Mathilde De La Mole

(Besançon)-clergéarrivée à Paris, hôtel de la Mole-aristocratieParis-aristocratiePersonnages rencontrés (qui font son éducation)le sous-préfet/ monsieur Valenod/ qques notables libéraux-les Rênalséminaristes/abbé Pirard/abbé Castanède(=la congrégation)abbé Pirard conseille Julien sur l'attitude à adopter chez le marquis. Il fait son instruction morale relativement à la vie parisienne -Chevalier de Beauvoisis-lieutenant du 96e (témoin)-le "faux chevalier"=le conducteur-le marquis de la Môle qui lui apprend à jouer des

ses réactions. Ce sont les bases de la psychologie. En effet ce roman est avant tout un roman psychologique, d’analyse des sentiments des personnages ce qui est rare à l’époque. Julien est aussi animé de passions amoureuses : Face à lui, Mathilde de la Mole et Mme de Rênal incarnent deux représentations opposées de l’amour, plus passionnel chez l’une, plus intellectuel chez l’autre. Il y a un point de vue interne de Julien : Il tressaillit quand une voix douce lui dit tout près de l'oreille :

fréquente les salons de la grande aristocratie et découvre l’ennui et la convention, une aristocratie repliée sur de valeurs qu’elle a peur de perdre. Il est prêt à se marier avec Mathilde de la Mole, une fille remarquée dans l’aristocratie lorsqu’une lettre de Mme de Rénal dénonçant son arrivisme parvient au marquis de la Mole. Stendhal montre ainsi l’atmosphère étouffante de la Restauration (espionnage, lettres anonymes …) Julien, pour se venger, tire sur Mme de Rénal en pleine messe, et se fait condamner

« en termes généraux ». Voici donc un parfait homme du monde. Pourtant, ce qu'il cherche dans les journaux n'est ni le savoir ni la réflexion mais la simple possibilité d'alimenter une conversation mondaine. Il ne semble guère avoir plus de fond. Mathilde, sa sœur, est également décrite comme une « fin de race ». Elle a certes reçu l'éducation la plus conforme à son rang, une « éducation éminemment monarchique et religieuse » dans un couvent, mais elle s'ennuie, elle cherche donc le « piquant de l'esprit »

parties : la première retrace le parcours de Julien Sorel dans la petite ville de Verrières et plus particulièrement son entrée chez les Rênal, ainsi que son séjour dans un séminaire. La seconde la vie du héros à Paris comme secrétaire de monsieur de La Mole et son déchirement entre ambitions et sentiments, incluant son amour pour la fille de ce dernier, et sa tentative de meurtre contre Madame de Rênal qui aboutira à sa condamnation à mort. Première partie En épigraphe, Le Rouge et le Noir, Chronique

une épée est ridicule : c’est une réaction du moyen-âge. Cela correspond a la folie qu’avait qualifié Julien : il veut la tuer, mais cette folie ne dure pas. Matilde a une réaction bizarre : elle retombe amoureuse, elle ne le trouve pas ridicule. Mathilde s’ennuie de son époque, elle est passionnée par l’histoire. Cela correspond a un certain type de romantisme, ce qui est lié à une insatisfaction : un sentiment que la France est devenue petite et que l’on ne peux plus s’aimer. C’est lié au rétrécissement

Julien devient précepteur des enfants des de Rhênal ; puis à Besançon , Julien est au séminaire. Deuxième partie  : elle se passe essentiellement à Paris, dans le très grand monde, Julien est secrétaire particulier du marquis de La Mole ; puis en Franche-Comté, Verrières + Besançon. 2)Ce roman est ce que l'on appelle un roman de formation ou un roman d'éducation (ou encore d'apprentissage). Le personnage principal est jeune et va acquérir

Julien qui est de modeste origine ayant une grande ambition. D’un fils de charpentier au précepteur des Rênal, puis le clerc au séminaire de Besançon, ensuite le secrétaire du marquis de La Mole, enfin le lieutenant de hussards à Strasbourg, Julien tombe amoureux avec Madame de Rênal, sa maîtresse et Mathilde, la fille du marquis. Enfin il est condamné à la guillotine parce qu’il tire Madame de Rênal qui écrit une lettre sur leur relation au marquis. Il y a beaucoup de chose m’impressionne dans

pour se rendre à Paris. Le marquis de La Mole, personnage important, proche des milieux du pouvoir, lui offre un emploi pour mieux surveiller ses affaires. Julien est saisi par Paris, sa vie, ses mÏurs, le comportement des gens. Il y découvrira le vrai snobisme, les jeux cruels de la langue, l’opéra, le théâtre, les intrigues bien plus poussées qu'en province. Il sympathisera assez vite avec le fils du marquis, Norbert de La Mole, mais la fille, Mathilde, entourée de toute une cour à la langue des

Stendhal est influencé par l'art de la peinture italienne et, notamment, par le clair-obscur d'Antonio Le Corrège. À l'instar de celui-ci, sa technique romanesque consiste à estomper et à analyser. Dans Le Rouge, Stendhal ne cesse de qualifier Mathilde de La Mole de "cette âme vaniteuse" et ce n'est que, dans la dynamique du récit, qu'on découvre, par quelques mots qui lui échappent, qu'elle est effectivement prétentieuse: "J'ai horreur de me livrer au premier venu". Aussi le mot propre succède-t-il