Morisques

La Alhambra La Alhambra es uno de los principales monumentos de la arquitectura islámica y la Acrópolis del mundo medieval más majestuosos del Mediterráneo. Con la Gran Mezquita de los más prestigiosos de Córdoba fue testigo de la presencia musulmana en España desde el octavo siglo XV (véase la Península Ibérica o Al-Andalus). Sus personajes son realmente opuestos: la grandeza sobria del monumento religioso que representa la primera arquitectura islámica (véase el artículo de los Omeyas de España)

L’Islam d’Espagne au XVIeIntroductionExpulsion des morisques par Philippe II en 1609 275 000 personnes expulsées Les expulsés se sont réfugiés dans toute la Médi mais surtout au MaghrebFin de la « convivianca » entre les vieux-chrétiens, les nouveaux-chrétiens et les Juifs5 à 6 % de la population au XVIRaison de l’expulsion Possible complot politique de la minorité morisque Le clergé devait renforcer l’intégration des morisques avec l’aide des réguliers via le réseau paroissial Malgré les efforts

dans la salle sans des fenêtres, autour d'une longue table, les étudiants écoutent l'un de ses compagnons qui j'ai demandé de lire le passage de la deuxième partie du Rêveur dans le Sancho Panza il(elle) trouve son voisin ancien(antique), le morisque Ricote, qui a clandestinement tourné l'Espagne après son expulsion. J'apporte chaque jour à une classe un poème ou un fagmento de la prose qu'il(elle) a à voir des exilos espagnoles, et que j'ai cherché dans la bibliothèque de l'Institut Cervantes.

du nombre de personne se vouant à être religieux n'aide pas les naissances à croître. De +, les morisques, descendants des musulmans d'espagne convertis de force au catholicisme ont du mal à se faire à la politique assimilationniste de l'espagne, ils sont marginalisés et suite à des révoltes, il est décrêter par philippe III sous les conseils du duc de Lerma en 1609 à valence, l'expulsion des morisques qui se propagea en 1612 dans toute la péninsule (tableau). Valence perd alors 26% de ses habitants

l'ensemble du continent jusqu'à Grenade le second jour de l'an 1492. Le règne musulman en Espagne avait alors entièrement disparu. Cette année devait marquer l'hégémonie chrétienne sur les forces barbares. Les nouveaux chrétiens de la péninsule – morisques et conversos – furent exterminés par l'inquisition espagnole dès 1478 ; la bulle du Pape Sixte IV conférait un pouvoir absolu de jugement et de condamnation aux inquisiteurs, depuis 1480 jusqu'en 1834, sur quiconque dérogeait à l'orthodoxie instaurée

relativité de l’impact qu’a eu l’édit de Nantes. Exposé : Philippe III : roi d’Espagne. Mémoire regroupement l’avis général des Maures. En quoi ce texte reflète-t-il la place qu’occupait les morisques avant leur expulsion d’Espagne ? Comment ont-ils tentés de résister ? I- L’action du gouvernement envers les morisques Les Maures représentent une minorité importante en Espagne. Représentent un intérêt économique. Volonté de soumission religieuse lors de la Reconquête, le clergé dénonce l’échec de l’évangélisation

ville comptera le plus grand nombre d’esclaves en Europe aux XVème et XVIème siècles[14]). Les villes andalouses voient leur nombre d’esclaves augmenter fortement, qu’ils soient amenés d’Afrique noire par les Portugais, ou bien les Musulmans ou Morisques[15] résidant dans la Péninsule (avant la chute de Grenade). Ces esclaves étaient essentiellement employés comme domestiques urbains et jouèrent donc un rôle mineur dans l’économie rurale.[16] Leur nombre commença à décliner aux XVIIème et XVIIIème

de base aux expéditions almohades en Andalousie. Elle entra dans une période de déclin après 1269, quand les Mérinides choisissent Fèscomme capitale. Ainsi, l'explorateur Morisque Hassan al-Wazzan reporte qu'il ne subsistat que 100 maisons habitées en 1515. En 1609, suite au décret d’expulsion dePhilippe III, 13000 Morisques y trouvèrent refuge, revitalisant ainsi la ville2. En 1912, Lyautey fait de Rabat la capitale du protectorat du Maroc et le siège du résident général. En 1956, lors de l’indépendance

de son compagnon. LE COMTE DON CARLOS DE MARAÑA (PÈRE DE DON JUAN) Le comte don Carlos de Maraña était l’un des seigneurs les plus riches et les plus considérés qu’il y eût à Séville. Sa naissance était illustre, et, dans la guerre contre les Morisques révoltés, il avait prouvé qu’il n’avait pas dégénéré du courage de ses aïeux. Après la soumission des Alpuxarres, il est revenu à Séville avec une balafre sur le front et un grand nombre d’enfants pris sur les infidèles, qu’il a pris soin de faire

et en 1480 les premiers inquisiteurs sont nommés. Dans un premier temps, l'inquisition va s'attaquer aux juifs. Lorsque Philippe II arrive au pouvoir, il a à faire à la communauté morisque, ce sont des musulmans d'Espagne converti au christianisme mais qui sont restés fidèle aux pratiques de l'Islam. En 1559, les morisques voient leurs terres confisquées puis en 1563, le roi signe un décret permettant de saisir leurs armes et enfin dans en 1567, il y a un dernier décret confirmant l’obligation pour