Matrice Porter Swatch

Etude du Cas SWATCH 1/ SWOT |FORCES |FAIBLESSES | |N°1 mondial de la montre | | |N°1 mondial de la haute horlogerie | | |La plus large gamme de produit au monde |

Etude Swatch : Analyse SWOT de SWATCH Group |Interne |Forces |Faiblesses | | |Concept produit concurrentiel (50 composants) |Pas d’accréditation réelle sur la fabrication des moteurs | | |Portefeuille de marques (large gamme : prix, segmentation, |hybride. | |

CAS SWATCH 1/ Etablir un SWOT : FORCES | FAIBLESSES | Une large gamme RN en progression de 64% (600 M€)CA en progression de 27% (3 MM€)Talents marketing => Montres accessoiresRachat d’Asuag (usines de composants) + Universo qui détient la moitié du marché des aiguillesDistribution : Magasins en propre + Boutiques + Aérogares25% de la production en valeurImpose sa politique aux détaillantsContrôle rigoureux du processNotoriété | Présence envahissante du Fondateur1,5% de la production mondiale

Le groupe Swatch Sommaire Introduction et problématique Partie 1 : Swatch Group: présentation A- Historique B- Les différentes activités C- Quelques chiffres D- L’étendue de la gamme E- Les principaux concurrents F- L’organigramme Partie 2 : Le diagnostic externe : l’environnement du groupe Swatch A- L’analyse PESTEL du marché mondial de l’horlogerie B- Les 5+1 forces de Porter sur le secteur C- Les principaux concurrents du Swatch Group D- La matrice des groupes stratégiques

De la SWATCH à la SMART, Histoire d’une diversification ( La problématique du cas : SMH peut-elle réussir avec la SMART la même opération qu’elle a su réaliser avec la SWATCH ? Les savoirs-faire acquis par l’entreprise dans le domaine de l’horlogerie et dans les métiers de l’électronique sont-ils reproductibles dans l’automobile? Existe-t-il un lien stratégique entre les métiers de base de SMH et le nouveau métier de constructeur automobile ? Quels sont les facteurs de succès à bien maîtriser

guerre La réflexion stratégique : 1950 : modèle Harvard : analyse des forces et des faiblesses 1960 : Etude du portefeuille d’activités 1970 : Incidence Japonaise : rôle de la qualité, de la production, de la technologie 1980 : Approche de Michael Porter, théorie de la valeur (avantage concurrentiel) 1990 : compétition fondée sur le temps le zéro stock, le stock mini qui me permet de ne pas avoir de rupture 2000 : Entreprise apprenante, on est dans une économie d’environnement, toujours s’adapter

Jean-Bernard KERVOERN Corrigé cas Swatch 07/02/2009 IFAG 1/5 Corrigé du cas Swatch 1) Classification de la prise de connaissance du sujet avec la simple lecture analytique et ordonnée du sujet A) Les chiffres clés 18 marques 156 Usines 21 000 Salariés CA = 3 milliards en hausse de 27% Résultat = 600 M€ en hausse de 64% 17 millions d’unité vendues par an sur un marché mondial de 1,2 milliards d’unités vendues par an g. 1,5 PDM en volume h. Mais 25% PDM en valeur i. 1,5 PDM en volume et 25%

DE LA SWATCH A LA SMART : HISTOIRE D’UNE DIVERSIFICATION Une montre révolutionnaire : C’est en 1979 que la direction du groupe ASUAG donne à son département développement la mission de mettre au point une montre analogique à quartz de haute qualité, dont les coûts de production devaient être aussi bas que possible. Le cahier des charges précisait les points les plus importants : - Un prix public assez bas pour concurrencer les produits des pays d’Extrême-Orient - des normes de qualité

un seul métier dans lequel elle déploie ses ressources et compétences (ex. : l’entreprise Gobel est spécialiste des moules à pâtisseries). Dans le cadre de son analyse de la croissance et du développement de l’entreprise, I. Ansoff a élaboré une matrice produits/marchés qui montre les deux directions dans lesquelles l’entreprise peut s’engager : la spécialisation ou la diversification. La spécialisation peut prendre trois formes : – la pénétration de marché, qui consiste à se centrer sur le couple

pour une E à se concentrer sur un seul métier dans lequel elle déploie ses ressources et compétences (ex. : l’E Gobel est spécialiste des moules à pâtisseries). Dans le cadre de son analyse de la croissance et du dvp de l’E, I. Ansoff a élaboré une matrice produits/marchés qui montre les deux directions dans lesquelles l’E peut s’engager : la spécialisation ou la diversification. La spécialisation peut prendre trois formes : – la pénétration de marché, qui consiste à se centrer sur le couple produits