Matéo Falcone

prétendues ballades illyriennes. Puis il suit la mode romantique en donnant un roman historique, Chronique du règne de Charles IX (1829). Il commence aussi à publier les nouvelles qui vont constituer la partie la plus originale de son œuvre : Mateo Falcone (1829), Tamango (1829), le Vase étrusque (1830), etc. Il les réunit en 1833 dans un recueil qu’il intitule Mosaïque. En cette même année, il est nommé inspecteur général des monuments historiques et va entreprendre pendant sept ans une prospection

et en orthographe... –pour acquérir une culture littéraire, nécessaire au lycée. Bonnes vacances ! * Romans, nouvelles, récits * • Voltaire, Zadig ou Micromégas (1747). • Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses (1782). • Prosper Mérimée, Mateo Falcone (1829), La Vénus d’Ille (1837), Colomba (1840), Carmen (1847), Lokis (1869)… (nouvelles). • Stendhal, Le Rouge et le noir (1830). • Honoré de Balzac, Les Chouans (1829), La Peau de Chagrin (1831). Théophile Gautier, Nouvelles fantastiques (à partir

Voltaire, Zadig, Jeannot et Colin C.-L. de Montesquieu, les Lettres persanes Classiques français XIXe s. V. Hugo, les Misérables, Notre-Dame de Paris, Claude Gueux*, Le dernier jour d’un condamné* P. Mérimée, la Vénus d’Ille*, Colomba*, Carmen*, Mateo Falcone* G. Flaubert, Madame Bovary, L’Education sentimentale G. de Maupassant, Contes fantastiques*, Bel Ami, Une Vie H. de Balzac, Eugénie Grandet, le Père Goriot, la Peau de Chagrin, Le Colonel Chabert * Stendhal, La Chartreuse de Parme, Le Rouge et

Alexandre Dumas (1802-1870) et ses romans historiques aux multiples péripéties (Les Trois Mousquetaires, Vingt ans après, Le Comte de Monte-Cristo, etc.) ; Prosper Mérimée (1803-1870) et ses nouvelles riches en couleur locale (Colomba, Carmen, Mateo Falcone, etc.) ; George Sand (1804-1876) et ses romans idéalistes et champêtres (La Mare au diable, La Petite Fadette). Enfin, tout en présentant certains traits romantiques, Stendhal et Balzac font surtout figure d'inventeurs du roman réaliste.

 Fiche de lecture :Carmen I) Présentation de l’œuvre. Né en 1803 à Paris, Prosper Mérimée est un historien, archéologue et écrivain français. Il est connu pour ses nombreuses nouvelles qui ont eu beaucoup de succès, par exemple «Mateo Falcone» ou encore «La Vénus d'Ille» mais surtout avec «Carmen» dont le compositeur George Bizet s'est inspiré pour écrire l'opéra du même nom. Parue en 1845 dans « La Revue des Deux Mondes », cette nouvelle sera plus tard éditée en 1847 sous forme de recueil

Prosper Mérimée est nommé sénateur à vie par l’impératrice Eugénie, épouse de Napoléon III. Il meurt dix-sept ans plus tard. B) Son Œuvre Les œuvres de Mérimée sont multiples et diverses mais essentiellement composées de nouvelles : Mateo Falcone (1829) ; Tamango (1829) ; L’enlèvement de la redoute (1829) ; Vision de Charles XI (1829) ; Le vase étrusque (1829) ; Le carrosse du Saint-Sacrement (1829) ; Les Ames du purgatoire (1834) ; La Vénus d’Ille (1837) ; Colomba (1840) ; Carmen (1845)

Théâtre de Clara Gazul La Guzla ou Choix de poésies illyriques recueillies dans la Dalmatie La Croatie et l'herzégovine La Jacquerie Famille de Carvajal Chronique du temps de Charles IX Le Carosse du Saint Sacrement Mateo Falcone Vision de Charles XI Tamango Le Fusil enchanté Federigo L'Occasion Le Ban de Croatie Le Heyduque mourant La Perle de Tolède l'Enlèvement de la redoute Histoire de Rondino Le Vase étrusque Les Mécontents

détesté par les autres, mais toujours présent dans les esprits. - «un éloge en trois points» : Un éloge complet, un discours devant, selon les règles de rhétorique, se composer de trois parties. Page 322 : - «’’Caporaux’’» : Dans une note de ‘’Mateo Falcone’’, Mérimée indiqua : «Les caporaux furent autrefois les chefs que se donnèrent les communes corses quand elles s’insurgèrent contre les seigneurs féodaux. Aujourd’hui, on donne encore quelquefois ce nom à un homme qui, par ses propriétés, ses alliances

les entrepreneurs, les fonctionnaires, les membres des professions libérales ou les ecclésiastiques, formant ensemble «la face insoupçonnée de la mafia». On estime à 5 000 le nombre total des hommes d’honneur. « Une petit armée » disait Giovanni Falcone, soulignant qu’ils sont aussi appelés « soldats ». Tout le pouvoir dans « l’organisation » prend sa source dans son « chef de famille », appelé aussi « représentant ». C’est lui qui choisit les soldats et leur capi decina qui les encadre par groupe

veulent le grand air, le soleil et le bruit. La Chambre bleue n’est pas destinée à démentir cette vérité. Mérimée a écrit cela pour une lectrice dont le goût n’était pas sévère. Il avait fait pour Sa Majesté le public : La Prise d’une redoute, Mateo Falcone ; il a jugé suffisant de faire pour Sa Majesté l’Impératrice : La Chambre bleue » et, plus loin : « C’est du Mérimée retour de Compiègne, du Mérimée de charades et de jeux innocents, mais c’est encore du Mérimée. » L’histoire est certes légère…