Matin

au long cours de patients chronique. Aujourd'hui j'entame la deuxième semaine de la deuxième session de stage , je suis du matin je commence donc à 6h15. Je prend les transmissions de la nuit... Rien de spécial a l'horizon. Je vais donc préparer le chariot et regarde les bilans du jour. Il y en a pas mal, au moins 6. Après un petit café, nous commençons donc le tour du matin. De là, l'infirmière avec qui je tourne me demande si je veux essayer d'aller faire une prise de sang a Mme C mais seule. J'étais

l’Elimination : A son entrée, Mme C. était tout à fait autonome au niveau urinaire et fécale. Durant son séjour une diurèse des 24h a été mise en place pour quantifier ses urines car elle était sous Lasilix® 40mg (=Diurétique de l’anse) 1 comprimé le matin et ½ le midi. S’expliquant par une diurèse des 24h inférieure à 1000cc, une sonde à demeure lui a été posée pour évaluer précisément son élimination urinaire. Suite à bilan sanguin perturbé, il lui a été découvert une insuffisance rénale aigüe

il ne semble pas gêné de porter un pantalon souillé par ses fuites urinaires. Émeric semble être parfois envahi par des idées morbides (cf. Annexe 3) et ses désirs suicidaires ont déjà été verbalisés. Synthèse La situation se déroule un vendredi matin où je me suis trouvée à prendre en charge Émeric qui, ayant fugué de son collège la veille, a été exclu pour une semaine. Au cours de cette matinée, il se montre attentif aux consignes données et s'implique efficacement dans les différentes activités

reçu la convocation ? répondit Julien, conscient d’être accueilli comme un intrus. - Si, si on l’a eue, dit l’homme. » Puis, afin de dissiper la gêne que l’on sentait s’installer, il désigna la tablée et expliqua : « Je suis allé aux patelles, ce matin, de bonne heure ! » Rassérénés, les autres recommencèrent à mastiquer. Julien, indécis, restait à la porte. « Mais, entrez, entrez, dit le patron. Asseyez vous ! » Gêné, Julien s’approchât. Les convives, sans cesser d’engloutir nourriture et boisson

(JUILLET – AOÛT 2013) INTRODUCTION : J’effectue un stage fin de 2ème année en médecine interne - hémato- oncologie. Je suis affectée sans discontinuer en équipe du matin (06H30 – 13H30) sur le même secteur. Du fait des horaires réguliers, je travaille avec différents soignants, qui eux sont en roulement. Durant mon service, j’ai été confrontée à un incident qui m’a interpellée, notamment quant aux possibles conséquences

cultures,de handicaps...leur intérêt est d'accueillir les enfants. Le premier jour le matin le patron ma accueilli et ma fait visiter les lieux et le personnels. On ma placé à l’accueil,j'ai lu beaucoup de documents et j'ai vu comment se dérouler une journée a l'accueil.Et l’après-midi j'ai fait la mémé chose que se matin j'ai continuer a observer ce que l'on fait au secrétariat. Le deuxième jour le matin je suis rester à l’accueil et j'ai continuer à observer comment sa se dérouler à l'accueil

s'agissait du soin auquel j'ai pu le plus participer durant mon stage. La découverte de ce soin a était très important pour moi car il m'a permis de pouvoir dialoguer avec les personnes agées. Aussi, la toilette est un soin qui était fait tout les matins pour tout les résidents par 2 aides soignantes par secteur. Pour effectuer une toilette au lit sur une personne agées autonome, parciellement dépendante ou dépendante ou dépendante, les matériels étaient les même mais la technique de soin de se

pompiers assurent les interventions. Toutefois, la garde comprend des périodes de travail (de 7h00 à 12h00 et de 14h00 à 17h00) et des périodes de présence (de 12h00 à 14h00 et de 17h00 à la fin de la garde). Voici le déroulement d’une garde : Le matin, la section du jour se présente à l’appel à 7h00 et c’est lors de l’appel que les pompiers sont répartis dans les différents véhicules d’intervention. Ils vérifient le matériel (feux urbains, feux de forêt, médecin, secours à la personne…) pour la

Lise de longue date m’assure quelle a porté un dentier, sans doute ressenti comme trop contraignant par Lise, qu’il lui a été impossible de le lui faire accepter, elle le jetait. Je retiens qu’Elle ne reste pas très longtemps en place. Le quatrième matin, je retrouve Lise dans une agitation inhabituelle, elle fait des vas et viens, elle montre des signes d’énervement en criant. Après sa toilette, elle se réfugie dans le salon pour pleurer. Elle ne parle plus ; N’investit pas sa chambre. Pendant, la

Journal de bord 1) LUNDI 9 FEVRIER Le matin, je suis arrivée vers 8 H 30 à l’étude. J’ai été accueillie par Madame GRANDSART Clerc de Notaire qui dépend de Maitre CAMPRODON. Elle m’a fait visiter l’étude. Madame GRANDSART s’occupe de mettre en place les dossiers de vente. Après avoir visité l’étude, nous sommes allées dans son bureau qu’elle partage avec Melle PICCOLI qui est Clerc de notaire et qui s’occupe en particulier des dossiers de successions, de Maitre DE FREITAS BARRETO.