Médecine esthétique

identifier chez l’homme des besoins spirituels et moraux (être reconnu, aimer,..) dont semble dépendre son épanouissement. Et le terme art signifie au sens ancien tout savoir faire humain, toute pratique produisant un résultat non naturel et au sens esthétique, c’est une production ou un création d’œuvres destinées à plaire c'est-à-dire à susciter par leur aspect, une appréciation positive. L’art est-il vraiment quelque chose de fondamental pour la vie d’un homme ? L’homme peut-il vivre sans l’art ? A-t-il

d’art d’un effet de la nature. L’art est donc intentionnel. Mais dans ce cas, que devient la finalité sans fin ? Cette intentionnalité ne doit pas être le caractère dominant de l’œuvre (sinon, on porte un jugement de connaissance et non un jugement esthétique : l’œuvre d’art n’est pas l’application d’une techné pour Kant car c’est un jugement de type cognitif qu’on porte ainsi sur l’objet). Dans l’œuvre d’art, l’aspect technique doit s’effacer : « En face d’un produit des beaux arts, on doit prendre

peut avoir pour fonction de transmettre des idées, mais elle peut aussi avoir pour objectif de transmettre autre chose. » Reste à présent à savoir quoi ! A développer : transmettre des émotions fortes, faire rêver, divertir, provoquer un plaisir esthétique (quand on est sensible au style d’un auteur)… - on pourrait s’arrêter là. Cependant, opposer les notions de « transmission d’idées » et de « divertissement » n’est pas toujours juste. Il nous reste donc à montrer que parfois, souvent même,

et d'imposition des hiérarchies et des légitimités culturelles. Donc toujours cette notion de capital culturel et de domination symbolique, quelque soit le modèle (mais nouvelle forme). Omnivorité des classes dominantes: plus grande tolérance esthétique + capacité d'interprétation et d'assimilation (socialement construite et transmise). II- UNE NOUVELLE FORME DE LECTURE DES Pcs: Dans son article, Coulangeon montre dans un 1er temps, que le modèle de LC n'est pas le «reflet d'une époque révolue»

Les activités artistiques I. Logique interne La danse est une création libre. C’est une activité de communication et d’échange à visée esthétique et à jugement très subjectif, où le vecteur d’expression est le corps. Les activités gymniques sont caractérisées par la création d’un enchaînement d’éléments acrobatiques où l’on reproduit. Le jugement est objectif puisque l’activité est très référencée et codifiée. Les activités artistiques comprennent également l’acrogym, activité de la famille

présente un visage complexe, souvent contradictoire. Un retour aux sources est nécessaire pour questionner, plus que pour apporter des réponses, les rapports qui depuis le milieu du 19ème siècle unissent ou désunissent l’art et la technique, la sphère esthétique et la sphère sociale, la création et l’économie, sur fond de libéralisme et d’hégémonie occidentale. L’auteur Hortense Lyon est écrivain et journaliste Edition Scérén CNDP, février 2009. Collection baccalauréat histoire des arts |[pic]

technique de « chose écrite » puis évolue à la fin du Moyen Âge vers le sens de « savoir tiré des livres », avant d'atteindre aux XVII-XVIIIe siècles son sens principal d'aujourd'hui : ensemble des œuvres écrites ou orales comportant une dimension esthétique ou activité participant à leur élaboration. (wiki) Histoire et philosophie : sujets essentiels Histoire : journal d’Anne Frank : je suis un homme de primolevi Philo : Socrate et Aristote Psychologie des gens : apprendre comment les gens vivaient

Le design, ou l'art de transformer un objet, ses fonctions, son esthétique. Les définitions sont multiples, ainsi que les intentions, nous retiendrons donc la définition de Marx "La production ne fournit pas seulement des matériaux aux besoins, elle fournit aussi un besoin aux matériaux : la production ne produit pas seulement un objet pour le sujet mais un sujet pour l’objet.". Le designer est le créateur qui conçoit l’idée d’un objet, en partant de sa fonction, afin de créer un équilibre entre

m’apparait très judicieux. Je choisirai de développer la question suivante : Qu’est-ce qui fait patrimoine ? Quels sont aujourd’hui les critères d’éligibilité à une reconnaissance patrimoniale ? Est-ce l’exemplarité ? la qualité architecturale, esthétique, programmatique ? la dimension mémorielle ? la monumentalité qui fait figure d’emblème ? Dans sa première partie, B. Toulier présente le processus de reconnaissance et de légitimation du patrimoine du XXe siècle à partir des années 1965 et surtout

Introduction : La sociologie de l'art est une discipline difficile à délimiter, d'une part elle s'intéresse à toutes les activités ayant une dimension esthétique, d'autre part elle étudie le monde des artistes. De plus, l'art regroupe beaucoup de champs de création différents tels que les arts plastiques, les arts vivants ou encore la musique. En effet, la proximité avec les disciplines telles que l'histoire de l'art ou les autres sciences humaines proches de la sociologie ne facilite pas la