Cléone, sa suivante. On comprend qu'elle aime un peu Oreste, mais qu'elle brûle d'amour pour Pyrrhus.  Scène 2 Oreste convainc Hermione de son amour en lui disant qu'il avait failli mourir et qu'il voulait mourir et que Pyrrhus la méprise, mais il veut surtout le bien de la Grèce qui est en danger aux mains de Pyrrhus. Scène 3 Oreste désire qu'Hermione soit à lui.  Il est heureux que Pyrrhus

Dans ce poème, Apollinaire décrit sa magnifique femme mais il n’arrive pas à oublier toute l’horreur de la guerre. Si je mourais là-bas… : ce poème est adressé directement à Lou. Apollinaire explique à Lou qu’elle l’oubliera si il viendrait à mourir, mais que si cela arrivai, son sang donnera que du bonheur. La mésange : ce poème est adressé directement à la petite sœur d’Apollinaire. Il parle des sentiments d’apollinaire ainsi que sa vision qui représente beaucoup d’espoir pour lui. Parce

enlever la jeune femme. L'expédition échoue car Paquita est jalousement gardée par la Marquise de San-Réal qui est follement amoureuse d’elle. Déchirée entre son amour pour la marquise et pour Marsay, Paquita va mourir. Ce type de personnage (la courtisane capable de mourir d’amour) reviendra souvent dans les romans balzaciens sous d’autres noms: Coralie, La Torpille.

mort, mais aussi ses sentiments d'amour, ainsi que la part d'irréel présent dans le texte. Tout d'abord, on peut constater que le poète a peur de mourir de laguerre comme l'exprime le tout premier vers « Si je mourais là-bas sur le front de l'armée », ainsi que le champ lexical de la guerre « front », « armée », »obus », « éclaté » présent dans la 1èrestrophe, qui nous ancrent directement dans une dimension tragique, en montrant la violence dans laquelle il peut mourir. On peut également observer