Meaning of life

omniprésente au lendemain de la guerre de 1939. Les divers produits manufacturés américains se généralisent en Europe occidentale et le mode de vie Etatsuniens devient une nouvelle façon de concevoir sa vie et sa famille ; on parle alors d’ « American way of life ». L’urbanisation démesurée, la société de consommation, les pubs, l’invention des crédits, le niveau de vie élevé et cætera séduisent beaucoup les européens ; ce modèle est de plus valorisé par les médias. Cette nouvelle expansion des Etats-Unis

également dans la production via sa société Plan B Entertainment avec des films tels que Les Infiltrés de Martin Scorsese etTwelve Years a Slave de Steve McQueen, qui ont chacun été récompensés par l'Oscar du meilleur film en 2007 et 2014, The Tree of Life de Terrence Malick, qui a reçu la Palme d'or au Festival de Cannes en 2011, ou des succès publics commeCharlie et la chocolaterie, Kick-Ass et World War Z. BiographieFilmographieBox-officeDistinctionsVoix françaisesNotes et référencesLiens externes

la mort. La peinture « 129 die in jet » introduisit cette série. Des catastrophes aériennes, des accidents de voitures, des empoisonnements et la chaise électrique en fournissent les archétypes. Ceux-ci reflétaient l’envers de l’ « American way of life » que Warhol avait peint dans ses tableaux sur la consommation et le luxe. Ces œuvres de la nouvelle veine témoignent aussi d’une étonnante attirance avec la mort, ce qu’il reconnaîtra souvent. Par exemple, les « Marilyn » ou les « Liz » ne fait

de film sur les écrans européens) Télévision(info, séries,émissions) Internet(75% textes en anglais D’où la diffusion : Des valeurs américaines : liberté, individualisme, réussite sociale, consommation Mode de vie à l’américaine(American Way of life), idéal de liberté et de consommation qui s’appuie sur des marques phares (coca, mac do,vêtements Levis, Nike) Conclusion Les Etats-unis sont présents partout dans le monde dans tous les domaines mais leur hégémonie est e plus en plus contestée

La majorité a manifesté contre la guerre du Viêt Nam et les Noirs organisaient des émeutes dans les grandes villes américaines, ce qui a attiré encore plus de jeunes. Mais cette génération « Baby-boom » n’acceptait pas non plus l'« American way of life » et son conformisme, la soumission au pouvoir et aux canons de l'art. Elle cherchait à fuir la société de consommation en mettant en avant des valeurs écologistes et égalitaires inspirées des philosophies orientales tel que le bouddhisme par exemple

portrait peu flatteur de la ménagère étatsunienne moyenne de la fin des années 1960. Pourtant, cette uvre n’est pas une caricature : un tel personnage fait partie du quotidien de l’époque. Dans cette scène, c’est la médiocrité de l’« American way of life » et plus généralement de la société de consommation occidentale qui est soulignée, dressant face à chacun de nous un miroir. Le consommateur apparaît comme un drogué ou un zombie errant dans les rayons d’un supermarché, seul. L’acte d’achat est présenté

Lee (voir la version de Stevie Nicks d’Annabel Lee). - Le mythe du parcours, du voyage initiatique : dans les pas d’Ulysse, les odyssées anglo-saxonnes. Beowulf ; J. Bunyan, The Pilgrim’s Progress ; J.R.R. Tolkien, Lord of the Rings ; film : G. Lucas, Star Wars. Archetype of the hero’s journey : www.webenglishteacher.com/hero.html Mythes fondateurs Le mythe est porteur d’une identité culturelle dans laquelle la nation peut se reconnaitre. Pour les sociétés issues de l’immigration et de la

culture américaines connaît un énorme succès dans les autres pays et introduit petit à petit le mode de vie américain dans notre société. Des marques comme McDonald, Nike, ou Coca-Cola se développe dans le reste du monde et instaure l’ « american way of life ». Petit à petit les sociétés du monde se tournent vers une société de consommation. Un autre indice qui manifeste du rayonnement international des États-Unis est la langue. En effet, la langue officielle dans 28 Etats du pays et parlé à travers

portrait peu flatteur de la ménagère étatsunienne moyenne de la fin des années 1960. Pourtant, cette °uvre n’est pas une caricature : un tel personnage fait partie du quotidien de l’époque. Dans cette scène, c’est la médiocrité de l’« American way of life » et plus généralement de la société de consommation occidentale qui est soulignée, dressant face à chacun de nous un miroir. Le consommateur apparaît comme un drogué ou un zombie errant dans les rayons d’un supermarché, seul. L’acte d’achat est

un caddie qui déborde de produits. Son regard est vide, fatigué. Elle a une cigarette dans la bouche et des bigoudis dans les cheveux. Cette femme sculptée et habillée de réelles vêtements traduit le miroir de la société américaine « American way of life ». Pour effectuer ses sculptures il fait appel à de réel modèle vivant pour faire des moulages de leur corps afin d’offrir aux spectateurs une réelle vision de la vie quotidienne américaine. Il se veut hyper-réaliste. Les vêtements, les bigoudis,