Morgenthau

les courants de pensée se dégagent deux grandes familles : violences et guerres. Il n y a donc pas de Pacte Social. Par 2 : Le réalisme et le néo-réalisme : a) Le réalisme : Cette théorie a été conceptualisée par les américains (Hans Morgenthau et Stanley Hoffman), chez les français, il y a Raymond Aron. Les auteurs de ses courants se placent dans l’héritage du l’école de l’Etat de nature des relations internationales. Ils admettent que les relations internationales sont violentes et

3) Hans Morgenthau, Politics among Nations (1948). Premier manuel de relations internationales. Il explique la puissance à partir de la centralité de sa relation avec l’intérêt national. Il cherche à faire du réalisme un domaine d’étude systématique des relations internationales. Mise en avant des concepts d’intérêt, de puissance, de prudence, de modération et d’équilibre des forces. Il donne les 6 principes du réalisme en relations internationales. → Lecture n°1 : Morgenthau, « Une théorie

sembler contradictoires, ainsi l’annonce de grands travaux financés par l’Etat et la promesse d’une baisse du déficit budgétaire. A ces ambiguïtés correspond la composition hétérogène du brain trust dont Roosevelt s’entoure : à côté de modérés (Morgenthau secrétaire au Trésor), on trouve des partisans de mesures plus radicales (Wallace, secrétaire à l’agriculture, Tugwell) et surtout des fidèles de Roosevelt lui-même comme Hopkins. L’essentiel tient à la volonté d’action du nouveau Président. Il

La question est peut on encore parler de « la » puissance ? Plusieurs hypothèses : -Approche réaliste : la puissance est l’ addition de plusieurs facteurs (géographiques, matériels, moraux et institutionnels) fonctionnant comme un tout.(Morgenthau). -2° hypothèse : insiste sur le caractère autonome te non fongible des ressources, différencie « la » puissance selon les capacités à mobiliser et les enjeux considérées (Baldwin) . La puissance se déclinerait en une série de positions

soubassement bine plus ancien, comme dans les œuvres de Machiavel ou Hobbes « l’homme est un loup pour l’homme » ( la société EST conflictuelle). Mais la sistématisation de ces théories n’intervient qu’après la seconde guerre mondiale. On peut citer Hans Morgenthau (père de l’étude internationale) dans the Struggl for Power and Peace « la politique internationale peut être définie comme un effort continuel pour maintenir et accroitre la puissance de son propre état et réduire celle des autres nations. » ou

Basingstoke : New York, 2002, 3ed [1977]. CARR Edward. The Twenty years’ crisis 1919/1939. An introduction to the study of international relations. London : Papermac, 1995, [1946]. KISSINGER Henry. Diplomacy, New York : Simmon &Schuster, 1994. MORGENTHAU Hans. Politics among nations. The struggle for power and peace. New York : Knopf, 1986, 6è ed [1949]. WALTZ Kenneth. Theory of international politics. New York : McGraw Hill, 1979. LISTE INDICATIVE DE REVUES SCIENTIFIQUES Annuaire français des

que j’ai choisi de vous présenter est de type caricatural. Mais avant de rentrer dans l’analyse de cette affiche, il me semble important de vous présenter le Plan Marshall. Il est intéressant de savoir que le plan Marshall a été préféré au plan Morgenthau qui prévoyait que l’Allemagne répare tous les dommages causés. Ce dernier rappelait trop la stratégie adoptée après la première guerre mondiale qui favorisa l’arrivée du nazisme en Allemagne avec toutes les conséquences que l’on connaît. A la

temps, les relations internationales sont présentées sous 3 différentes théories comme le propose Dario Battistella : «  l’école réaliste  », «  l’école libérale  » et «  la tentative de synthèse structuraliste ». La première a été fondée par Hans Morgenthau et compare les relations internationales à un « rapport de puissance principalement entre États ». Cette école fut également très critiquée et c’est pour cela que fut créé «  l’école libérale  » qui s’oppose à la première. Elle étudie ces relations

conflit, ensuite la peur d'un autre état qu'on considère comme puissance, on ne va pas mettre en place des relations de coopération avec lui et la fierté qui est le désir de gloire. Ces idées sont reprises pas des auteurs du XXe notamment par Morgenthau qui est le père fondateur du réalisme moderne, il dit que l'homme est dominé par un instinct animal de domination et de maîtriser l'autre, la politique internationale est une lutte pour la puissance car les états souhaitent maintenir leur puissance

la Banque mondiale |3| Le 1er juillet 1944, à l’inauguration de la Conférence monétaire et financière des Nations unies, connue sous le nom de conférence de Bretton Woods |4|, devant les représentants de 44 pays, le discours d’ouverture de Henry Morgenthau, secrétaire au Trésor des Etats-Unis et président de la conférence donna le ton de la réunion et, en fait, en incarna l’esprit. Il envisageait “ la création d’une économie mondiale dynamique dans laquelle les peuples de chaque nation seront en mesure