Moine Soldat

avait achevé sa prière et qu’il revenait sur ses pas, il vit s’avancer à sa rencontre un moine d’un grand âge. Il l’aborda et le pria avec une grande douceur de lui dire ce qui se trouvait derrière les hauts murs qu’il avait remarqués. Le moine lui répondit qu’il y avait un cimetière. Le chevalier lui demanda alors : « Dieu vous garde ! Voudriez-vous m’y conduire ? - Bien volontiers, sire. » Alors le moine le conduisit au cimetière et le guida entre des tombes qui comptaient sans doute parmi les

lexical de la vie religieuse montre l’impiété et l’égoïste gloutonnerie du rat. D’ailleurs, les motivations de l'animal sont d’être seul, avoir la paix, on lit : «  se retire » et «  solitude […] profonde ». La Fontaine termine par une déclaration: "Un moine est toujours charitable" précédé d'un verbe exprimant le doute qui permet au lecteur de s'interroger: "Je suppose". On trouve une grande ironie dans la morale à l'aide de la question rhétorique qui prend la forme d'une devinette pour le lecteur. La

engagements sacrés qu'on avait décidé de prendre envers le Dieu tout puissant ». - Le document concernant l'Auvergne, le 5 et le 6, sont des extraits d'une œuvre qui s'appelle Correspondance diplomatique des papes. Auteurs : Raoul Glaber : moine chroniqueur, né en 985 et mort en 1047. A 12 ans, il entre dans le monastère de St-Léger-de-Champeaux, puis de 1025 à 1030, il entre au monastère de St Bénigne à Dijon et enfin, en 1039, il entre au monastère de St Germain d'Auxerre. Ses chroniques

il est mort à Paris en 1553. Novice chez les franciscains, il étudie les auteurs grecs qui inspireront son humanisme, puis mène une vie monastique de frère prêcheur à l'abbaye de Fontenay-le-Comte. A partir de 1527, après avoir quitté l’habit de moine et avoir visité plusieurs universités, il suit des études de médecine à Montpellier et devient médecin à l'hôpital du Pont-du-Rhône à Lyon en 1532. C'est là que Rabelais publie son premier roman, Pantagruel, sous le pseudonyme d'Alcofribas Nasier qui

trouve une abbaye dont Guillaume Rabelais était tenancier une quarantaine d’année auparavant, qui conserve les relations familiales. La volonté des parents n’est pas connue, peut être l’y ont il envoyé pour consacrer à Dieu leur dernier né et le faire moine, ou tout simplement pour l’instruire ou encore peut être que sa mère est morte en accouchant comme son personne de Badebec mettant au monde Pantagruel. Quand il sort de Seuilly, il entre comme novice dans le couvent de la Baumette, fondé par le roi

spirituel et moral des clercs et des moines est jugé médiocre en raison de pratique comme la SIMONIE et le NICOLAISME (mariage des prêtes) Devant ces problèmes, une réforme de l’Eglise s’engage sous l’impulsion du pape GREGOIRE VII (1073-1085) ancien moine de Cluny, c’est la réforme grégorienne : elle vise à restaurer la dignité et l’autorité du clergé en les séparant des laïcs. Le mot Eglise tend alors à désigner le clergé qui dirige la Chrétienté. Il est exalté comme le 1er ORDRE DE LA SOCIETÉ

l'éloge à la fin du texte l.35"Mais ce n'est pas le cas de notre bon Frère Jean"avec la conjonction de coordination "mais" qui montre l'exception dans ce clergé et la bonne marche a suivre. A la fin de ce texte beaucoup d'adjectifs qualifie le bon moine, il est sociable, honnête, joyeux et aide le peuple en se rendant utile. Rabelais considère les Ecritures Saintes comme unique fondement du christianisme. Il critique les abus de la religion catholique, dont l'ignorance des moines. Rabelais veut

Le monachisme chrétien est apparu à la fin du troisième siècle de l'ère chrétienne lorsque certains ascètes fuirent les persécutions romaines. Il se propagea rapidement et évolua de manière impressionnante. En moins d'un siècle le monachisme chrétien devint une institution indépendante organisée, et continua son évolution en occident juqu'à la fin du moyen âge. En occident, à l'époque de la réforme les protestants critiquèrent le monachisme de manière virulente, le résultat fut que beaucoup de monastère

moyennant l’écoute de la parole de Dieu et sa méditation dans les temps de lecture et de dialogue communautaire. * Le travail manuel permet à la communauté de gagner sa vie et de partager d’une façon authentique la loi du travail. Elle fortifie le moine dans le don de soi, dans l’effort d’ intégration communautaire et donne au monastère un visage pauvre, simple et accueillant. * Toute la journée est ainsi réglée pour impliquer la personne toute entière dans l’unique service de la volonté de Dieu

pourquoy les uns ont le nez plus grand que les aultres » Explication de texte : Introduction : Rabelais a été lui-même franciscain, ce qu'à fait naître chez lui une source de réflexion poussée. Dans Gargantua, il met en scène un personnage de moine, peu conformiste : St Jean des Antommeurs, qui, contrairement à ces semblables, défend son abbaye contre les armées de Picrochole en utilisant son crucifix comme arme, et désacralise ainsi l'objet. C'est ce personnage qui est le prétexte au débat