Moliere Conclusion

Le théâtre de l’absurde Dissertation : « Les pièces de théâtre sont faites pour être jouées », écrit Molière. A la lumière du corpus et des pièces que vous connaissez, vous direz si vous partagez ce point de vue, ou si, au contraire, on peut trouver plaisir à lire une pièce sans assister à sa représentation. Le théâtre, qui provient d’un mot grec signifiant « regarder, contempler », allie le texte écrit et la représentation visuelle. Il désigne aussi le lieu où sont jouées les pièces. A l’origine

seules mains. Molière, de façon burlesque, dénonce à travers ses pièces de théâtre, les travers de la société du XVIIème siècle. Mais à y regarder de plus près, le lecteur s’aperçoit que les travers et les moeurs critiquées sont universelles et passent les siècles. Par exemple, Argan, le malade imaginaire, s’est remarié avec Béline qui n’attend que sa mort pour hériter ; l’avare Harpagon personnifie l’avarice, l’égoïsme et la tyrannie domestique. Nous voyons que les pièces de Molière, tout en nous

Tirade de Chryslade dans L'École des Femmes, acte IV, scène 8 de Molière, 1662 L'infidélité des femmes Intro: Nous sommes à la fin de la pièce alors qu'Arnolphe vient d'être cocu. Chrysalde expose alors son pdv sur le cocuage dans une tirade argumentative I) Une réplique argumentative digne des sophistes A. L'interpellation du destinataire B. La rigueur du raisonnement II) Un thème récurent dans la comédie: le mari trompé A. Un ton nouveau? B. Condamnation des extrémités III)

l'Aulularia de l'auteur latin Titus Maccius Plautus (Plaute né en 254 avant notre ère en Ombrie – actuelle Emilie-Romagne en Italie - et mort en – 184) La comédie de Plaute est uniquement une comédie d’intrigue, tandis que Molière développe une comédie de caractère et de moeurs. Molière ne s’est pas contenté dans L’Avare de mettre bout à bout des idées empruntées à d’autres. Bien au contraire : pour créer une pièce cohérente et divertissante, pour donner une unité à sa comédie, il a dû dominer ses sources

Auteur : Molière (1622-1673) Molière, de son vrai nom, Jean-Baptiste Poquelin, est un dramaturge et un comédien du XVII° siècle qui s'est illustré au début du règne de Louis XIV. Il est né à Paris où il a ensuite été chef de troupe de théâtre français. Cet auteur de comédies, issu d'une famille de riches marchands, a connu un grand succès lors de son vivant grâce à des pièces telles que Les Précieuses ridicules (1659), Le Médecin malgré lui (1666) ou encore Le Malade imaginaire (1673). Après

rythme ses pas sur ses paroles. Aussi, dans la scène 7 de l’acte IV de l’Avare de Molière également, Harpagon s’attrape lui-même le bras en réclamant son argent. De plus, la comédie nous propose une forme de dépaysement à travers plusieurs époques, pays grâce aux costumes et autres accessoires… Par exemple, dans Ubu Roi d’Alfred Jarry, elle nous transporte dans la Pologne du XIXe siècle. De plus, dans Tartuffe de Molière, on nous entraîne dans la France du XVIIe siècle à travers toute la pièce.

dont l'auteur nous reste inconnu aujourd'hui, on identifie un comique de gestes lorsque le berger assomme ses moutons. Dans Tartuffe, de Molière, le public a le sourire aux lèvres devant le comique de situation présenté : Orgon apprend après un certains temps de réaction que l'homme d'église qu'il héberge n'est pas un saint. Dans Les Fourberies de Scapin, de Molière, les techniques vocales et accents de Scapin renvoient au comique de mots. Accompagnés du comique de mœurs et de caractère, toutes ces

se distingue dans le théâtre comme un outil de blâme de la société. Souvent abordée dans des comédies, la critique des mœurs fut largement utilisée par Molière dans de multiples œuvres notamment l'Avare où l'écrivain condamne la cupidité bourgeoise. Dans Tartuffe, les faux dévots sont tournés en ridicule grâce à l'extraordinaire écriture de Molière. De même la comédie " Les affaires sont les affaires " d'Octave Mirbeau critique les mœurs de La Belle Epoque et plus particulièrement la puissance de

.............. 13 5.5. Lieux........................................................................................................... 14 VI. Une troupe permanente ............................................................................ 15 Conclusion ......................................................................................................... 16 Références ......................................................................................................... 17 Annexes .......

classicisme: Les principes du classicisme: Le culte des anciens Les écrivains classiques, à leur tour, les imitent car ils pensent que les grands auteurs de l'antiquité avaient atteint la perfection, prouvé selon eux par la durée de leur renommée. Molière a ainsi imité Plaute, Racine Sénèque ou Euripide, La Fontaine le fabuliste grec Ésope, Boileau dans son Art Poétique la Poétique d'Aristote... L'idéal classique • Souci de perfection, d'où l'autorité