Mon beau-père et moi

dans un bar où il commença . Avant même d’avoir pu parler à Manon 3 laquais de son père sonnèrent chez eux et l’embarqua violemment pour retourner chez lui à Amiens en compagnie de son frère . En arrivant à sa ville natale , son père détruit par le départ furtif et non prémédité de son fils l’enguirlanda un peu et lui annonça la triste nouvelle : l’amant de Manon n’est autre qu’une connaissance de son père et que grâce au respect qu’il éprouvait pour lui, Monsieur B.. lui avait tout raconté

.......................................................4 I. L’auteur au lecteur ................................................................5 II. Le labour ..............................................................................9 III. Le père Maurice................................................................ 17 IV. Germain le fin laboureur.................................................. 21 V. La Guillette ......................................................................... 27

18/11/11 Narrateur du film : interne (Philippe Gimbert) Résumé du livre : A paris rue Bourg l’abbé vivait Philippe, un adolescent de 15 ans, son père maxime et sa mère Tania sont un couple sportive. Philippe s’inventait un frère qui possédait tous ce que l’adolescent n’avait pas. Un jour regarda avec sa classe un film sur la deuxième guerre mondiale ou il se bagarra avec son camarde de classe

malencontreusement enceinte au sortir du couvent à la suite d'un viol (par un homme plus âgé qu'elle de 20 ans) que son père cherche à tout prix à établir (elle fera une fausse-couche et ce sera tout bénéfice). Zola pointe ici la fragilité des classes dominantes engluées dans des positions morales rigides, inadéquate et mortifères dont les femmes font les frais en tout premier lieu, le père n'ignorant rien de ce que vaut Saccard et des raisons qui le fondent à épouser Renée et l'acceptant tout de même

souvent la passion un ressort de la tragédie. Les contraintes de la passion. I) La passion amoureuse : Un ressort de la tragédie La passion de Phèdre comment est née cette passion amoureuse fatal chez Phèdre ? Sinon un coup de foudre Phèdre aima son beau fils a la première vue. En réalité cet amour est extraordinaire : Venus la déesse de l’amour dans son entreprise de vengeance sur la famille de Phèdre inspire ce dernier a aimer incestrieusement le fils Thésée son mari cet passion conte d’dalleur

(Une martyre). En parallèle de poèmes graves (Semper Ædem) ou scandaleux pour l'époque (Delphine et Hyppolite), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage). Eléments biographiques En 1827, son père (un prêtre "défroqué") meurt mais cet homme lettré, épris des idéaux des Lumières et amateur de peinture, peintre lui-même, lui laisse un héritage spirituel. Un an plus tard, sa mère se remarie avec le chef de bataillon Jacques Aupick. Le futur poète

correspondante : PHEDRE Mère : Pasiphaé Père : Minos (roi de la Crète) Frères et soeurs : 3 dont Ariane Etat civil : épouse de Thésée THESEE Père : Egée Mère : Aethra Etat civil : époux de Phèdre (secondes noces) HIPPOLYTE Père : Thésée Mère : Antiope Etat civil : célibataire b.Les liens de parenté ØÀ partir des informations ci-dessus, retrouvez le lien de parenté entre Phèdre et Hippolyte : Hippolyte est le beau-fils de Phèdre. Il existe donc un lien d’alliance

partage. D'un coté, il est toujours pauvre, et non pas délicat et beau comme la plupart des gens se l'imaginent, mais maigre, [203d] défait, sans chaussure, sans domicile, point d'autre lit que la terre, point de couverture, couchant à la belle étoile auprès des portes et dans les rues, enfin , en digne fils de sa mère, toujours misérable. D'un autre côté, suivant le naturel de son père, il est toujours à la piste de ce qui est beau et bon; il est mâle, entreprenant, robuste, chasseur habile, sans

théâtre, influencé par les auteurs espagnols . Courant classique: Le classicisme établit la suprématie de la raison qui s’exerce par des règles. Peindre le beau et le vrai demeure la grande préoccupation des écrivains. Mais comme les créateurs s’adressent à un public précis, la Cour, l’idéal est d’inspirer le respect du régime royal, le beau est ce qui est conforme à la morale chrétienne. Pour eux peindre le vrai, c’est peindre la nature humaine, peindre l’homme. La peinture des passions humaines

LE PERE GORIOT, dernier extrait. Alors qu'il s'est saigné toute sa vie pour faire la fortune de ses deux filles, Mme de Restaud et Mme de Nucingen, le père Goriot, bourgeois à la retraite que les affaires avaient enrichi, meurt abandonné et misérable. Résidant dans la même pension que lui, Eugène de Rastignac est le seul qui, avec Christophe le domestique de la pension, accompagne la dépouille du pauvre père de famille. Le passage montre à quel point le roman balzacien occupe une position de charnière