Méthane

/ Généralités La méthanisation : un processus naturel La méthanisation est un processus naturel biologique de dégradation de la matière organique en absence d’oxygène. La matière organique dégradée se retrouve principalement sous la forme de méthane. Ce processus peut être mis en œuvre intentionnellement, au sein d’un digesteur à partir de déchets organiques, et conduit à une production de gaz (biogaz) et d’un coproduit, le digestat. Processus de production du biogaz Le potentiel méthanogène

gazeuses. Pour pouvoir abriter la vie : * Elle ne doit pas être trop massive : - pour que l’attraction gravitationnelle ne soit pas trop forte. - pour libérer les gaz les plus légers comme l’hydrogène et l’hélium ce qui crée une atmosphère à base de méthane ou d’ammoniac (Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune) * Elle doit être assez massive pour que l’attraction gravitationnelle le soit assez, ceci, et pour permettre aux humains de se déplacer plus ou moins normalement. Pour retenir l’hydrogène et les

susceptibles de conduire à des transports écologiquement viables ?     R   Les économistes ont étudié différents scénarios permettant d'atteindre les objectifs suivants d'ici 2030 : . diminution de 80 % des émissions de gaz à effet de serre (CO2, méthane) par rapport à 1990. . diminution de 90 % des polluants (oxydes d'azote, particules, benzène, etc.) par rapport à 1990. . niveau de bruit égal ou inférieur à 55 dB de jour et à 45 dB de nuit à l'intérieur des habitations. . réduction des espaces

contemporaine, car le pétrole fournit le quasi totalité des carburants liquides. Le gaz naturel est un combustible fossile, il s'agit d’un mélange d'hydrocarbures légers comprenant du méthane, de l'éthane, du propane, des butanes et des pentanes. Bien que la composition du gaz naturel varie, son composant principal est le méthane (au moins à 90%). Il est associé à d'autres alcanes, à du diazote N2, à du dioxyde de carbone CO2 et à du sulfure d'hydrogène H2S. Le gaz naturel est incolore, inodore, insipide

d'autres gaz servaient à leur place comme : le dioxyde de soufre (SO2) et le méthane (CH4) ou d’autres que je ne connais pas donc que je citerais pas, qui étaient toxiques et/ou inflammables et/ou explosifs, provoquant ainsi de nombreux accidents domestiques : des gens mouraient asphyxiés ou brûlés vifs durant leur sommeil à cause d’une fuite de leur réfrigérateur ou lors de l’utilisation d’une bombe aérosol, le méthane propulsant le liquide pouvant former un mélange détonant avec l’air dans une

sources ; anthropiques (ex : émissions des poêles et chaudières, moteurs, usines, etc.) et naturelles (ex : volcanisme, érosion éolienne, émissions naturelles de méthane) Cette distinction est parfois difficile à établir ; la dégradation anthropique des sols (ex : réchauffement des pergélisol) peut favoriser des émissions de méthane qu'on jugera ou non naturel, de même qu'une aridification anthropique induite par le drainage, le surpâturage, la salinisation et dégradation des sols favorise des

radiolaires (ci-dessous) se développèrent sous l'eau. Certaines absorbent les consommateurs de CO² et produisent du méthane et du CO². D'autres absorbent le CO² et produisent de l'oxygène et du Carbone. Enfin, en fin d' Archéen supérieur (2800-2500 ma), et au tout début du Protérozoïque (2500-550 ma), il y a 2500 ma, se forme une atmosphère de troisième génération. Le méthane piège l'oxygène, le CO² et la chaleur. La température de la surface terrestre est de 23°C. Ainsi, la vie continua

nécessitent des nouvelles techniques d'extraction comme le gaz de schiste qui fait appel à un forage horizontal à fracturation hydraulique, une technique compliquée et dangereuse pour l'environnement également. Le gaz de schiste est essentiellement du méthane (CH 4). Il est contenu dans des pores ne communiquant pas entre eux dans des roches rendues imperméables par l'argile, contrairement au gaz naturel contenu dans des roches perméables qui permettent sa circulation vers la surface en s'accumulant

activités sont traduites par des risques d'émissions fugitives de méthane et de sulfure d'hydrogène qui est un gaz explosif et toxique. Les eaux de forage récupérées et stockées dans des bassins de décantation à ciel ouvert favorisent l'évaporation de substances entraînant une pollution chimique tels que le benzène,le toluène et le xylène qui pourraient causer des dommages dans la santé des populations riveraines. La pollution de l'air (méthane, gaz d'échappement avec productions de particules de toutes

pas rigoureusement les normes quand au taux d'émissions tolérable de gaz polluants. Le trio de tête des pays pollueurs sont : ✓ les USA ✓ la Chine ✓ la Russie Les autres gaz (méthane, hydrocarbures, ozone) sont responsables à part égale de l'effet de serre additionnel (15%). Le taux de méthane évoluant entre 0,4 et 0,8 ppm[2], a atteint une concentration de 1,6 ppm à la fin du XXè siècle. Quand au CFC[3] purement artificiel, il provient des aérosols. Les conséquences du réchauffement