Miroir primaire

porte aussi une alliance en or, toute simple. Je regarde ma main fixement quelques instants, puis je bouge les doigts. Les doigts de la main qui tient le savon bougent aussi. Je suffoque, et le savon tombe dans le lavabo. Je lève les yeux vers le miroir. 8 Le visage qui se trouve face à moi n’est pas le mien. Mes cheveux n’ont aucun volume et sont bien plus courts que la coupe que j’ai d’habitude ; la peau des joues et du cou est flasque, les lèvres sont minces, les coins de la bouche tombent

de cet homme dans le reflet du miroir … Ici, le miroir ne reflète pas une image exacte de la scène car il est trop proche. Il devrait logiquement nous cacher toute la scène s’il existait vraiment. On l'a qualifiée cette œuvre de « testament pictural », ou encore de « résumé de son œuvre ». Pour ma part je suis d’accord avec cette dernière idée. Il a intégré à cette dernière peinture un peu de tous ses tableaux. Pour ce qui en est du mystère de l’homme dans le miroir, je pense que c’est tout simplement

voit l’artiste de dos, assis sur un tabouret. Il est face à une toile et se penche pour regarder son reflet dans un miroir situé sur une chaise à sa gauche. Ce miroir doré est décoré de l’aigle américain symbole des Etats-Unis. La main droite du peintre est levée, elle tient un pinceau posé sur la toile, où se dessine le portrait de l’artiste en noir et blanc. L’image dans le miroir correspond au reflet du peintre en train de se regarder (même taille, couleurs et posture). Il porte des lunettes

insuffisant car encore inachevé et sans couleurs avec un regard visible mais ailleurs. Le spectateur est donc conduit à se diriger vers le peintre lui-même et vers son reflet dans le miroir. Les deux autres portraits sont moins « parfaits », plus sincères car en accord l’un avec l’autre. Le portrait proposé dans le miroir est moins flatteur que celui de la toile : l’artiste apparaît plus maigre, la pipe tombante, les épaules basses, le cou exagérément long et portant des lunettes qui cachent son regard

esprits et sursauta en apercevant ses pieds… D’immenses chaussures de clown les remplaçaient, et il comprit alors la raison de sa chute. Prit au dépourvu, paniqué, Antoine courut jusqu'à la salle de bain où il resta figé devant son reflet dans le miroir. Un hurlement strident parcourut toute la maison, son teint était devenu semblable à celui d’un vampire et une grosse boule rouge figurait à la place de son nez ! Ses cheveux… ou plutôt une perruque multicolore se dressait sur sa tête !!! Il était

inaugurent la modernité en poésie. Sources : Encyclopédie et page internet 2) Le poète utilise plusieurs outils afin de mettre en parallèle l’homme et la mer. Il y dans un premier temps l’utilisation du mot « miroir » (ligne 2) signifiant que la mer est a notre image. L’eau est le miroir de l’homme, le reflet de son cœur, de son esprit, de son âme. Ce poème est également construit sur un jeu de parallélisme qui permet de mettre en opposition ces deux entités. Ces jeux de reflets sont perceptibles

prendrons en compte l'annonce de l'ambition sociale de Duroy. I- La montée d'escalier La montée des marches est associée à une une prise de conscience de soi de plus en plus fine . Dans ce passage, on remarque la symbolique des miroirs. En effet les miroirs ont un rôle important, ainsi que leur place. Chaque étages à sa propre interprétation, car au fur et à mesure que le personnage monte les marches ses impressions sur lui même changent et évoluent. Au premier étage Duroy doute de lui :

mémoire, on remarquera le souci de rigoureuse logique dans la pensée et dans la présentation; mais surtout le recours à l’observation et à l’expérimentation. Mme Du Châtelet avait fait de nombreuses expériences à son domicile (par exemple avec des miroirs ou des lentilles comme le "verre ardent" qui concentre les rayons du soleil, ou bien avec des mélanges chimiques), pour lesquelles elle protégeait ses belles robes d’un tablier noir. Le feu était considéré comme un corps à part, qui pouvait être mêlé

dramaturge et un essayiste mais surtout un écrivain du XXème siècle. Il est né en Algérie et est mort en France. Il a écrit de nombreux romans, dont Caligula, qui fut publié en 1944. Dans cette scène de dénouement, Caligula fait, seul devant son miroir, le bilan de sa vie. Il regrette de n’avoir jamais pu atteindre l’impossible et exprime pour la première fois ses sentiments. Il sait qu’il va mourir et avoue sa peur et sa souffrance. Nous verrons de quelle manière Caligula reconnaît sa profonde

"Un roman, c'est un miroir qu'on promène le long d'un chemin", Rouge et Noir de Stendhal. En effet, le roman peut être le reflet de la société qui est l'état de vie collective, de l’époque on l’on vit. A chaque siècle, les auteurs ont leur propre vision du monde et de la société qui les entoure. De nombreux auteurs du 19e siècle intègrent leurs personnages dans un registre réaliste pour permettre au lecteur de s’identifier aux personnages.De plus, le lecteur, en lisant des auteurs de différents