Mourir d'amour

la littérature mondiale, auteur dramatique avec près de trente-huit pièces écrites, nous offre avec Roméo et Juliette dans une comédie tragique des plus emblématique de l’histoire de la littérature. Écrite en 1593, la pièce raconte une histoire d’amour passionné et impossible. Nous allons nous intéresser au stratagème du personnage Frère Laurent, qui consistai que Juliette avale la fiole de cyanure pour qu’elle paraissent morte pendant quarante-deux heures et puisse fuir à Mantoue avec Roméo .

consommé) dés lors on peut considérer que le mariage d'amour qui unit Roméo et Juliette est la cause même de leur perte et de leur mort. - L'impatience du désir Le mariage pour Juliette n'est pas éthéré, il est la satisfaction de ses désirs charnels. La nourrice lui fait remarquer que dés qu'elle parle de Roméo " ce polisson de sang monte à [ses] joues" (page 141) et quand elle attend impatiemment Roméo pour vivre sa première nuit d'amour, elle évoque ce " sang non dressé (= non habitué

corporelle : « On m’a rapportée à moitié morte chez moi. J’ai toussé et craché le sang toute la nuit. » page 301. L’héroïne éprouve donc des souffrances longues, autant physiques que morales qui contribuent à la rendre mythique. Marguerite meurt d’amour pour Armand qui l’a quittée. Elle ne vit plus que pour ses souvenirs de leurs heureux moments passés ensemble. Des indices comme l’emploi du passé ainsi que des pronoms possessifs qui l’incluent elle et Armand nous montrent cela : « l’amour que vous

les conditions de prise en charge de la fin de vie. En 1995, Marie De Hennezel obtient un succès retentissant avec ce livre « La Mort Intime » qui est préfacé par François Mitterrand. II ) - Contenu du livre : A) Résumé du livre : « comment mourir » ? Ce livre est une leçon de vie, déclare François Mitterrand, dans la préface; il retrace l’expérience de Marie De Hennezel, auprès de patients d’une unité de soins palliatifs. Nous vivons dans un monde que la question effraie et qui s’en détourne

bioéthique : b. Comité National d’Ethique : IV. Les législations qui existent à l’étranger : a. que fait-on ailleurs, à l'étranger I. Définitions : L’euthanasie vient du grec qui signifie «bonne mort ». L’euthanasie désigne l’acte de faire mourir intentionnellement un individu souffrant de maladie incurable dont les douleurs sont difficilement supportables et impossible à apaiser à l’aide de soins palliatifs, elle permet donc d’éviter une quelconque agonie d’un malade. Remarque : L’euthanasie

me font mourir d’amour  ; mais je voudrais que cela fût mis d’une manière galante, que cela fût tourné gentiment  (5) . Maître de philosophie : Mettre que les feux de ses yeux réduisent votre cœur en cendres ; que vous souffrez nuit et jour pour elle les violences d’un… Monsieur Jourdain : Non, non, non, je ne veux point tout cela ; je ne veux que ce que je vous ai dit :  Belle Marquise, vos beaux yeux me font mourir d’amour

souffrir, La flamme qui ne peut s'éteindre Et la fleur qui ne peut mourir ! «Aimons toujours ! Aimons encore !...», Les contemplations, Victor Hugo, 1856 Commentaire : Ici, le narrateur fait tout d'abord l'éloge de ce qu'est l'amour, ce que l'amour procure comme sentiment. L'amour est majoritairement valorisé et louangé tout au long du poème, mais le narrateur parle d'amour pure. En effet, il dénigre le fait d'entretenir des relations adultères. Pour lui, les amants

I) Une scène d'amour pathétique 1- Une passion réciproque On remarque de nombreuses intentions de Manon envers Des Grieux et inversement. Pour la première fois dans le roman, cette passion entre les deux amants est réciproque. Dans chaque phrases, les pronoms sont réunis : « je » est toujours lié à « elle ». On a ici une parfaite union des deux amants, les phrases apportent chacune des attentions que les amants ont l'un pour l'autre. Des Grieux ne pense pas qu'elle va mourir quand elle le

v.17/19/20 = C'est une peine de cœur, un chagrin amoureux qui l'aurait rendue sorcière ? = Inversion : On passe de l'image de bourreau à l'image de la victime.*Insistance sur l'envie de suicide= obsession de la mort : 1- Répétition de mourir « Faites-moi donc mourir » v16 ( devenu un refrain car reprend le vers 14) + « Il faut bien que je meure » v17 (

beaucoup de prétendants et le marquis veut savoir avec lequel elle s’entend le mieux : « l’heureux berger qui nous succède à tous » (v.48). Après qu’elle lui dise qu’il s’appelle Didier, il lui donne un livre intitulé La Guirlande d’Amour. Puis elle le congédie. La deuxième tirade de Didier a lieu dans le registre pathétique. On peut l’affirmer quand il dit à Marion : « Je n’ai jamais connu mon père ni ma mère » (v.67) ou encore « Une femme vielle […], ayant