Mélodrame

* Habileté du dramaturge dans l’écriture, qui permet une recontextualisation de la lettre et par là même de redoubler les émotions ressenties déjà une fois par Cyrano à l’approche de la mort. Conclusion : un sommet de pathétique. On frise le mélodrame. Mais on échappe au drame larmoyant par une dernière scène : Cyrano récapitule les moments forts de son existence et reformule les principes de sa morale (épitaphe). Parvient à tout résumer en un seul mot : le « panache ».

Séquence 1 : Tragicomédie : style de jeu dramatique ou d'écriture théâtrale alternant ou mêlant divers genres théâtraux. Comique, tragique,farce, mélodrame ou autres peuvent s'y côtoyer : désigne une histoire tragique au dénouement heureux. ( exemple : Clitandre ) | Théâtre : art de la représentation d'un drame. | Classicisme : mouvement littéraire développé en France ( 17/18ème siècle ) : ensemble de valeurs et de critères qui dessinent un idéal s'incarnant dans l'honnête

passage du voussoiement (=vouvoiement) au tutoiement au vers 10 / 25 puis au vers 14 / 28 rend plus saisissante l'émotion de la Reine et favorise le rapprochement ultime des deux amants. Conclusion : Ce dénouement très romantique s'apparente au mélodrame et à l'opéra : le thème de l'amour impossible, le décor riche et l'abondance de la gestuelle expliquent que des compositeurs comme Verdi aient mis en scène les drames de Hugo, même si ce dernier avait défendu que l'on déposât

scène : * Provoque tristesse et compassion du spectateur : * Accessoire scénique : fiole de poison * Corps de Ruy Blas sur scène * Mélange des genres : * Mort = tragédie ≠ fiole de poison = mélodrame * Amour contraire aux conventions sociales : * Reine (noble) aime Ruy Blas (un homme du peuple) * Mélange des niveaux de langues : * Tournure familière + passage lyrique * Pourtant Ruy Blas = grandeur dans cette scène finale

fait fortune dans l'exploitation forestière, aux climats lourds de secrets étouffés qu'il peindra dans la plupart de ses romans. Alors que jusqu'ici il n'a écrit que de petits textes et poèmes, il compose à treize ans sa première réelle œuvre, un mélodrame de jeunesse intitulé Va-t-en !7, dédié à sa sœur Germaine8. En 1902, la mort de sa grand-mère Irma est un profond choc pour l'adolescent qu'il est, constatant la profonde hypocrisie de sa famille religieuse et bourgeoise qui se partage déjà l'héritage

héros romantiques. Il est porté par ses désirs, ses défis mais il rencontre la fatalité : il est sacrifié par l’histoire et meurt. Le héros du drame romantique contraste avec les personnages stéréotypés et caricaturaux de la tragédie classique et du mélodrame. Il est unique et complexe. Tout le long de la pièce, le spectateur suit son évolution et sa destinée. Contrairement à la tragédie classique, le héros a l’espoir de changer le cours de son destin. Le héros classique est un personnage bon et parfait

cadre, une forme précise. C'est un premier échange implicite entre l'artiste et le spectateur. Voir, par exemple, la farce, la comédie, la pantomime, la tragédie, le drame romantique, le drame bourgeois, la tragédie lyrique, le vaudeville, le mélodrame, les mystères médiévaux, le théâtre de marionnettes, le théâtre forum, le théâtre d'improvisation, le théâtre en plein air, le théâtre de rue, le théâtre expérimental, le théâtre installation performance, la danse-théâtre (ou théâtre-danse), le web-théâtre

de l’analyse du texte, les élèves feront (surtout) attention aux didascalies (constitutives de l’intrigue et directives pour la mise en scène), au caractère génériquement pluriel du drame d’Ionesco (qui est à la fois une comédie, une tragédie, un mélodrame, une tragi-comédie, une farce et parfois même une pantomime), à l’espace (palais délabré dans un royaume non défini), au temps (intemporalité de l’intrigue, coïncidence de la durée de l’agonie du Roi et du spectacle), aux personnages présents sur

plans de don Salluste). En outre, en tant que brigand au cœur pur, il permet de nuancer l’image de la noblesse donnée à travers don Salluste. Il offre un contrepoint comique au reste des personnages, qui semblent plutôt issus de la tragédie ou du mélodrame. Enfin, Il permet surtout de nouer l’intrigue. Don César, lui va être arrêté car il a tué Don Guritan, ce qui enlève 2 personnages dans la pièce et donc facilite la vengeance de Salluste.

constatations, les deux récits conservent bien des différences notamment celle concernant la personnalité des héros, chevaleresque pour Esmond et plutôt digne de la tragédie grecque pour Sorel. Ajoutons aussi que Thackeray a évité de sombrer dans le mélodrame contrairement à Stendhal qui semble y avoir pris un certain plaisir. Cette critique est bien longue, elle fait honneur à ces deux romans qui sont eux aussi bien longs et qui n’auraient que peu souffert d’une petite cure d’allègement. D’ailleurs