Monseigneur

mais aussi un Etat par l’intermédiaire du Vatican. L’influence religieuse a été considérable en Europe en particulier par l’arme de l’excommunication. Elle est rarement utilisée de nos jours (exception monseigneur Lefebvre en 1988 avec les conséquences en 2009 avec un des évêques sacrés comme monseigneur Williamson : non reconnaissance de sa part du génocide juif). L’Eglise se partage entre la défense de valeurs morales et l’obligation d’entretenir de bonnes relations diplomatiques avec tous les Etats

Question 1:  La préface de la Fontaine et de Perrault défendent les memes idées sur la maniéres d'instruire les lecteurs. Lesquelles?  INTRODUCTION  Nous allons étudier textes du corpus , " A Monseigneur le Dauphin " préface des fables de la Fontaine écrit en 1668 ensuite la préface des contes en vers de Perrault écrit en 1695 et " Les Fées " de Perrault écrit en 1697.Quelles sont les memes idées défendu par la Fontaine et Perrault sur la maniére d'instruire le leccteur? Pour cela , dans une

| |Le baron | |apparences). |« ils l’appelaient tous |Noblesse. | | | | |monseigneur ». | | | | |Présenté par son poids et |« pesait environ 350 livres » | | | | |sa

générale. L'univers décrit semble immobile, existant de toute éternité. Rien ne vient perturber ce cadre où tout semble aller pour le mieux depuis toujours. 3 : Un monde idéal. Le vocabulaire utilisé est mélioratif. « Droit, bon et honnête, Monseigneur, une très grande considération, honneur, dignité » … « respectable, digne, toute la bonne foi, admirablement ». Ce vocabulaire est présent dans l'ensemble du texte. On remarque également le rôle des superlatifs : « le plus simple, un des plus

dénoncerai à sa révérence le père de La Chaise, qui le fera mettre dans le gîte où est à présent la chère personne que vous devez épouser. » La pauvre fille, après un long embarras et de grandes irrésolutions, lui nomma enfin Saint-Pouange. "Monseigneur de Saint-Pouange! s'écria le jésuite ; ah! ma fille, c'est tout autre chose; il est cousin du plus grand ministre que nous ayons jamais eu, homme de bien, protecteur de la bonne cause, bon chrétien ; il ne peut avoir eu une telle pensée ; il faut

fenêtres. Sa grande salle même était ornée d'une tapisserie. Tous les chiens de ses basses-cours composaient une meute dans le besoin ; ses palefreniers étaient ses piqueurs ; le vicaire du village était son grand aumônier. Ils l'appelaient tous monseigneur, et ils riaient quand il faisait des contes. Madame la baronne, qui pesait environ trois cent cinquante livres, s'attirait par là une très grande considération, et faisait les honneurs de la maison avec une dignité qui la rendait encore plus

De même, la répartition des paroles suffit à comprendre les rôles de chaque personnage : les tirades de Don Salluste soulignent sa suprématie sur les valets, qui sont identifiés tels que grâce à la manière dont ils s’adressent à Don Salluste (« monseigneur » vers 23, 31, 51 par exemple) ou même à travers la seconde didascalie : « Ruy Blas obéit ». Ensuite, on remarque une réelle efficacité dans la présentation de la situation de disgrâce. Au vers 4, l’accumulation « renvoyé, disgracié, chassé »

existant de toute éternité. La scène se situe dans un cadre où tout semble aller pour le mieux depuis toujours. c) Un Monde idyllique et idéal - Vocabulaire mélioratif : « droit (l.5), bon et honnête gentilhomme (l.10), Monseigneur (l.22), une très grande considération (l.25 - 26), honneur (l.26), dignité (l.27), respectable (l.27 - 28), digne (l.30), toute la bonne foi (l.33), admirablement (l.36) » en abondance et réparti dans l’ensemble du texte. - Rôle des superlatifs :

générale), univers immobile, existant de toute éternité.  La scène se situe dans un cadre où tout semble aller pour le mieux depuis toujours.    3) Un Monde idyllique et idéal  Vocabulaire mélioratif : « droit (l.5), bon et honnête gentilhomme (l.10), Monseigneur (l.22),  une très grande considération (l.25 ‐ 26), honneur (l.26), dignité (l.27), respectable (l.27 ‐ 28), digne (l.30),  toute la bonne foi (l.33), admirablement (l.36) » en abondance et réparti dans l’ensemble du texte.  Rôle  des  superlatifs : 

tout entière en moi. " 2S 1:10- Je m'approchai donc et lui donnai la mort, car je savais qu'il ne survivrait pas, une fois tombé. Puis j'ai pris le diadème qu'il avait sur la tête et le bracelet qu'il avait au bras et je les ai apportés ici à Monseigneur. " 2S 1:11- Alors David saisit ses vêtements et les déchira, et tous les hommes qui étaient avec lui firent de même. 2S 1:12- Ils se lamentèrent, pleurèrent et jeûnèrent jusqu'au soir à cause de Saül, de son fils Jonathan, du peuple de Yahvé et