Molière Didascalie

III, scène II du Tartuffe de Molière IDENTITÉ Titre de la pièce : Tartuffe Auteur : (Jean-Baptiste Poquelin) Molière Époque/mouvement littéraire : Molière appartient au XVII siècle et au mouvement littéraire du classicisme. En tant que dramaturge, il s’est dédié au théâtre classique en produisant des comédies et des comédies-ballets. Pièce : Le Tartuffe, Acte : III, Scène : II Nature : Cette pièce de théâtre est considérée une comédie, même si Molière côtoie parfois le tragique

DON JUAN !! Bio : Molière de son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin est né en 1622 d’une famille Bourgeoise Parisienne. fait des études de droit à Orléans donc un amour pour la justice. Depuis son enfance il a toujours aimé le monde du spectacle. C’est pourquoi, à 21 ans, il prend le pseudonyme de Molière pour fonder « L’illustre Théâtre » avec Madeleine Béjart et se tourne vers une carrière de comédien. Il va parcourir les routes de France avec sa Troupe, jouant des pièces qui ont eu peu de

dix-neuf fois par les Comédiens-Français tant l’opposition est grande. Quant à Musset, il finira par écrire un « Spectacle dans un fauteuil », jugeant que le public n’est pas celui de son théâtre. Ses pièces attendront d’autres temps. Les nombreuses didascalies en appellent à l’imagination du lecteur, à sa représentation intérieure. En 1886, Hugo adoptera la même attitude dans son « Théâtre en liberté » où il préfère confier au texte « «ce théâtre idéal que tout homme a dans l'esprit ». Il est vrai que

où se réunit le clergé, la noblesse etc... Toutefois, le roi Louis XVI préférait la comédie à la tragédie et en redemandait toujours à Molière. Ce fut aussi le siècle de Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière. Baptisé le 15 janvier 1662, c’est un comédien aimé par Louis XVI mais controversé par l'Église. Le roi lui propose toujours de rédiger des comédies malgré Molière qui préfèrerai être un acteur de tragédie. Mais ça ne l’empêche pas de devenir un grand comédien et de créer la Grande comédie sur les

festin de pierre de Molière, ou encore les fourberies de Scapin du même dramaturge, où les personnages prennent un accent. Car le comique de mots est fondé sur des jeux de mots, des plaisanteries, mais aussi un langage déformé voire inventé. Le troisième type de comique est la satire : l’auteur se moque d’un trait de caractère (comme l’avarice dans l’Avare) ou encore d’une profession (les médecins dans le malade imaginaire). Pour finir, le comique de geste ; il provient des didascalies de l’auteur ou

Question : Comparez les relations entre les personnages mis en scène dans ces extraits. Les quatre textes proposés (Molière, Le Bourgeois gentilhomme, 1670 ; Beaumarchais, Le barbier de Séville 1775 ; Georges Feydeau, On purge Bébé, 1910 ; Eugène Ionesco, La Leçon, 1951) mettent en évidence des rapports de pouvoir et de domination, liés à la connaissance et à la culture. Le maître de philosophie domine M. Jourdain par son savoir comme le professeur domine l’élève : les deux hommes étalent leur

réjois vraiment de jouer dans cette pièce. Bérenger porte des vêtements sales, froissés, ne porte pas de cravate … Cela permet à l'autre personnage de lui reprocher et d'insister sur son négligement. Guillaume lui souria et le remercia. Molière, dans l'Avare, utilise les costumes pour se référencier à l'Amour comme nous pouvons le remarquer avec les compliments que fait Frosine à Harpagon. Le théâtre de l'absurde a pour but comme son nom l'indique de n'avoir point de logisme et de règles

Lecture analytique des scènes 5 et 6 de l’acte V de Dom Juan Introduction - Molière est un grand auteur de théâtre du 17ème siècle qui s’est illustré tout particulièrement dans la comédie. C’était aussi un grand metteur en scène et un grand acteur. - Dom Juan est une pièce créée en 1665. Molière reprend un personnage en vogue au 17ème siècle. Il s’attaque à l’hypocrisie des libertins, ce qui devrait être très bien vu par les religieux de l’époque. Mais la pièce est souvent étonnante dans sa construction

direction du texte. Le statut du metteur en scène a donc pris une place de plus en plus importante dans la réalisation d’une œuvre. Ainsi le metteur en scène d’une pièce de théâtre, peut-il être considéré comme son créateur ? I) NON 1-Didascalies très présentes Les didascalies sont dans certaines pièces de théâtre très présentes, elles indiquent sur le décor, le lieu, les gestes, le ton, l’énonciation, les accessoires et tout autre élément important, ce qui laisse moins de place pour le metteur en scène

(Le malade imaginaire, Molière( Troisième intermède I/ La satire de la médecine 1) Introduction burlesque • Cérémonie parodique car Molière considérait la médecine comme une comédie. • Chœur de médecins qui chante et ballet d’apothicaires( désacralisation • Didascalie « cérémonie burlesque » désacralisation de la cérémonie • « Huit porte-seringues »( métiers ridicules. « Six apothicaires, douze docteurs »( le nombre de personnes présentes sur la scène est démesuré(