Mort

danger : « ripostait à la mitraille par des pieds de nez » [←§1 =l. 5 & 6]. Mais la phrase n’est pas terminée. La seconde partie de la phrase s’oppose à cette impression en montrant que Gavroche ne se livre pas à un jeu gratuit mais qu’il risque la mort sciemment pour se mettre au service de ses cama­rades : « et cependant pillait les cartouches, vidait les gibernes et remplissait son panier. » [←§1 =l. 6 & 7]. Ces trois propo­sitions ont des carac­té­ristiques différentes des propo­sitions accu­mulées

tordait, glissait, ondulait, serpentait d'un mort à l'autre, et vidait la giberne ou a cartouchière comme un singe ouvre une voix. De la barricade, dont il était encore assez près, on n'osait lui crier de revenir, de peur d'appeler l'attention sur lui. Sur un cadavre, qui était un caporal, il trouva une poire à poudre. - Pour la soif, dit-il, en la mettant dans sa poche. À force d'aller en avant, il parvint au point où le brouillard de la fusillade devenait transparent. (...) Au moment où Gavroche

LA MORT DE MON MARI C’était un soir d’hiver en l’an 2002, mon mari était sorti avec ses amis pour faire la fête. Quand je me couchai, il n’était toujours pas revenu. Le lendemain matin il n’y avait toujours personne à côté de moi. Vers midi, je le vis arriver. Je ne le reconnaissais plus car il était trempé jusqu’aux os. Le lendemain, il était enrhumé, j’appelais le docteur pour lui. Le médecin se rendit chez nous dans la demi-heure suivante. Mon mari devait suivre un traitement de deux semaines

dans les deux livres, les contraintes de ces femmes augmentent le suspense et la peur qui arrive quand Elise ne peut pas s’exprimer ou voir ses environs, et quand Do (ou Mi ?) a une crise d’identité et de savoir : est-ce qu’elle a vraiment organisé la mort de son amie ? Et le truc bien plus effrayant, c’est que lecteur se trouve au milieu du conflit : quand Elise, incapable de bouger, est piquée et torturée par un inconnu, le lecteur se sent aussi impuissant qu’elle. C’est la même chose pour Do ; son

Question de vie ou de mort C’est à cet instant précis que tout s’arrêta, que mon cœur exécuta son dernier battement laissant derrière lui une vie de regrets et de mensonges… Le début de la fin avait commencé en 1939, une circonscription avait été imposée sur l’Allemagne. Tout homme légalement majeur ayant les capacités de se battre se devrait d’aller servir son pays. Certains hommes ont refusés, ils ont été traités de lâches et emprisonnés. D’autres se sont coupés des membres parce qu’ils refusait

décision de me proposer à faire la toilette mortuaire avec une autre aide-soignante d’un autre service qui était venu ce jour-là en renfort. Par la suite, les étudiants sont venus me remercier en m’expliquant que la vue et le toucher d’un patient mort leur sembler encore prématuré.

Dissertation, Maria Sapak 5D La peine est pratiquée depuis l’Antiquité et on peut prouver cela par différents documents qui ont été retrouvé. La peine de mort est une peine prévue par la loi consistant à exécuter une personne ayant été reconnue coupable d'une faute qualifiée de « crime capital1 ». De nos jours, elle est désapprouvée par les institutions internationales comme l'Organisation des Nations Unies (ONU). Mais parmi les démocraties industrialisées d’aujourd’hui, seules deux la pratiquent

Peine de mort : l’erreur capitale Actuellement dans le monde, il existe 108 pays qui ont aboli la peine de mort, de droit ou de fait, selonun sondage. En 2001, il y a eu 3058 personnes qui ont été condamnés à mort, 1457 exécutions ont eu lieu, dont prés de 90% dans quatre pays. Cela permet aux Etats-Unis, avec 85 exécutions, defigurer aux cotés d’exemples démocratiques tels la Chine avec plus de 1 000 condamnations à morts suivi de l’Arabie Saoudite avec 123 condamnations à mort et enfin l’Iran

  Autrefois, la justice a condamné un bon nombre de personnes à la peine de mort, assassinant ainsi plusieurs malfaiteurs sous prétexte que la mort était la meilleure façon de maîtriser la bête et son venir. De nos jours, avec les actes criminels de plus en plus violents et atroces, la question que l’on peut se poser est la suivante : « Devrait-on rétablir la peine de mort? « . Selon moi, il est évident que de répondre à la violence par la violence n’est pas la solution au problème.    En premier

affreux se commettent, et à ces crimes, la mort peut sembler une réponse appropriée. Seulement voilà: La justice n'est pas infaillible. si bien faite soit-elle, elle n'est pas à l'abri de l'erreur. Et les erreurs qu'elle commet, elle doit être en mesure de les réparer. Comme on ne peut pas ressusciter quelqu'un qu'on a exécuté, on ne doit pas le condamner à mort. Le principe de justice doit donc s'effacer devant un principe de prudence. La peine de mort viole les droits humains fondamentaux, elle