Métro de New York

New York City HISTOIRE Les origines : Les premiers habitant étaient les Algonquins et l’endroit s’appelait «Mannahatta». Ceux-ci se sont fait envahir par les Iroquois. Apres cette guerre, les Iroquois se rassemblèrent sous un arbre pour tenir un grand conseil d’Onondaga, au cours duquel ils décidèrent de créer 6 nations indiennes. En 1524, après Colomb, un Florentin travaillant pour François Ier, découvrit Staten Island, qu’il baptisa Nouvelle Angoulême. Il se contenta d’observer

n'apparaissent ses qualités esthétiques, les graffitis qui envahissent les rues et le métro de New York dans les années 1970 constituent d'abord un acte revendicatif. Taki 183 ou Tracy 168, pour ne citer qu'eux, expriment leur identité par leur signature. Par la suite, la rivalité entre les crews induit une compétition stylistique et permet aux artistes d'accéder à la notoriété. En quelques années les graffs recouvrent le métro de la grosse pomme et provoquent l'émulation d'une scène de plus en plus large

réalisé en 1959. Dans le rôle de Roger O' Thornhill, Cary Grant; Eve Kendall, Eva Marie Saint; Phillip Vandamm, James Mason et Léonard, Martin Landau. Scénario Original d'Ernest Lehman. Musique de Bernard Herrmann. Générique de Saul Bass. A New York, le publicitaire Roger O' Thornhill, pris par hasard pour un certain George Kaplan, est enlevé. Il s'échappe puis tente de prouver son innocence. Chaque tentative l'identifie un peu plus au dénommé George Kaplan au point d'être accusé d'un meurtre

Mais la France refuse ses dessins, qui seront publiés aux Etats-Unis, où il effectuera de nombreux séjours à partir des années 60. De grands magazines comme «Horizon», «Esquire» et «The New Yorker» publient ces dessins sans même l'avoir rencontré. Aujourd'hui encore, on vend dans la cinquième avenue, à New York, des fac-similés des couvertures emblématiques dessinées par Folon. Artiste complet, il dessine, sculpte et illustre les livres de ses écrivains et poètes favoris comme Kafka, Borges, Vian

LE METRO PARISIEN Le métro parisien est riche de 213 kilomètres de lignes, empruntées chaque année par près de 1,4 milliard de voyageurs. Retour sur le succès d’une aventure plus que centenaire. La détérioration des conditions de circulation dans Paris avec le développement de l’automobile, l’exemple de capitales étrangères, comme Londres, New York ou Budapest, et l’imminence de l’exposition universelle de 1900 sont à l’origine du métropolitain parisien. Fulgence Bienvenüe, ingénieur des Ponts

marque le début de la force créatrice de l’Art Américain Le contexte Le Bad Painting (littéralement Mauvaise Peinture) est un mouvement officiellement né en 1978 lors de l’exposition des peintures de Neil Jenney, par Marcia Tucker, au New Museum de New York (musée d’art contemporain). Essentiellement américain, ce mouvement a aussi eu des représentants en Europe. Le mouvement est apparu dans une période de forte contestation culturelle et sociale. L’homme s’interroge sur le régime social, économique

les britanniques. Au sud de la ville, nous pouvons découvrir le quartier cosmopolite de Brixton habité par les immigrants des anciennes Antilles britanniques. On peut y trouver des produits de Caraïbes. Le Benglatown, quartier situé autour du métro Brick Lane, nous offre un univers bangladeshi avec ses tissus, ses aliments… Pour partir en Afrique, les londoniens peuvent visiter Dalston. La Turquie de Londres se trouve à Kingsland road où se trouve une population en tenue traditionnelle

sabots et plus de crottin) et surtout construction métro à partir de 1900 (moyen de transport privilégié des parisiens encore de nos jours) Cadre économique et industriel Paris, évidemment capitale de la France, est indissociable de la croissance économique française de l’époque (voir cours). Troisième mégapole du monde derrière Londres et NY (plus de 2.5 millions de Parisiens intra muros), elle participe au progrès technique: 1900: métro, 1906: 1ère ligne d’autobus. Ville qui attire: Expo

Dom Juan SCÈNE VI Personnages : Don Juan, Charlotte, Mathurine Disposition de la scène Nous nous trouvons dans un métro des années 90, quelque part dans New York (États-Unis) d’avant le 11/9, où ne circulent pratiquement que des hommes d’affaires. Nous avons choisi ce lieu, d’une part parce qu’il appartient au quotidien de la vie moderne, parce qu’il est propice aux rencontres imprévues, y compris entre milieux sociaux différents, et parce que le fond sonore

Bombe » Stickers : Autocollants sprays, peints ou imprimés Street Art: catégorie regroupant tout les éléments artistiques créés dans la rue de manière officielle ou illégale. Tag : Signature. A la base les tags étaient utilisés par les gangs de New York pour marquer leurs territoires Throw up : voir « Flop » Top to bottom : Graff qui occupe toute la hauteur d’une surface (d'un train par exemple) Toy : action de toyer = repasser, taguer le graff d'un autre graffeur pour se venger ou  parce qu'il