Module de cisaillement

l’intérieur du port ...........................................................19 Figure 7 : Quais en caissons échoués ou havés .........................................................................................23 Figure 8 : Quais en palplanches à module .................................................................................................23 Figure 9 : Quais en parois moulées ...........................................................................................................24 Figure

............................................................................. 27 Tableau 4 : ................ ...................................................................................... Erreur ! Signet non défini. Tableau 5 : Types de modules élastiques ........................................................ Erreur ! Signet non défini. Elèves Ingénieurs Génie Chimique option Pétrole Introduction 7 Introduction L’évolution de l’industrie dans ces dernières décennies a poussé

à quelques dizaines de centimètres de la surface à étudier (cf figure 5). polariseur source lumineuse observateur t structure analyseur revêtement photoélastique Figure 5 : Photoélasticimétrie par réflexion Le revêtement a un module d'élasticité beaucoup plus faible que celui de la structure sur laquelle il est appliqué : il va donc suivre les déformations de la struture même au-delà de la limite élastique de celle-ci. La loi qui lie les déformations et la biréfringence accidentelle

mentionnons le Manuel de calcul des charpentes en bois auquel il est fait référence dans le présent exemple ainsi que la suite complète du logiciel de calcul des charpentes en bois WoodWorks® (Design Office 99). WoodWorks® (Design Office 99) comprend les modules SIZER, CONNECTIONS et SHEARWALLS qui facilitent le processus de calcul. On trouvera une version de démonstration du logiciel à http://www.woodworks-software.com/. Le plus récent logiciel, CodeCHEK est un outil de contrôle de faisabilité qui permet

Définition du risque mécanique MODULE 8 : PREVENTION DES RISQUESSéquence 3 : L’approche par le risqué liée au risque mécaniqueEnsemble des facteurs physiques qui peuvent être à l’origine d’une blessure par l’action mécanique d’éléments de machine, d’outils , de pièces ou de matériaux solides ou de fluides projetés . Il prend différentes formes telles qu’écrasement, cisaillement, coupure, happement, entraînement, emprisonnement, choc, chute… Les conséquences des accidents sont souvent graves pour

paramètres machines, quelles matrices ? RTM UP + taffetas ou satin 5 ou sergé UP + taffetas / niveau cuisson matrice UP Quinn and Randall Vf = K 1 + K 2 .√P K1, K2, ctes. P, pression appliquée Toll and Månson n P = k.E.(Vf - Vfo n) k, cte. E, module fibres Vf, fraction volumique Vf0, fraction volumique fibres limite n, exposant Colloque MECAMAT – Aussois – 24/01/2011 22 11 Élaboration des matériaux composites : procédés et simulations associées A A.5 Procédés : quels paramètres machines

fléchissant Mz (x) autour de l’axe z, agissant sur la section droite de centre d’inertie G située à l’abscisse x Ex : module d’élasticité selon la direction x Iz = bh3/12 : moment d’inertie Uy(x) : la flèche à l’abscisse x Par double intégration, la flèche s’écrit de la manière suivante Soit f, la flèche maximale, en x=L/2.On en déduit le module d’élasticité Ex La contrainte à rupture est égale à : σ=Mz.Ymax/Iz avec Ymax=h/2

b´eton. . . . . . . 17 Evolution de la r´esistance fcj en fonction de l’ˆage du b´eton. . . 18 Evolution de la r´esistance `a la traction ftj en fonction de celle `a la compression fcj . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19 Evolution du module de Young diff´er´e Evj en fonction de la r´esistance caract´eristique `a la compression du b´eton fcj . . . . . 20 D´efinition du diagramme contrainte-d´eformation de calcul `a l’ELU. 21 Diagrammes contrainte-d´eformation d’essais de traction sur

recherche d’une propriété mécanique élevée), elle cherche au contraire et en permanence un compromis optimal entre plusieurs propriétés souvent contradictoires (un matériau à la dureté élevée et au comportement non fragile, un composite artificiel à module d’élasticité très élevé et à coût modéré, etc.). Dans cette stratégie, le bois occupe dans la majorité des cas une position toujours optimisée. Si l’âge du bronze, l’âge du fer sont à ce jour dépassés, l’âge du bois est d’une telle évidence d’actualité

standards - Maîtrise de la qualité des produits - Mise en œuvre artisanale - Bonne adaptation à la demande architecturale - Prix compétitifs 6 Préfabrication d’éléments standards - Fabrication de composants muraux ou de modules tridimensionnels pré-dimensionnés - Maîtrise de la qualité des composants - Pose sur chantier par monteurs (faible qualification) - Faible adaptation à la demande architecturale 7 Post industrielle - Fabrication industrielle