Mes amis, mes amours

Au XVIème siècle Meaux a même été un point de départ du courant évangélique. Jean Vignes a divisé sa conférence en trois parties, la première sur l’amour de Ronsard pour la musique, la seconde sur la présence de la musique dans son recueil Les Amours et enfin la dernière sur la mise en musique de ses poèmes. La relation entre la musique et la poésie existait déjà depuis l’Antiquité, bien avant Ronsard donc, même au Moyen Age avec les troubadours. On dit que Ronsard est un poète « lyrique »

que « Annie » et « La chanson du mal aimé » parlent de ses relations avec Annie Playden, une gouvernante, et de la douleur de sa rupture quand elle partit en Amérique. Il est envoyé en prison en 1911, accusé de complicité de vol parce qu’un de ses amis a volé des statuettes au Louvre. La semaine passée à la prison de la Santé le marque. En 1913, il publie Alcools, résultat de ses poèmes depuis 1898. 2ème partie Apollinaire rassemble dans ce recueil quinze ans de poésie, près de soixante-dix

lexical des amours perdues, de la mélancolie qui est un thème récurrent dans la poésie lyrique. Dans ce dessin on retrouve également beaucoup de prénoms féminins, ceux-ci sont écrits en majuscule car ils sont très importants pour l’auteur. Toutes ces figures féminines sont reliées par l’allitération en m et l’assonance i. Dans cette poésie l’auteur exprime surement les sentiments qu’ils à vécus autrefois. Dans le deuxième dessin (le jet d’eau) l’auteur évoque cette fois ci le thème des amis dispersés

exercices parles-tu ? - C’est une palestre, me répondit-il, nouvellement bâtie, où nous nous exerçons la plupart du temps en discours dont nous te mettrions de moitié avec plaisir. - Fort bien, lui dis-je, mais qui est maître là ? - C’est un de tes amis, dit-il, et de tes partisans, c’est Miccus. Par Jupiter, ce n’est point là un sot, mais un habile sophiste ! - Eh bien ! veux-tu me suivre, et voir la compagnie qui se tient là dedans ? - Oui, mais je voudrais bien savoir ce que j’y viendrai faire

voudrais être femme pour contrôler ma vie , Je voudrais être les deux à la fois pour enfin vivre . Finalement , je vis sûrement les plus belle années de ma vie , Ces années où on se fait des amis pour toujours, Où un petit rien se transorme en un bonheur inouï , L'heur des rencontres et des nombreux amours . Une période de notre vie où on a toutes les envies , Rien ne saurait arreter notre quête de plaisirs , Tous ces moments de secrets partagés en catimini , Avec sa meilleure amie qui jure

personnelle. II/ En effet, la plainte élégiaque, construite autour des 3 motifs, témoigne de l’engagement du poète A) La colombe ou la plainte des amours perdus - Ton de la plainte amoureuse : périphrase « Douces figures poignardées » + question « où êtes-vous » + interjection « ô jeunes filles » → évoque la mort des amours - Enumération des prénoms féminins + mise en valeur par caractères majuscules + allitération en (m), assonance en (i) + mise en relief particulière

Que redoutiez-vous donc de cette solitude, Et pourquoi, mes amis, me preniez-vous la main, Alors qu'une si douce et si vieille habitude Me montrait ce chemin ? Les voilà, ces coteaux, ces bruyères fleuries, Et ces pas argentins sur le sable muet, Ces sentiers amoureux, remplis de causeries, Où son bras m'enlaçait. Les voilà, ces sapins à la sombre verdure, Cette gorge profonde aux nonchalants détours, Ces sauvages amis, dont l'antique murmure A bercé mes beaux jours. Les voilà

Madame » de Joachim du Bellay et « sonnet 12, Les Amours » de Pierre de Ronsard peuvent être considérés comme des réécritures de « Canzoniere, sonnet 57 » de Pétrarque. En effet l'auteur italien Pétrarque sort un recueil de 170 poèmes rédigés à partir de 1327, c'est lui qui lance le sonnet une forme de poème très précise composée de quatorze vers répartis en deux quatrains et deux tercets. Au XVIe siècle du Bellay « l'Olive » et Ronsard « Les Amours » s'inspirent du modèle italien et publient également

m’as pas permis de tout immortalisée. Je me souviendrais toujours de ce jour, Souriante comme toujours, J’ai appris que ma vie ne tenez qu’a un fil, Que jamais je n’aurais une vraie vie de petites filles. Ma première pensée a été vers mes amours, Est-ce qu’un jour je pourrai trouver cette amour, Qui remplira ma vie de joie, Et me faire oublier tout ces embarras. J’ai souvent l’impression d’être un poids lourd pour ma famille, D’être la fille aînée que l’ont aurait pas voulue avoir

sept poètes (Le créateur ; Ronsard. Et Du Bellay, Pontus de Tyard, Baïf, Belleau, Jodelle et Peletiers du Mans qui sera remplacé, à son décès, par Dorat). Ce groupe de génies de la langue française a été créé en 1549 par Pierre de Ronsard et ses 2 amis Du Bellay et Baïf au collège de Coqueret où Dorat était le principal. Avant de s'appeler la Pléiade, ce groupe portait le nom de la Brigade. Les poètes de l'école littéraire " La Pléiade " ont eu à cœur de représenter les idéaux humanistes de leur