Matrice Mckinsey Etude De Cas

[pic] L’étude de toutes ces marques et de leur environnement serait bien trop longue pour être exposée ici. Ce qu’il faut retenir ici, c’est qu’un groupe international comme Unilever ne peut se permettre d’entretenir des « poids morts » (cf. matrice BCG ci-dessous). Ce qui assure le succès d’un si grand groupe, c’est le choix stratégique de son portefeuille de marques lui assurant un revenu à 9 chiffres. Il ne faut néanmoins négliger aucune catégorie. Sachant que chaque produit a son cycle

des matrices de similarité ...................103 Annexe 2.1 : Les secteurs étudiés................................................................................................................105 Annexe 2.2 : Les coûts du salaire horaire....................................................................................................106 Annexe 3.1 : Le transport routier de marchandises en 2005........................................................................107 Annexe 3.2 : Matrice des

services fournis. Le marketing industriel lui s’adresse aux entreprises qui font du business avec d’autres entreprises : le B2B, business to business. Chapitre 1 : les fondements du marketing 1) Qu’est-ce que le marketing ? Brainstorming : étude de marché (edm), vente, besoins, désirs, consommateur, pub, argent, environnement, produit, les 4P (Produit, Prix, Place (point de vente), Promotion), cible. Les 4 P Produit : Un produit est quelque chose qui est perçu comme capable de satisfaire

Mastère Spécialisé de Management des Services Publics Quel marketing pour attirer les investisseurs arabes ? Cas de la Direction des Investissements Thèse professionnelle présentée par : Najwa EL MOUTEZ Directeur de Recherche : M. Fadel DRISSI, Professeur à l’ISCAE Novembre 2007 Quel marketing pour attirer les investisseurs arabes ? L’ISCAE et l’ESSEC n’entendent donner ni approbation ni improbation aux opinions émises dans le cadre de cette thèse professionnelle. Ces opinions

L’ACCESSOIRE DE MODE – LES TENDANCES ACTUELLES 68 4.1. L’histoire des lunettes 68 4.2. Les tendances actuelles 69 4.2.1. Lunettes de soleil 69 4.2.2. Les lunettes de vue 70 SECTION 5 : CONCLUSION 70 CHAPITRE III : Analyse SWOT 73 CHAPITRE IV : Etude de marché 77 SECTION 1 : Plan d’étude 77 SECTION 2 : Analyse des données 80 SECTION 3 : Les résultats 80 SECTION 4 : LIMITES DE L’ETUDE DE MARCHE 102 Conclusion et recommandations 105 Bibliographie 109 Annexes 115

exportations marocaines en 2003 Annexe 1.3 : Principaux produits exportés vers l’Union Européenne Annexe 1.4 : Identification des concurrents du Maroc par le biais des matrices de similarité Annexe 2.1 : Les secteurs étudiés Annexe 2.2 : Les coûts du salaire horaire Annexe 3.1 : Le transport routier de marchandises en 2005 Annexe 3.2 : Matrice des formations initiales existantes au Maroc Annexe 4.1 : Les aspects réglementaires de la logistique au Maroc Annexe 4.2 : Synthèse des enseignements des études

Institut de gestion des entreprises 6 Introduction au Management et à la théorie des organisations 13  Le contrôle :  La supervision de la bonne exécution des activités  l‘évaluation des performances  la prise de mesures correctrices en cas de besoin. Philippe Fattal USJ/ Institut de gestion des entreprises Introduction au Management et à la théorie des organisations 14  Les compétences managériales: Techniques (Employés/ouvriers et superviseurs)  Relationnelles (Cadres

opérations dites à effet de levier sont faites avec un niveau d’endettement plus fort. Il s’agit notamment des opérations de LBO (Leverage Buy Out) pouvant atteindre 4 ou 400 %. Naturellement le risque financier est alors beaucoup plus impor­ tant et en cas de difficultés (baisse du CA ou des résultats, défaillance d’un client…) la société peut être très vite dans l’impossibilité de rembourser sa dette et dans l’obligation de renégocier avec ses banquiers. 24 La capacité de remboursement Lorsque

levier sont faites avec un niveau d’endettement plus fort. Il s’agit notam­­ment des opé­­ra­­tions de LBO (Leverage Buy Out) pou­­vant atteindre 4 ou 400 %. Natu­­rel­­le­­ment le risque finan­­cier est alors beau­­coup plus impor­­ tant et en cas de dif­­fi­­cultés (baisse du CA ou des résul­­tats, défaillance d’un client…) la société peut être très vite dans l’impossibilité de rem­­bour­­ser sa dette et dans l’obligation de rené­­go­­cier avec ses ban­­quiers. 24 Lorsque l’on sous­­crit

économie et statistiques janvier 2006 4 des technologies de l'information et de la communication aux affaires électroniques le cas des entreprises luxembourgeoises Julien CICCONE, Charles-Henri DI MARIA, Centre de Recherche Public Henri Tudor Des affaires aux affaires électroniques Table des matières 1. Introduction 3 1.2 Méthodologie 5 2. Résumé non technique 8 3. Commerce électronique et Technologies de l’Information et des Communications 10 3.1 Introduction