Mon beau sapin

auquel sa situation expose cette demeure en temps d’ouragan[1]. Certes on doit avoir là-haut un air pur et salubre en toute saison : la force avec laquelle le vent du nord souffle par-dessus la crête se devine à l’inclinaison excessive de quelques sapins rabougris plantés à l’extrémité de la maison, et à une rangée de maigres épines qui toutes étendent leurs rameaux du même côté, comme si elles imploraient l’aumône du soleil. Heureusement l’architecte a eu la précaution de bâtir solidement : les fenêtres

plein de choses inconnues, De foetus qu'on fait cuire au milieu des sabbats, De vieilles au miroir et d'enfants toutes nues, Pour tenter les démons ajustant bien leurs bas; Delacroix, lac de sang hanté des mauvais anges, Ombragé par un bois de sapins toujours vert, Où, sous un ciel chagrin, des fanfares étranges Passent, comme un soupir étouffé de Weber; Ces malédictions, ces blasphèmes, ces plaintes, Ces extases, ces cris, ces pleurs, ces Te Deum, Sont un écho redit par mille labyrinthes;

"Aube": "La première entreprise fut, dans le sentier déjà empli de frais et blêmes éclats, une fleur qui me dit son nom. Je ris au wasserfall blond qui s’échevela à travers les sapins : à la cime argentée je reconnus la déesse." C'est magnifique!"des gouttes d'or en suspens aux rayons d'un vélo"Mélange entre le prosaïque (rayons d'un vélo) et le poétique("gouttes d'or en suspens"): métaphore de la lumière du

muets ! Grottes ! Forêt obscure ! Vous, que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir, Gardez de cette nuit, gardez, belle nature, Au moins le souvenir ! Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages, Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux. Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface

mais peinard, Et l'on se sent floué par les années perdues, alors vraiment Avec le temps on n'aime plus. Léo Ferré, « avec le temps  André Chénier, Iambes, IX – extrait Comme un dernier rayon, comme un dernier zéphyr9 Animent la fin d'un beau jour Au pied de l'échafaud j'essaye encor ma lyre10. Peut-être est-ce bientôt mon tour. Peut-être avant que l'heure en cercle promenée Ait posé sur l'émail brillant, Dans les soixante pas où sa route est bornée, Son pied sonore et vigilant ;

Colonel de St Ferjeux, en 1973, s'en charge, et dessine un écusson très en rapport avec l'Abbaye et le Saugeais. Il représente la Crosse de l’Evêque symbolisant le pouvoir Abbatial ; le heaume du Chevalier pour la protection par les Sires de Joux ; le sapin ; le ciel bleu et le Doubs coulant au milieu des pâturages. 3-5 Laissez-passer Le Saugeais, grâce à une histoire unique et des traditions propres, est devenu un pays "à part" en Franche-Comté. Cette République a réussi à engendrer des citoyens

nuit GLOIRE AU NOUVEAU ROI In excelsis deo ! Tous les anges au ciel le chantent Gloire oh gloire au nouveau Roi ! Sa grande paix, Sa douce grâce Dieu nous a réconciliés Joie sur la terre et dans les cieux Joignons-nous au chant céleste En ce beau jour de noël Christ est né à Bethléem Et que tous les saints le chantent Gloire oh gloire au nouveau Roi ! In excelsis deo ! Glo… ria ! In excelsis deo ! JESUS OH QUEL ENFANT MERVEILLEUX ! Jésus, Jésus oh quel enfant merveilleux Jésus, Jésus si…

première à l'industrie textile dans la vallée de la Vesdre, le gouvernement autrichien à Bruxelles décide en 1775, les premières essais de plantation d'épicéas dans ce domaine. Ces parcelles s'appellent encore de nous jours, « aux mille sapins » et aux « dix mille sapins Forêt spadoise Musée de la fôret Forêt de hertogenwald Les Terrasse Les terrasses d'Avroy, quartier bourgeois, datent de 1880, elles occupent le site de l'ancien quai du commerce. Les terrasses des minimes, Son nom lui vient

forêt obscure ! Vous que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir, Gardez de cette nuit, gardez, belle nature, Au moins le souvenir ! 53 Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages, Beau lac, et dans l'aspect de tes riants’ coteaux’, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux ! 57 Qu'il soit dans le zéphyr’ qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui

la construction on différencie deux grandes familles : Les résineux : Les résineux sont des bois relativement légers, donc de mise en œuvre facile, et dont la résistance mécanique est bonne. Les principaux résineux utilisé en charpente sont le Sapin, L’Epicéa commun, le Pin sylvestre, le pin Maritime et le Douglas. Les résineux sont plus vieux que les feuillus, ce qui explique leur structure très basique. Structure microscopique : Les trachéides verticales sont des cellules ayant un rôle