Modernité Et Postmodernité

l’autre + racisme différentialiste qui survalorise les ≠ entre les races dans une logique d’extermination (ex : extermination actuelle des chrétiens d’Orient).  On est actuellement dans la postmodernité (depuis 1970) = (Epoque moderne = 1860-1970.) -renoncement au grand discours héroïque et positif de la modernité -découverte du peu de réalité de la réalité dans laquelle nous sommes càd l’atomisation des stés et la mondialisation de l’économie (« insoutenable légèreté de l’être » [Milan Kundera]

Ligne du temps de fin 19èmesiecle jusqu'à aujourd'huiL’art nouveau : 1890-1910 :L'Art nouveau est un style artistique qui se développe dès la fin du XIXe siècle, d'abord en Belgique et en France. Il s’épanouit dans l’architecture et dans les arts décoratifs. La recherche de fonctionnalité est une des préoccupations de ses architectes et designers. L’Art nouveau se caractérise par des formes inspirées de la nature, où la courbe domineEmmanuelle Villani : Réalisées principalement en bronze, parfois

serait aujourd’hui en grande partie révolu. À notre sens, et un peu comme l’entendaient quelques-uns des «   premiers   » sociologues (Saint-Simon, Comte et Durkheim), la modernité aurait été la deuxième révolution majeure de l’histoire de l’humanité, après la naissance de la civilisation autour du principe religieux. La modernité, mode culturel intermédiaire, séparant une histoire passéiste de l’homme de l’histoire de l’homme à venir, à réinventer, a naturellement engendré une nouvelle dimension artistique

Définition 4 : ------------------------------------------------- La tribu, en dehors de sa définition ethnologique, désigne des individus vivant des expériences communes ou qui partagent la même passion. Maffesoli souligne que la fin de la modernité conduit à l’éclatement des grandes catégories structurantes, aussi bien idéologiques que sociales, telles que les classes sociales. Les individus isolés sont à la recherche de lien social, qui leur est donné par des communautés non exclusives (on

émettent des commandements unilatéraux à des populations sédentarisées. WEBER: l'Etat détient le monopole de la violence légitime car il est reconnu par le droit. Ce monopole a acquis son stade définitif au XVIème siècle, au commencement de la modernité. L'Etat apparaît donc au XVIème siècle. C'est un siècle traversé par des guerres de religion, des grandes découvertes, la Renaissance, etc... C’est un siècle révolutionnaire dans lequel L'Etat va s'approprier la religion. Au XXIème siècle, société

une anthropologie générale dans un cadre cosmologique. On a vu le rapport de l’homme au monde d’un point de vue moral = théorie de la sagesse. On va se concentrer sur le domaine sociopolitique.  D’où provient le schéma ternaire pré-modernité, modernité, postmodernité ? Tocqueville nous propose une théorie de l’émancipation de l’individu, une histoire de l’individu. C’est l’histoire de son émancipation progressive. Sortie de la tradition ou de la religion ne peut pas se faire en une seule fois mais

désenchantement du Monde, perçu par Max Weber comme un événement inhérent à la modernité, accompagne le mouvement planétaire technico-économique décrit précédemment. Ce phénomène se traduit par un phénomène de sécularisation : la religion est progressivement amenée à passer de l’espace public, des institutions, des familles, au domaine de l’individu, de l’intime. Cette mondialisation induit une tension très forte entre une postmodernité libérale, désenchantée, athée, issue du positivisme et des conceptions

effet les deux règles cardinales de la rhétorique classique, ä savoir «qu'il est possible de tenir deux discours opposes sur n'importe quel thème» et «qu'il est possible de faire de la position la plus faible, la plus forte». Ce projet revisite la modernité d'âpres guerre ä la lumière des recherches d'identité postmodernes. Le plan directeur que Cor van Eesteren a établi dans les années soixante détermine la disposition rigoureusement orthogonale de la cite d'Osdorp: des immeubles barres ä coursives

révolution individualiste ». Ce n’est qu’après, qu’il réfuta le terme de postmodernité pour employer « l’hyper modernité » et ainsi définir le renouveau de nos sociétés ; ‘c’est le temps de la modernité achevée, sans contrainte, déréglementée et globalisée’. Une seconde révolution moderne, où il est question de toujours plus de concurrence, de compétition, de marchandisation et de mobilité. Au cœur de l’analyse de l’hyper-modernité, Lipovetsky étudie les métamorphoses et non la fin du capitalisme de

laisse assez de place pour la réflexion personnelle. Le seul point négatif à travers se livre c'est le ressentiment de répétition. Perspectives : Les questions soulevées sont : Comment la société va se situer dans le passage de la modernité à la postmodernité? Comment notre passé, héritage va t'il s'articuler avec notre présent et un futur dont les besoins ont changé? La médiation qui est un rituel jouera tel un rôle important dans le passage au troisième millénaire? La médiation est difficile