Micro-casque

Encadré par : Pr B.D. Rossi Hassani Préparé Par : - Mohamed Louay METOUGUI Année universitaire 2008/2009 * Introduction : Un biofilm de Staphylococcus aureus dans un cathéter Biofilm est une communauté structuré de micro-organismes, marquée par la sécrétion d'une matrice protectrice et adhérant entre eux et à une surface colonisée. Le biofilm est aussi caractérisé par sa structure hétérogène, sa diversité génétique, ses interactions complexes entre les communautés

mesures générales d’hygiène présentées dans la circulaire DGS/DH N°98/249 du 20 avril 1998. Ces précautions ont pour objectifs : * De s’appliqué à l’ensemble des produits d’origine humaine * De permettre d’éviter la transmission croisée de micro-organisme : patient-patient ; patient-soignant ; soignant-soignant C’est pourquoi, il faut respectés les mises en précautions pour tout les patient par tout les soignants quelque soit le statut d’infection du malade. Les 7 précautions standards

L’HYGIENE DES MAINS IFSI Montauban 1 2 3 I. HISTORIQUE • Début de la mise en place des démarches / hygiène: 1847, maternité de Vienne, I. SEMMELWEIS met en évidence le RÔLE DES MAINS dans la transmission des germes  lavage des mains avant tout examen ou soin  étude épidémio, réorganisation des soins 4 Historique … suite • Fin 19ème: L. PASTEUR découvre – les microbes, la fermentation, – mécanismes des maladies infectieuses  mise en place des mesures contre la transmission

déterminer la potabilité de l’eau : -organoleptique : ( couleur, goût) ; -physico-chimique : (pH, ions ex : chlorure) ; -substance indésirable : (nitrate, nitrites) ; -toxique : (plomb, arsenic et les pesticides) ; -microbiologique : (bactérie et autre micro-organisme). II- Les prélèvements d’eau. Les différents usage de l’eau conduisent a des prélèvements de l’ordre de plusieurs centaines de litre par jours et par habitant dans les pays industrialisé. Le pompage de l’eau ce fait dans le milieu naturel

Selon ces normes, une eau potable doit être exempte de germes pathogènes (bactéries, virus) et d’organismes parasites, car les risques sanitaires liés à ces micro-organismes sont grands. Elle ne doit contenir certaines substances chimiques qu’en quantité limitée : il s’agit en particulier de substances qualifiées d’indésirables ou de toxiques, comme les nitrates et les phosphates, les métaux lourds, ou encore les hydrocarbures et les pesticides, pour lesquelles des " concentrations maximales admissibles

de six produits : livres, disques, micro-informatique, son, vidéo et photographie. Nous pouvons constater qu’il y a deux zones qui se détachent dans le magasin. Elles coupent le magasin en deux parties au niveau du son-hifi à l’espace évènementiel. La zone chaude concerne donc les rayons du disque, de la vidéothèque et du gaming situé au fond du magasin. La zone froide concerne ainsi les rayons du livre, du son-hifi, de la photo, de la TV-vidéo et de la micro-informatique. L’agencement du magasin

LES MICRO-ORGANISMES I. Introduction 2 II. Définition 3 III. Historique 3 A. Antoine van Leeuwenhoek (1632-1723) 3 B. Louis Pasteur (1822-1895) 3 IV. Classification et caractéristiques 4 A. Les procaryotes 4 1. Les archéobactéries 4 2. Les eubactéries 4 B. Les eucaryotes 4 1. Les protozoaires 5 2. Les algues 5 3. Les champignons 5 4. Les lichens (association champignon-algue) 5 V. Taille des micro-organismes 5 VI. Besoin des micro-organismes 6

50 millions de bactérie par centimètre carré !!! On identifie chez un adulte, entre 500 à 1000 espèces de micro-organismes différentes. Toutes les zones en contact avec l’extérieur présentent des bactéries, tout particulièrement la peau et le tube digestif. La Flore cutanée On trouve deux types de flore microbienne sur la peau : La flore résidente constituée de germes commensaux (micro-organismes qui colonisent l'organisme sans provoquer de maladie) Et, la flore transitaire formée de germes

biochimiques, qui ont été acceptés et homologués à titre de biopesticides par l’Environmental Protection Agency (EPA) des États-Unis. • Au niveau provincial Au Québec, la Loi sur les pesticides définit un pesticide comme « toute substance, matière ou micro-organisme destiné à contrôler, détruire, amoindrir, attirer ou repousser, directement ou indirectement, un organisme nuisible, nocif ou gênant pour l'être humain, la faune, la végétation, les récoltes ou les autres biens, ou destiné à servir de régulateur

(analyses spectrométriques et chromatographiques) et dans les analyses morphologiques, grâce au microscope comparateur (étude des projectiles, des faux documents, des falsifications) et au microscope électronique (surtout à balayage) pour l'étude précise des tissus, des poudres et de certains micro-organisme comme les diatomées.