Mort De Paul Verlaine Guerre

 Il a     environ   seize   ans   lorsqu’il   fugue   pour   la   deuxième   fois   du  domicile parental de Charleville Il recopie vingt­deux textes dans  un cahier qu’il confie à son ami Paul Demeny, poète également. Le  Dormeur du val en fait partie, écrit pendant son errance d’octobre  1870, en pleine guerre franco­prussienne     L’année  suivante,  il  demandera  à  son  ami  de  le détruire  avec  les autres quand il refusera tout romantisme, toute subjectivité,  tout culte de la forme. En effet

charité, nous, fleurs de lys !
On te dit mort… Mort ou vivant, sois ma mémoire ! Et qu’on ne hurle donc plus que c’est de la gloire
Que je m’occupe, fou qu’il fallut et qu’il faut…
Petit ! mort ou vivant, qui fis vibrer mes fibres, Quoi qu’en aient dit et dit tels imbéciles noirs
Compagnon qui ressuscitas les saints espoirs,
Va donc, vivant ou mort, dans les espaces libres ! Paul Verlaine (1890) Dit de la force de l’amour Entre tous mes tourments entre la mort et moi
Entre mon désespoir et la raison

-En 1562, le massacre de Wassy, premier massacre de protestants, signe le début de la première guerre de religion en France : Ronsard, pro catholique et fervent défenseur de la cause royal, prend parti et condamne le protestantisme, source de discorde dans Discours des misères de ce temps. Mais aussi, Aggripa d'Aubigné, dans Les tragiques, pro-protestant prend également parti au moment des guerre de religion. -La Fontaine, Les obsèques de la lionne, v21-22 «Peuple caméléon, peuple singe du

et reçoit la coloniale. A son retour en France il grimpe les échelons jusqu'à colonel 1811 et devient commandeur de la légion d’honneur. L’or de la première guerre mondial il est promu Général de division le 18 mai 1917.Poste qu’il ne tiendra peut de temps puisqu’il mourra le 17 octobre de la même année l’or d’une visite de tranchée. Mort pour la France au champ d’honneur Albert Baratier écrivit en 1912 les Épopées africaines, et en 1914, Au Congo. Pierre rousseau (compositeur médecin peintre)

c- LE SYMBOLISME La fin du siècle révèle une classe d’artistes coupés du monde et dont le caractère marginal parait scandaleux : Charles Baudelaire, condamné pour ses Fleurs de Mal, Arthur Rimbaud qui fit parler de révolution poétique, Paul Verlaine autour duquel se créa la légende>. La conception moderne de la poésie fut inaugurée par Baudelaire avec les fleurs du Mal (1857), texte fondateur d’une nouvelle esthétique. Pour lui, le langage poétique pouvait opérer une transmutation du monde

« poiein » signifiant « action de créer ». Donc dès l’Antiquité, la poésie désignait la création littéraire qui prend pour matière l’imaginaire, et très peu souvent le réel ou l’historique. Selon deux célèbres écrivains surréalistes, André Breton et Paul Eluard, la poésie doit être une « débâcle de l’intellect ». Cela vous semble-t-il une bonne définition de la poésie ? Autrement dit : La poésie doit-elle forcément exprimer les sentiments, les sensations de manière chaotique ou irraisonnée ? Ne peut-elle

perfection formelle dans l’expression des sentiments. La ballade et le rondeau deviennent à la mode alors que subsistent encore les lais et virelais de la poésie courtoise. Les problèmes de la vie quotidienne commencent à pénétrer le monde poétique. La guerre de cent ans (1337-1440) fige la création. Ses horreurs terminées, on assiste à une renaissance poétique grâce à Charles d’Orléans. Un concours de poésie sur un thème imposé est organisé à Blois. On travaille sur les rythmes, la musicalité dans une

an plus tard, les études religieuses ne le passionnant pas. La Fontaine étudie ensuite le droit à Paris : c’est là qu’il fréquente le cercle littéraire Des Chevaliers de La Table Ronde où il rencontre d’autres jeunes lettrés, Tallemant des Réaux, Paul Pellisson, Patru et Antoine Rambouillet de La Sablière. Il obtient son diplôme d’avocat au parlement de Paris en 1649. La Fontaine s’est souvent placé sous la protection financière de certaine personne : d’abord celle de Fouquet qui lui versera une

sonnetti, le Canzoniere. Pétrarquisme = manière de mêler virtuosité de la langue, préciosité du vocabulaire et variété des tonalités lyriques ou élégiaque (=Tirant son nom des élégies, poèmes au ton plaintif particulièrement adapté à l'évocation d'un mort ou à l'expression de souffrances amoureuses, elle est une tonalité lyrique fortement empreinte de mélancolie). Pétrarque eut de nombreux imitateurs : Marot, Du Bellay, les poètes de la Pléiade mais surtout dans la première moitié du XVIème siècle

Paris). Il rencontrera lors d’une d’elle Paul Verlaine, poète français, avec qui il va avoir une relation. Ce-dernier encouragera Rimbaud à écrire, tout comme l’enseignant de Rimbaud, le Professeur Izambard. Les écrits de Rimbaud lui donneront l’image du poète considéré comme le représentant de l’adolescence, de leur révolte. Cette période de l’Histoire est caractérise par l’alcoolisme et une mauvaise position de la femme (viol, violence…). 1870 : Guerre franco-prussienne et fin du Second Empire