Mort Du Personnage

D’Euripide à Racine I. Contexte historique II. Auteurs III. Personnages IV. Intrigue / Histoire V. Comparaison avec Andromaque d’Euripide VI. Conclusion I. CONTEXTE HISTORIQUE Contexte historique de la tragédie : - La pièce se déroule pendant l’antiquité après la Guerre de Troie. Achille est mort, son fils Néoptolème, alias Pyrrhus, roi d'Épire, a reçu en tant que prise de guerre: la reine Troyenne Andromaque

toutes les caractéristiques du mouvement du mouvement naturaliste qui y seront développer avec succès. L'extrait que nous étudions est tiré de Thérèse Raquin , c'est d'ailleurs son dénouement .C'est la description des sentiments et de la mort des personnages. Nous allons nous interroger sur la fonction de ce dénouement. Pour cela, nous allons nous interroger sur comment est restituée cette scène finale , et dans un second temps, nous allons commenter la mise en scène tragique. La restitution

1942. Il fait partie de la tétralogie du «cycle de l'absurde», basée sur les fondements de la philosophie camusienne. L'Étranger est en partie la traduction romanesque des idées contenues dans cet essai sur l'absurde.Il met en scène Meursault, le personnage principal et narrateur accablé par son quotidien, refusant de jouer le jeu du conformisme social, il vit au jour le jour. L'Etranger retrace une partie de la vie de cet employé de bureau qui tient une sorte de journal de bord dans lequel le lecteur

pure réalité de son passé. Nous allons analyser la séquence annonçant la mort du personnage principal. Nous verrons tout d’abord comment l’histoire est racontée par le film, ensuite, nous aborderons la narration dans le film et pour finir, nous analyserons la mise en scène de l’image et du son. I- L’Histoire racontée par le film Le monde représenté par le film est caractérisé tout d’abord par les personnages qui sont pour cette séquence, Edward Blum, son fils Will, ainsi

adapté et mis en scène par Ned Grujic. PAGE 5 : introduction. PAGE 7 : des personnages et une intrigue similaires. PAGE 13 : un amour impossible tourmenté par des oppositions. PAGE 17 : une fin tragique. PAGE 28 : conclusion. PAGE 29 : bibliographie. William Shakespeare est né le 23 avril 1564, et est mort également un 23 avril, en 1616. Il est considéré comme un des plus grands poètes, dramaturges et écrivains de la

premier est un texte de l’Assommoir de Emile Zola (1877), le second est un texte de Samuel Beckett, Malone meurt (1951) puis le dernier est issu de Belle du Seigneur écrit par Albert Cohen (1968). Ce corpus traite de la mort humaine. Le thème principal de ce corpus est la mort, ces textes décrivent d’horribles agonies. Ces trois textes sont en lien parce qu’ils sont situés dans la même partie de chaque roman. C’est-à-dire à la fin du roman comme indiqué dans l’introduction de chaque texte : « la

L’ETRANGER  Jamais roman n’a été aussi bien nommé tant ce qui nous interpelle d’abord est son caractère énigmatique.  Si l’incipit (ouverture romanesque) vise en général à présenter les personnages, mettre en place un décor, amorcer l’intrigue ou l’histoire à venir, ici on se heurte d’entrée à un personnage-narrateur dont les premiers mots n’auront d’autres effets que d’épaissir son opacité : « Aujourd’hui, maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas. » Phrases courtes, absence de liaison

privilégie avant tout le mouvement, qui s’exprime dans le goût de l’action, mais aussi dans les formes : volutes et arabesques en architecture hyperboles et métaphores et en littérature. Romans interminables, surchargés d’intrigues, pleins de personnages. Tragi-comédie avec plein d’actions etc… Le sentiment d’instabilité s’exprime à travers les thèmes de la Fortune et du hasard, de l’inconstance en amour, de l’illusion ; la folie et les songes sont régulièrement convoqués. Le baroque fait usage

dernier tercet, « étaler ses appâts »= prostitution C. Figure du mal La muse est victime de l’ennuie : allitération en N «  les noirs ennuis des neigeuses soirées » et le terme « noirs ennuis » = cf le poème au lecteur car ennui = Mal absolu (néant, mort ) Muse blasphématrice : caractère profane de la Muse « chanter des Te Deum auxquels tu ne crois guère » « rire » satanie de la Muse + dernier tercet « rire » « « épanouir la rate du vulgaire «  = rire de bon cœur III. la muse marchande A. Une

sa marche vers la mort, appartient au théâtre de l'absurde. Il s'agit du passage final de la pièce de Ionesco, Le roi se meurt (1963). Nous allons nous demander quels sont les différents choix des auteurs dans ces trois documents pour présenter la mort des personnages au théâtre et comment ces choix s'expliquent. Dans une première partie, nous verrons comment sont présentés les faits. Dans une seconde partie nous étudierons la signification que les auteurs veulent donner à la mort. Les trois extraits