Mon beau sapin

qui sortent comme des automates. À la fin de la musique, le silence revient toujours troué par la sonnerie du téléphone, la lumière croît et l'on découvre le décor : une mansarde cossue ou un loft high−tech... Peu importe. Le désordre règne. Un sapin de Noël clignote, seule touche de mauvais goût. 23h30 à la pendule. Paulest allongé sur son lit, recouvert d’un drap, un bras pendant dans le vide, il semble inconscient. Sur le chevet des tubes de médicaments vides... Et sur le sol, une bouteille

atone, Et le soleil dardait un rayon monotone Sur le bois jaunissant où la bise détone. Nous étions seul à seule et marchions en rêvant, Elle et moi, les cheveux et la pensée au vent. Soudain, tournant vers moi son regard émouvant " Quel fut ton plus beau jour? " fit sa voix d'or vivant, Gustave Caillebotte, peintre (1848-1894) Route Rising “Nous étions seul à seule et marchions en rêvant, Elle et moi, les cheveux et la pensée au vent.” Sa voix douce et sonore, au frais timbre angélique. Un sourire

notre petite bande. Excuse le, il est un peu timide. -Ok. Tu peux me le dire, je ne vais pas te faire de mal. Bref, on a un gros problème. -Détrompe toi ! C’est un monstre. -Seulement pour toi. La flamme de la vie a… disparu. J’ai beau la chercher, elle a disparu de leurs corps. » A ces mots les trois autres s’immobilisèrent. Leurs yeux exprimaient leurs peurs. En effet, la flamme constituait un accord entre les espèces. Elle était nécessaire à la diversité des espèces. Elle

! - C'est moi, c'est Ondine qui frôle de ces gouttes d'eau les losanges sonores de ta fenêtre illuminée par les mornes rayons de la lune ; et voici, en robe de moire, la dame châtelaine qui contemple à son balcon la belle nuit étoilée et le beau lac endormi. " Chaque flot est un ondin qui nage dans le courant, chaque courant est un sentier qui serpente vers mon palais, et mon palais est bâti fluide, au fond du lac, dans le triangle du feu, de la terre et de l'air. " Ecoute ! -

accroupie, Regrettant mon amour et votre fier dédain. Vivez, si m'en croyez, n'attendez à demain : Cueillez dés aujourd'hui les roses de la vie. Du Bellay - Heureux qui comme Ulysse… (Texte analytique) Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je

rédigé en 1586 et le bel été de Yves Bonnefoy extrait de Hier régnant désert rédigé en 1958. Ce thème nous crée une tout autre façon de voir tous ce qui nous entourent , on verra pas un coucher du soleil de la même façon qu'avant on le trouvera plus beau , plus merveilleux. Tous ça grâce a un poème qui parler de celui-ci . La poésie a donc plusieurs thèmes chacun d'eux est important pour les jeunes elle nous aide a nous faire une idée sur ce qui est la vie a la voir d'un autres point de vue et

tout près. Assise sur ma grande chaise, Mi-nue, elle joignait les mains. Sur le plancher frissonnaient d’aise Ses petits pieds si fins, si fins. — Je regardai, couleur de cire Un petit rayon buissonnier Papillonner, comme un sourire Sur son beau sein, mouche au rosier. — Je baisai ses fines chevilles. Elle eut un long rire tris-mal Qui s’égrenait en claires trilles, Une risure de cristal… Les petits pieds sous la chemise Se sauvèrent : « Veux-tu finir ! » — La première audace permise

muets ! grottes ! forêt obscure ! 50 Vous, que le temps épargne ou qu’il peut rajeunir, Gardez de cette nuit, gardez, belle nature, Au moins le souvenir ! Qu’il soit dans ton repos, qu’il soit dans tes orages, Beau lac, et dans l’aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux. Qu’il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés, Dans l’astre au front d’argent qui blanchit ta surface

enfers, Et qu'il faut pour tresser ma couronne mystique Imposer tous les temps et tous les univers. Mais les bijoux perdus de l'antique Palmyre, Les métaux inconnus, les perles de la mer, Par votre main montés, ne pourraient pas suffire A ce beau diadème éblouissant et clair ; Car il ne sera fait que de pure lumière, Puisée au foyer saint des rayons primitifs, Et dont les yeux mortels, dans leur splendeur entière, Ne sont que des miroirs obscurcis et plaintifs ! »

lendemain dans un haut lit d’acajou, entre des draps brodés, frais et empesés, qui sentaient le vent » (cette image laisse supposer que la maison est fraîche et aérée). Les meubles sont magnifiques : « un beau bahut ciré », « la première pièce, très basse de plafond, et toute tapissée de sapin », « un haut lit d’acajou ». Ces meubles font penser au décor des maisons de campagne des contes de fée. On peut relever aussi l’abondance de la nourriture : « un lapin dressé dans un plat en faïence vert,