Morale Madame Bovary

Mme Bovary Madame de Bovary est un roman de Gustave Flaubert paru en 1857. Ce roman s'inscrit dans le mouvement réaliste ; l'auteur essaie de transcrire fidèlement la réalité, puis il y mêlera du fantastique et créera ainsi son propre mouvement, le bovarysme qui caractérise son style littéraire. Flaubert dépeint la nature humaine sans complaisance, il reproduit la vie avec exactitude en y ajoutant quelques passages fantastiques. L'intrigue de l’œuvre est simple : Emma Bovary rêve d'un idéal romantique

inconvénients. Ainsi, les œuvres de fictions sont un bon moyen de convaincre et de persuader le lecteur. Tout d'abord, l'auteur peut rendre sa critique universelle et intemporel. En effet, les écrivains utilisent l'argumentation indirecte pour que la morale de leurs œuvres soit véridiques dans tous les lieux et à toutes les époques. Dans la pièce de théâtre L’île des esclaves écrite par Marivaux, les indications spatio-temporelles sont imprécises : nous savons seulement que la pièce se déroule sur une

communauté. D'un point de vue physique et moral, il peut être comparé à une sorte de perfection. Ce genre de héros est né avec la mythologie, regorgeant d'héros mi-dieux, aux qualités et destin extraordinaires. On peut prendre l'exemple d'Héraclès, fils de Zeus, célèbre pour ses douze travaux. Il est possible alors de faire une relation entre "héros" et "héroïsme". Un héros est alors porteur de valeurs positives, comme le personnage de La Princesse de Clèves de Madame de La Fayette, qui résistera à la

par son œuvre Madame Bovary en 1875, Gustave Flaubert, romancier français du XIXème siècle, est issu de l’école réaliste. De nature mélancolique, Flaubert était réputé perfectionniste. C’est ainsi qu’il raconta une histoire touchante, fondée sur la servante de ses parents dans Un cœur simple, conte réaliste qui est compris dans son recueil Trois Contes, publié en 1877. L’héroïne, nommée Félicité, après une enfance malheureuse, orpheline, sans éducation, devient servante de Madame Aubain, bourgeoise

d’observer les faits et de les décrire, d’identifier et de classifier les données de l’expérience dans un souci d’objectivité, d’où la focalisation externe, neutre et le discours indirect libre. (Le premier à avoir écrit au DIL est Flaubert dans Madame Bovary.) Mais la théorie de Zola, retranscrite ici de manière laconique, sur le personnage du roman, ne semble t’elle pas adaptée seulement au personnage du roman moderne ? I : Le personnage du roman moderne à l’image de l’homme et de la société

autre que ce qu'il est », p10 réflexion sur la démarche de flaubert : n'a pas pour but de mettre enavant une idée morale ou un système de valeurs, mais néanmoins offre une vision du monde → 1902 : va plus loin que celui de 1892 1892 : axé sur l'oeuvre de Flaubert (pas que Madame B, mais aussi B&P, la tentation de Saint Antoine, l'Educ Sent) On a déjà l'idée que Madame Bovary va bien plus loin que l'illustration des frustrations d'une bourgeoise du XIXè siècle et qu'elle représente en réalité

Mademoiselle de Chartres, jeune orpheline de seize ans élevée par sa mère selon de rigoureuses règles de morale, paraît pour la première fois au Louvre. Le prince de Clèves, ébloui par sa beauté, la demande en mariage. Mademoiselle de Chartres accepte ce mariage de raison. Trop tard, la Princesse de Clèves rencontre le duc de Nemours. Naît entre eux une passion immédiate et partagée, à laquelle sa mère, Madame de Chartres la conjure de renoncer : « ne craignez point de prendre des partis trop rudes et trop

Incipit Madame Bovary II- Plan du texte Problématique : Quel est l'intérêt du portrait de Charles ?                          Comment le narrateur joue-t-il avec les attentes du lecteur ?                          Comment le personnage est-il introduit dans cet incipit ?   I- Un incipit déroutant A- Le choix narratif Début in medias res assumé par un narrateur ambigu car le texte s'ouvre par le mot « nous », pronom qui est répété et relayé dans la suite du texte par le pronom « on ». Le

Séquence 3 : Madame Bovary  Partie III, chapitre 8, l’agonie d’Emma Romanciers du XIXeme siècle  fins tragiques Comment se mêle le tragique et la réalité sordide de la mort ? I. L’intensité du drame A. Une mort dramatisée Construction ternaire Structure du texte= progression de la mort Agonie dramatisée par l’expression des sentiments (sérénité, effroi, épouvante face à la mort) Modèle dramatisé de la catastrophe Renversement final après un moment de rémission où la maladie semble suspendue B

PINÇON-CHARLOT "Sociologie de la bourgeoisie" (1991) […] L’air du bal était lourd ; les lampes pâlissaient. On refluait dans la salle de billard. Un domestique monta sur une chaise et cassa deux vitres ; au bruit des éclats de verre, Mme Bovary tourna la tête et aperçut dans le jardin, contre les carreaux, des faces de paysans qui regardaient. Alors le souvenir des Bertaux lui arriva. Elle revit la ferme, la mare bourbeuse, son père en blouse sous les pommiers, et elle se revit elle-même