Matelot

lettres à sa sœur Marguerite lui racontant sa vie de matelot. Un jour, il voit passer un traîneau avec dessus un géant, mais Robert est trop loin pour le voir plus précisément. Le jour suivant, il fait monter à bord du navire un homme qui était coincé sur la glace avec son traîneau. Cet homme s’appelle Victor Frankenstein. Presque mourant, il se fait soigner par Robert. Après avoir recouvert un peu de sa santé, il décide de raconter son histoire au matelot. Il vient d’une famille nombreuse qui vit à Genève

personnage mystérieux et inquiétant Ce chapitre d’ouverture est centré sur la présentation d’un personnage énigmatique et inquiétant dont l’identité n’est pas immédiatement révélée : Billy Bones. Son visage balafré d’un coup de sabre, la chanson de matelot qu’il fredonne, son goût immodéré pour le rhum, la violence de ses réactions et la crainte que lui inspire la venue d’autres marins font entrer immédiatement le lecteur dans l’univers de la flibuste. L’hyperbole utilisée pour décrire la façon dont

(vocabulaire moderne), chant des matelots, "exotique nature",... Le rythme saccadé du vers 15 traduit le doute, mais aussi l’excitation b) Le voyage est source d'inspiration : Le voyage va permettre au poète de développer sa créativité Le désir de créativité se traduit par : - Allusion aux oiseaux et aux cieux : représentation métaphorique de l’inspiration et de la situation du poète. - L’écume inconnue connote l’élévation hors du monde monotone - Le chant des matelots : association de la création

frise qui, encadre la scène. 5. . Décrivez la scène représentée. De quel œuvre littéraire est-elle tirée ? Retrouvez le texte original et recopiez le passage qui est illustré par ce vase. Les chants merveilleux des sirènes charmaient les matelots qui passaient, et, incapables de se retenir, pour mieux entendre leurs voix divines, ils allaient droits sur les écueils, où ils coulaient et où les sirènes les mangeaient. Ulysse donna à ses amis de la cire, qu’ils devaient se mettre dans les oreilles

très réaliste qu’est l’inventaire dans le commerce. Il s’agit ensuite pour l’auteur de nous présenter des personnages à bord d’un navire. Tout d’abord, on constate qu’à la fin du passage, « l’équipage » boit de la liqueur, ceci fait référence aux matelots et aux équipages qui boivent beaucoup d’alcool à bord des navires. M. Guillaume « ressemblait à un capitaine » l.25-26, notamment avec « la plume derrière l’oreille » l.25 et « son aune à la main » l.24. Ce commandant a donc une posture semblable

Clélia, L3 » « un ivrogne, L15 »  et «  des gens L.10 » qu’il eu crut entendre, puis «  la duchesse, L.26 ». Dans le texte 2 nous parlons des hommes qui portaient Edmond Dantès pour le jeter dans l’eau « deux hommes L.2 » et dans le texte 3 « les matelots » « la foule ». Donc, ce corpus montre bien la différences d’importances entres les personnages principaux et les personnages secondaires. Mais aussi dans ce corpus nous verrons en second lieu en quoi ces trois personnages peuvent-ils apparaître

décor sur une scène tendue, comme nous l'a si bien dit Gabrielle ; cette vignette en comporte trois plus petites créant un effet de zoom sur les visages des personnages. Gil intervient alors pour préciser que ces derniers sont des négriers, des matelots ainsi qu'un chirurgien et une femme, Isabeau. Celle-ci est au cœur de la vignette tout comme au cœur du débat , nous parlons ici de débat, car il n'y a pas d'avis unique; ce qui est rare, car une femme à cette époque ne traite pas de ce genre de

Rosse, Fernande et Raphaele, Louise Cocotte, Flora balançoire… Chaque soires, des clients viennent les rendre visitent. Un soir, Madame donna rendez_vous à certaines personnes, malheureusement la maison était fermé. Des matelots français et anglais étaient tellement impatient qu’un matelot de chaque camps furent bléssés, puis certains bourgeois aussi se disputèrent car il ne comprennait pas pourquoi la maison était fermé. Un mot été accroché, la maison été fermé a cause de la communion de la fieuile de

1840, vers six heures du matin, la Ville-de-Montereau, près de partir, fumait à gros tourbillons devant le quai Saint-Bernard. Des gens arrivaient hors d’haleine ; des barriques, des câbles, des corbeilles de linge gênaient la circulation ; les matelots ne répondaient à personne ; on se heurtait ; les colis montaient entre les deux tambours, et le tapage s’absorbait dans le bruissement de la vapeur, qui, s’échappant par des plaques de tôle, enveloppait tout d’une nuée blanchâtre, tandis que la cloche

cruels espoirs, Croit encore à l'adieu suprême des mouchoirs! Et, peut-être, les mâts, invitant les orages Sont-ils de ceux qu'un vent penche sur les naufrages Perdus, sans mâts, sans mâts, ni fertiles îlots... Mais, ô mon coeur, entends le chant des matelots! Introduction :    Le thème de l'ailleurs, du départ, du voyage parcourt le 19ème siècle comme l'obsession de la fuite et le refus répété du réel immédiat. Dans le sillage de Baudelaire, Mallarmé exprime dans un élan lyrique comparable à un envol