Miroir primaire

incompréhensible parce qu’à jamais inquestionné que suscite la présence dérangeante de la « Flea Market Lady » arborant un tee-shirt dont l’inscription sans équivoque « I’m a big deal » vient menacer la tranquillité du reflet de l’américain moyen dans le miroir aux illusions perdues de Duane Hanson. Témoins et héros anonymes du surgissement de la vérité, c'est aux existences silencieuses que les sculptures hyperréalistes de Duane Hanson rendent la parole.

de l’Est. Nous comprenons alors tout de suite que le sport est le reflet de notre société actuelle, c'est-à-dire de plus en plus communautariste et violente. Nous pouvons donc nous poser la question suivante : dans quelle mesure le sport est-il le miroir de notre société ? Pour y répondre, nous verrons qu’à l’image de notre société, le sport est fédérateur mais qu’il subit aussi les dérives de la société. Il existe un lien entre le sport et notre société. Le sport est à la base un loisir et une

baldaquin, avec la jambe gauche relevée. Elle se trouve dans une position impudique qui montre assez bien son anatomie, et, la main sur son sein droit, elle se regarde dans le miroir, la tête penchée en arrière. A l’arrière-plan, un squelette se montre imperceptiblement, on distingue son crâne et le haut de ses épaules. Dans le miroir, la tête de la femme se superpose avec celle du mort. Son vêtement léger et sa position ne sont pas ceux d’une femme au réveil normale, elle sort d’une nuit de plaisir

couverte de teintures roses délicates. Un lit à baldaquin encombre le milieu de la salle ; adjacent à la fenêtre, un bureau de chêne supportant un nécessaire à écrire occupe un pan de mur. Le pupitre est orné d’un bouquet de vipérines violacées. Un miroir est placé de l'autre côté. Madeleine de Morestel - S'assoit devant son pupitre et commençant à écrire ce qu'elle a à l'esprit  « Mon prince » mais non cela n’est pas très original venant de ma personne, lui-même sait qu’il est le prince de ce royaume

  Le miroir Le soir de mon initiation, en me retournant, je me suis retrouvée pendant un instant face à un miroir et j’ai alors découvert que j’étais peut être moi-même mon pire ennemi. Si je me souviens avoir eu du mal à ne pas baisser les yeux à ce moment là, je peux également affirmer n’y avoir plus songé..…jusqu’à ces derniers

lumineux en deux faisceaux perpendiculaires de même amplitude. Chacun des faisceaux est ensuite réfléchi par un miroir puis retombe sur la séparatrice qui va redonner deux faisceaux se propageant dans la même direction. Ces deux faisceaux présentent une différence de marche qui dépend de la distance et de l’angle entre les miroirs : ils peuvent donc interférer. En remplaçant une des miroirs par son image par la séparatrice, on voit que le système est équivalent à une lame d’air dont on peut faire

bonté d'âme, comme il fait croire à sa pupille Hazel, ou plutôt par un singulier mystère, le vieillard interdit toute surface réfléchissante dans son manoir (eau des toilettes ou du bain, fenêtres, miroirs etc.). Les fenêtres sont placées si haut 'qu'il n'y a rien à espérer des vitres. Le seul miroir accessible est celui qui, selon Stendhal, se promène le long du chemin: le roman. Le livre commence par un extrait de journal d'Hazel dans lequel le lecteur apprend les circonstances de la relation

shampooing, Cosma alla se regarder dans le miroir, un peu plus loin sur la gauche. C’était une jeune femme très moderne, plutôt apprêtée. Pas très belle, mais vraiment charmante. Elle se passa la main dans les cheveux et aperçut son reflet. Celui-ci, soudain, changea de forme. Apparut une magnifique jeune femme, à mi-chemin entre Sarah Michelle Geliar et Andie MacDowell. Cheveux châtains ondulés, yeux bleus, sourire charmeur. Cosma, séduite, avança vers le miroir. Le reflet changea encore, faisant apparaître

d’eau, à coté du crane, pour faire des provisions vers l’au delà. La faux, les grains de blé, pour représenté la vie. J’écris mon testament philosophique, temps bien que mal, avec cette bougie, qui éclaire de moins en moins, je me regarde dans le miroir pupille dilaté, j’ai une sensation de froid qui est plus forte, je sens que du temps est passé. On vient pour nous préparer, la corde au cou, les yeux bandés, claudiquant, le cœur à nu. Ont nous ramène devant une porte. Je me baisse pour entrer,

empoussiéré comme si personne n’y avait pénétré depuis des siècles. De plus, le comte Dracula ne mange jamais en sa présence, Jonathan passe les nuits avec lui, mais ne le voit jamais de jour et finalement aucun miroirs ne se trouvent dans le château, et lorsqu’il sortira son propre miroir de poche, le Comte ne s’y reflétera pas dedans. C’est bien assez pour créer une crainte du personnage. Nous perdons sa trace alors que le relais de l’histoire est pris par sa fiancée, Mina Murray qui va