Métayage

de production à un autre procèdent des contradictions économique et de la lutte des classes. Le mode de production d’une société est composée de « forces productives » (hommes, machines et techniques) et de « rapports de productions » (esclavage, métayage, artisanat, salariat…). C’est sur ce mode de production que s’élaborent les superstructures politiques, juridiques et idéologiques d’une société. Plusieurs modes de production se sont succédé au cours de l’histoire: féodal, bourgeois,… Les changements

fournis par les employeurs au titre de la rémunération du travail = salaires et traitements nets + cotisations sociales salariales et patronales Les revenus du patrimoine : ce sont les revenus de la propriété (dividendes, intérêts, loyers, fermages et métayages) ou des loyers fictifs qui correspondent au service que se rendent à eux-mêmes les ménages propriétaires de leur logement. Les revenus de l’entreprise individuelle : ce sont des revenus mixtes puisqu’ils rémunèrent à la fois un travail et un capital

et un lopin de terre. Ceux-ci devenaient des esclaves chasés (servi casati), ils furent appelés plus tard des serfs. La continuation naturelle humanisée de cette institution esclavagiste fut dons le servage, qui servit à son tour d'introduction au métayage. L'esclavage a continué d'être pratiqué d'une manière quasi interrompue dans le bassin méditerranéen au profit des nations chrétiennes et musulmanes. Les archives de Marseille et de Perpignan abondent de documents visant à réglementer cette pratique

l’appropriation du territoire, puisque les communautés et les petits exploitants luttent contre l’emprise ou l’empiètement des grands domaines. Ces conflits de classe rythment l’histoire agraire actuelle avec l’expropriation des métayers (N.b. : le métayage est un type de bail rural dans lequel un propriétaire, le bailleur, confie à un métayer le soin de cultiver une terre en échange d'une partie de la récolte) ou des précaristes (celui qui a la charge d'administrer les terres d'un grand propriétaire

habituellement la répartition primaire et la répartition secondaire, ou redistribution. La répartition primaire La première, répartition primaire, désigne le partage entre les différents apporteurs de facteurs de production : salaires, intérêts, fermages, métayages, profits, droits de propriété, impôts prélevés sur la production, etc. Ce type de répartition révèle à la fois les rapports de force qui peuvent exister entre les différents groupes sociaux en lutte pour le partage du revenu national (par exemple

enrichissement au XVIIIème siècle c'est qu'ils profitent de la hausse du prix des céréales jusqu'aux années 1770. Les paysans moyens, les laboureurs, ont trois types de terres : des terres en propriété, des terres en fermage (payent un loyer), des terres en métayage (redonnent au propriétaire de la terre une partie de leur récolte). Leur condition est relativement enviable au XVIIIème siècle. Les brassiers, les manouvriers, forment un véritable prolétariat rural au XVIIIème siècle parce que leur salaire augmente

parcelles cultivées ont été achetées ou louées. Le reste a été hérité ou occupé "provisoirement". 23,2% des récoltes sont destinés à la vente et 42,2% sont consacrés à l'autoconsommation. 27,6% et 7% sont respectivement consacrés aux intrants et au métayage ou au payement en nature. 32% des ménages pratiquent l'élevage dont plus de la moitié possède des bœufs. 12,5% de ces bœufs sont des animaux de traits. 4-7 Activités non agricoles L'EPM-93 a permis d'estimer le nombre d'entreprises non agricoles

salariat : ouvriers agricoles (permanents ou saisonniers).  Location :  « fermier » (fermage) = loyer fixe pour l'exploitation d'une terre.  « Métayer » (métayage) = loyer proportionnel, versé en nature sous la forme d'une partie (importante) de la récolte. Aucune durée minimale prescrite. Exemple de métayage répandu : le «khammès ». Vient du chiffre « cinq » en arabe → 1/5 seulement de la récolte est à lui (En fonction du seul facteur qu'il fournit sur les cinq qui rentrent

selon les pays : 40% en F, 25% en Angleterre, 20% en Espagne). La terre est tenue de trois manière, en propriété (alleu, freehold, pas d’alleux en Espagne sauf en Castille), ou tenure féodale (copyhold, baille à rente) ou en location (fermage et métayage : leasehold) suivant des baux de durée variable. En Angleterre, l’évolution privilégie des baux de plus en plus courts. En Espagne, on a plusieurs types de baux selon les durées : l’arriendo de 9 ans ou moins, le bail de long terme, ou l’aparceria

des surfaces relativement importantes .Ce qui lui permet de sortir des difficultés . Exploitatin moyenne = 30 hectares .Avec une charrue , un ou deux chevaux ,Une charrette .C exploitation myenne des fois c le proprio assez aisé ou c le principe du metayage .apporte bétail et semence .puis il y a un preneur , paysan , qui apporte sa force de travail et le matos .Les charges , risques et profits sont partagés en nature par exemple .Il y a une très grande diversité qui prend aussi en compte des rapports