Milton Keynes

l’ensemble des 44 nations alliées. Un observateur soviétique était également présent. Les deux protagonistes principaux de cette conférence ont été John Maynard Keynes, qui dirigeait la délégation britannique, et Harry Dexter White, assistant au secrétaire au Trésor des États-Unis, qui avaient tous deux préparé un plan d'ensemble. Le plan Keynes fut ébauché dès 1941 et préparait un système monétaire mondial fondé sur une unité de réserve non nationale, le bancor. La partie américaine mettait en avant

FICHE DE SYNTHESE : LA RELATION SALAIRE-EMPLOI CHEZ LES NEOCLASSIQUES ET J.M KEYNES Dans l'analyse classique, pour Adam Smith ou David Ricardo, le salaire est avant tout un salaire de subsistance (fonction du prix des denrées de première nécessité). Mais si les conditions économiques sont favorables aux travailleurs, ceux ci peuvent obtenir un taux de salaire (salaire de marché, résultat de la confrontation entre l'offre et la demande) supérieur au taux de salaire naturel qui lui correspond au minimum

tout autre doit se préoccuper des fins dernières de l'homme». Après avoir enseigné à Oxford et à Bristol, il poursuivit sa carrière de professeur à Cambridge où il occupa la chaire d'économie politique de 1885 à 1908. Il eut pour élève John Maynard Keynes qui deviendra son principal critique et Arthur Pigou. Il meurt à Cambridge le 13 juillet 1924. Son Œuvre Son livre Principes d'économie politique (1890) a rassemblé les théories de l'offre et la demande, d'utilité marginale et des coûts de production

monétaristes, défendent la thèse de la neutralité de la monnaie. Selon eux, l’émission de monnaie n’influence pas l’économie réelle (production, emploi, investissement, etc.). Elle ne permet pas de relancer la croissance économique. La conception de Keynes conteste cette analyse. 1) L’approche quantitativiste Doc. 21 p. 62. On attribue souvent au philosophe Jean Bodin (1530-1596) la paternité de cette approche : il expliqua, en 1568, que la hausse des prix en Europe résultait de l’afflux

économique 1.1. Le modèle keynésien Les politiques budgétaires expansives se sont inspirées des théories keynésiennes. En effet, dans LA THEORIE GENERALE DE L’EMPLOI , DE L’INTERET ET DE LA MONNAIE, ouvrage fondamental publié en 1936, John Maynard Keynes justifie l’intervention de l’État dans l’activité économique pour palier aux déficiences du marché, sortir des situations de crise et favoriser la croissance économique. Il préconise un soutien de la demande, c’est-à-dire de la consommation et de

je peux peut être investir. A partir de ces prévisions on va obtenir un équilibre prévisionnel. Le modèle ISLM : Un modèle créée par un économiste anglais John Richard HICKS qui a crée en 1937 ce modèle pour construire une analyse du modèle de Keynes pour le réintégrer dans le modèle néoclassique. Le modèle de HICKS est très bien construit tout le monde l’utilise, il a donc duré longtemps. Chapitre 1 : Le modèle ISLM I investissement S épargne L liquidity (demande de monnaie) M money (offre

Keynésianisme Le keynésianisme est une école de pensée économique fondée par l'économiste britannique John Maynard Keynes. Pour les keynésiens, les marchés laissés à eux-mêmes ne conduisent pas forcément à l'optimum économique. En outre, l'Etat a un rôle à jouer dans le domaine économique notamment dans le cadre de politique de relance. Toutefois l'importance de ce rôle varie avec les courants keynésiens et avec les traditions étatiques des différents pays. Les courants dominants actuels sont

d'investissement. La fonction de consommation porte sur la consommation finale (l'ensemble des achats permettant de satisfaire directement les besoins des agents économiques sans participer ou concourir à l'accroissement de la production). Hypothèse de Keynes : « Les hommes tendent à accroître leur consommation à mesure que le revenu croît, mais non d'une quantité aussi grande que l'accroissement du revenu". 1- analyse keynésienne des relations sur le revenu : A- la relation consommation-revenu

abondance à l’état de nature ; l’homme doit donc les produire. L’homme doit donc opérer des choix sur la nature des biens à produire et la quantité des biens à produire. L’économie est donc une science des choix en contexte de rareté. John Maynard KEYNES, en 1930, dans ses essais sur la monnaie et l’économie, évoque cette notion de besoins économiques illimités éprouvaient par les individus. Il explique qu’il existe deux catégories de besoins économiques : besoins absolus que l’individu ressent quelle

(valeur fondamentale) venant principalement de la production, la monnaie se trouvait au dessus « La monnaie c’est comme l’huile dans le moteur ». L’économie réelle est une économie de troc. La monnaie n’est qu’un intermédiaire neutre. Pour Keynes Le schéma est différent ya pas une économie mauvaise ou bonne, il n’y a pas de hiérarchie, il y a la monnaie = le centre de l’affaire et autour l’économie. La monnaie règle les débits, la configuration de la mécanique. Comme c’est un tout il ne