Matrice Porter Tourisme

des Ménages ESPECT : Economie, Société, Politique, Environnement, Culture et Technologie FAB : Forces Armées Béninoises FBCF : Formation Brute de Capital Fixe FCFA : Franc de la Communauté Financière d’Afrique FDT : Fonds de Développement du Tourisme FMI : Fonds Monétaire International GAO : Gazoduc de l’Afrique de l’Ouest GPA : Groupe Pluridisciplinaire d’Appui GTP : Groupe de Travail Pluridisciplinaire IEC : Information, Education et Communication IFPRI : International Food Policy Research

l=fr&p=100_Article&article_id=17079&rubrique_ID=80 Faiblesses-Menaces : Une infrastructure déficiente: Le réseau ferroviaire limité, son tracé date du milieu du XXème siècle, le réseau d´autoroutes est partialement privatisé et supporte la majeure partie de la matrice de transport. La maille aérienne est complète, de grosses compagnies locales sont capitalisées ; et les ports souffrent d´un coût au-dessus des moyennes mondiales, de lenteur, capacité insuffisante et de problèmes de sécurité, 95% du commerce extérieur

l’électronique, etc…). Pour les services marchands, leur part dans la valeur ajouté totale est de 38,6%, en raison de l’importance des secteurs de transport et de communication, qui ont connu un essor remarquable avec le processus de privatisation. Le tourisme, qui représente près de 8% du PIB et dont les recettes constituent une principale source de devises pour le pays, a connu également une amélioration significative. Pour ce qui est de l’emploi dans les services, il est passé de 21% de la population

à élaborer ce rapport qui se présentera en 4 parties, la première portera sur le secteur automobile au Maroc et son évolution, la deuxième sur la CAC , la troisième sur l’analyse du travail de Mr Ramla et la quatrième partie sera consacrée à la matrice SWOT et son analyse. I. Secteur automobile au Maroc A partir de l’indépendance du pays, l’Etat marocain a commencé à s’intéresser au développement de l’industrie automobile nationale. Actuellement, l’industrie automobile marocaine représente

Nobel) et aboutit au système généralisé de comptes nationaux de 1968. • Dès 1948, Wasilly Leontief (l auréat du prix d’honneur de Nobel) complète le (lauréat système avec une matrice qui permet de faire de a prévision à moyen terme en détaillant les échanges entre les branches d’activité. • La prévision repose sur une matrice des coefficients techniques de production et de distribution constants sur la période. • Le problème de ces prévisions, c’est que la constance des coefficients techniques

fait partie des industries agro-alimentaires et plus précisément du secteur lait et dérivés. La consommation de ces produits a fortement augmenté ces dernières années, grâce à l’augmentation du pouvoir d’achat de consommation, le développement du tourisme et de l’animation, l’ouverture progressive à la concurrence internationale. Mais, le marché national de ces produits est tributaire des conditions climatiques et les ventes restent très saisonnières avec des pics durant l’été et les journées de forte

clôture de l’exercice budgétaire (31 mars) retraçant les programmes non terminés. Ces états sont visés par le trésorier de wilaya et transmis au contrôleur financier. A la clôture de l’exercice, l’ordonnateur procède à un engagement pour ordre afin de porter le total des engagements définitifs (engagements réels suivis de service fait et visés par le contrôleur financier au 20 février) à un montant égal aux prévisions. Le contrôleur financier continuera à viser sur la base de l’«état des restes à réaliser»

MINTOUR MINTP MINTSS OHADA OMC OMD ONG PADMIR PARIF PDSE PER PFNL PIB PINORAC PIR PIT PME PMI PNG PNG PNUD POE PPMF PPTE PROMAGAR PSFE PST PTF RDC SAR/SM SIGIPES SNH SOCAPALM SODECAO SYGMA TIC TOFE TPE TSPP TVA UE UFA WEO ZICGC Ministère du Tourisme Ministère des Travaux Publics Ministère du Travail et de la Sécurité Sociale Organisation pour l'Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires Organisation Mondiale du Commerce Objectifs du Millénaire pour le Développement Organisation Non Gouvernementale

connu plusieurs succès avec les quatre piliers de son économie : la production de sucre, le tourisme, le textile et les services financiers offshore. Cette politique a porté ses fruits jusqu’à la fin des années 90 ce qui a permis à Maurice d’acquérir au niveau international l’image d’une démocratie solide et sérieuse, ayant valeur d’exemple dans la région. Carte d’identité du pays en 2005 : Capitale : Port Louis Population : 1 200 000 habitants Président de la République : Sir Amerood Jugnauth

clôture de l’exercice budgétaire (31 mars) retraçant les programmes non terminés. Ces états sont visés par le trésorier de wilaya et transmis au contrôleur financier. A la clôture de l’exercice, l’ordonnateur procède à un engagement pour ordre afin de porter le total des engagements définitifs (engagements réels suivis de service fait et visés par le contrôleur financier au 20 février) à un montant égal aux prévisions. Le contrôleur financier continuera à viser sur la base de l’«état des restes à réaliser»