Meiji

c’est l’État qui a favorisé le décollage des pays développés. Il a mis en place les infra- structures non rentables nécessaires à la production et à la circulation des marchandises ( routes, ports, éclairage public...). Ainsi, au Japon, l’État du Méiji ( 1868 ) a édifié lui-même les principales industries du pays avant de les rétrocéder à de grands capitalistes nippons. De même, en Allemagne, dans les années 1870, Bismark n’hésite pas à élever des barrières douanières pour protéger les industries

Glissement des activités, sous-traitance. Au niveau mondial, 3 donneurs d’ordre US, Jap, US = représentant de la puissance. Industries industrialisantes / Industrialisation par substitutions d’importations/ remontée des filières. - Japon (ère meiji, pdt SGM, pays déjà fortement industriel, puis take off dans années 60-70). Dvpmt selon modèle de développement en vol d’oie sauvage. Importation de ce que l’on a pas, puis à partir de l’importation, production nationale, en plus de protection avec

1867, le Japon reste une société féodale dont la plus grande partie de l'économie est basée sur la riziculture, où y compris les taxes étaient prélevées par les Seigneurs selon un pourcentage des récoltes de riz. En 1867 s'opère le passage à l'ère Meiji selon le nom du nouvel empereur, et c'est le début de la révolution industrielle Japonaise, qui s'effectue à très grande vitesse, voire à « marche forcée », ce qui explique la vitesse avec laquelle l'industrie Japonaise s'élève parmi les puissances

Jaurès ». « l'Amérique aux américains » de Roosevelt + impérialisme. Politique du big stick (flotte de guerre). Hawaï, Porto Rico. « Diplomatie du dollard », investis à l'étranger. Investissements en Chine, en Afrique... Japon : depuis la révolution Meiji, entrée dans l'ère de l'impérialisme. S'en prend d'abord à la Chine, puis à la Russie : traité de Portsmouth qui lui donne des avantages en Russie. Puis annexion de la Corée en 1910. → Les critiques de l'impérialisme → Depuis dbt Xxe, mvts nationalistes

après le pilonnage des ports japonais. En seulement quelques années, les contacts intensifs avec l’Occident transformèrent profondément la société japonaise. Le shogun fut forcé de démissionner et l’empereur fut réinvesti du pouvoir. La restauration Meiji de 1868 mit en œuvre de nombreuses réformes. Le système de type féodal et l’ordre des samouraïs furent officiellement abolis et de nombreuses institutions occidentales furent adoptées (les préfectures furent mises en place). De nouveaux systèmes juridiques

1990 et 1998, les ventes de kimonos ont chuté de près de 60%. Avec sa progressive disparition, ce sont des manières de marcher, de s’asseoir, de s’incliner qui s’évanouissent. Dans la forme qu’on lui connaîit aujourd’hui, le kimono remonte à l’époque Meiji. Le kimono Le kimono Tout en demeurant le terme générique désignant, aujourd’hui encore, l’ensemble des vêtements japonais traditionnels (wafuku), lorsqu’on les oppose à la tenue vestimentaire occidentale (yofuku), le terme de kimono désigne plus

traits culturels spécifiques 1. la permanence du groupe et le besoin de reconnaissance qui en découle L’ordre social japonais a consacré la primauté du groupe sur l’individu, et érigé sa survie en idéal absolu. Les Japonais ont en effet bien avant Meiji cherché à bâtir une société harmonieuse qui la protègerait de la violence de la nature, cette nature « impermanente » selon les mots d’Augustin Berque, qui les menaçait bien plus que d’autres peuples (tremblements de terre, tsunamis,…). Le désordre

pilonnage des ports japonais. En seulement quelques années, les contacts intensifs avec l’Occident transformèrent profondément la société japonaise. Le shogun fut forcé de démissionner et l’empereur fut réinvesti du pouvoir. La restauration Meiji de 1868 mit en œuvre de nombreuses réformes. Le système de type féodal et l’ordre des samouraïs furent officiellement abolis et de nombreuses institutions occidentales furent adoptées (les préfectures furent mises en place). De nouveaux systèmes juridiques

au long du XIXème siècle, certaines grandes familles aristocratiques investissent dans le secteur industriel comme les familles de Wendel dans la métallurgie en Lorraine ou en Asie où les Samouraïs sont à la tête des premières industries de l’ère Meiji. De la même manière, ainsi, pour éviter une marginalisation économique totale due à la baisse de la rente foncière, une partie de l’aristocratie se reconvertit dans les activités nouvelles et se tournent également vers la classe sociale ascendante

Produits de chocolat et concurrences Le Japon dispose d'importantes installations de transformation et d'emballage permettant d'approvisionner les marchés locaux et d'exportation. Les principaux fabricants de produits de chocolat sont Lotto Group, Meiji Seika Kaisha Ltd. et Ezaki Glico qui, en 2008, détenaient des parts de marché de 22 %, 22 % et 21 % respectivement. Les autres 35 % étaient divisés entre Bourbon Corporation, Nestle S.A., Morinaga & Co, Fujiya, Kabaya Foods Corporation et Cadbury