Milton Keynes

des fins de transactions et ne dépend que des revenus disponibles. Milton Friedman considère que l’essentiel de la politique économique doit être concentreé sur la régulation de création de la monnaie. 3 – Fonctions de la monnaie chez Keynes Keynes  Théorie général de l’emploi de l’intérêt et de la monnaie. Le taux d’intérêt devient la variable fondamentale. Il va déterminer le comportement des agents. Pour Keynes, les agents ont besoins de monnaie pour 3 raisons : principe de transaction

peut avoir pour effet d’améliorer les niveaux de production et l’emploi. La remise en cause par Keynes de la dichotomie classique sert de fondement au modèle ISLM élaboré par Hicks et Hansen. Deux hypothèses de l’analyse classique sont remises en cause. D’une part l’hypothèse de vitesse de circulation de la monnaie constante est abandonnée. Et la demande de monnaie peut se justifier par elle-même. Keynes met ainsi en évidence trois motifs spécifiques pour cette demande : un motif de transaction, un

banques; des plans de relance massifs, creusant les d�ficits budg�taires, sont engag�s. Depuis le sommet du G20 de Londres, le 2 avril, les Etats tentent de r�guler les zones d'ombre de la finance, des paradis fiscaux aux fonds sp�culatifs. Les th�ses keyn�siennes reviennent en gr�ce, pendant que les id�es lib�rales, qui avaient triomph� depuis Margaret Thatcher et Ronald Reagan, sont remises en cause. Interrog� devant une commission du Congr�s des Etats-Unis en octobre 2008, l'ex-pr�sident de la R�serve

l’utilité marginale de cette marchandise. – Introduction de l’analyse à la marge qui va permettre une utilisation plus poussée des études mathématiques. – Les agents économiques sont supposés rationnels et désireux d’optimiser. Keynes 1) Sa vie, son œuvre Il conteste très largement les politiques libérales de son temps et la crise de 1929 l’a conduit a préconisé l’intervention de l’Etat. 2) Les fondements théoriques de l’interventionnisme L’analyse keynésienne

marginaliste. Les classiques et néo-classique voient toute politique de relance de la consommation une source potentielle d’inflation et de déséquilibre intérieure. b) Approche Keynésienne Pour KEYNES, les facteurs qui déterminent la propension à consommer sont souvent très subjectifs. KEYNES parle de l’importance de la précaution, de l’ambition, de l’indépendance et même de l’orgueil et de l’avarice. Pour lui ces facteurs peuvent être considérés comme stables à court terme. Une relance artificielle

David RICARDO : spécialisation des Etats dans l'échange : théorie de l’avantage comparatif Les auteurs néo-classiques et contemporains (20ième siècle) - Milton FRIEDMAN : Ecole monétariste : mouvement des prix par variation de la masse monétaire – Arthur LAFFER : Limitation de la pression fiscale 2.Le courant keynésien - J. M. KEYNES : théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la demande (1936) Le marché peut être défaillant L'Etat a une légitimité à intervenir 3.Le courant

involontaire comme ils surpayent. On peut dire en conclusion que le courant de la synthèse rapproche deux visions concurrentes. Analyses Walrassiennes. Il intègre donc les solutions néoclassiques et celle imposé par Keynes. Les postes keynésien vont revendiquer les messages originel de Keynes c’est a dire ils vont revenir aux analyses cambridgiennes et dans le même temps les monétaristes et les nouveaux économistes classiques vont estimer que les politiques conjoncturelles sont définitivement inefficace

la loi psychologique de Keynes, la structure de la consommation évolue avec le revenu, un accroissement du revenu entraîne le plus souvent un accroissement de la demande et donc de la consommation. On parle d’élasticité revenue de la demande, la consommation augmente quand le revenu augmente. La fonction de consommation traduit la relation existant entre l’évolution de la consommation globale de l’ensemble des ménages et le revenu disponible de ces ménages. D’après Milton Friedman, Les consommateurs

objectifs intermédiaires eux sont les cibles qui permettent d’atteindre ces objectifs finaux. Exemple : le taux de change et le contrôle de la progression d’un agrégat de monnaie. B)      Outils de la politique monétaire La philosophie économique de Keynes est que le chômage est possible et qu’il est remédiable par l’action de l’Etat. Selon lui, il peut agir principalement avec deux leviers : la politique monétaire et la politique budgétaire. On peut distinguer trois principaux instruments dans le

ionle budget et les limites des politiques budgétaires Le budget est devenu un instrument de la politique éco sous l’impulsion de Keynes. Il a notamment été utilisé pendant les 30 glorieuses avec des résultats indéniables. Avec la crise de 73 74 au premier choc pétrolier et un déficit qui va augmenter régulièrement (aux alentours de 9% de déficit budgétaire pour 2010). L’utilisation de cet instrument est remis en question notamment par les libéraux. A ce jour un jeune français née à peu près avec