Masse volumique de l'air

construction. 2. LES ELEMENTS CONSTITUTIFS D’UN SOL Un échantillon de sol est constitué de trois phases : une phase gazeuse, une phase liquide, une phase solide. 2.1. La phase gazeuse En Génie Civil, le gaz contenu dans le sol est généralement de l’air pour les sols sec ou un mélange d’air et de vapeur d’eau pour les sols humides. Lorsque tous les vides sont remplis d’eau le sol est dit saturé. 2.2. La phase liquide Au sein d’un échantillon de sol fin (dimensions 20 µ) Les sols pulvérulents

* La résultante des forces de traînée et de portance. Les forces que nous étudierons sont principalement la trainée et la portance. Lorsque le vent rentre en contact avec la pale, il agit directement sur celle-ci : c’est une force de pression. L’air se comprimant sur la pale, il y a une surpression et, une dépression de l’autre côté de la pale. Comme le dit la phrase célèbre : « la nature a horreur du vide », le manque d’air de l’autre côté va être comblé. Pour que cela puisse se faire, la pale

deux-guerres qui vont stimuler le besoin d’améliorer les capacités des dirigeables : elle va marquer la consécration des dirigeables Zeppelin. En quatre ans ils vont être profondément améliorés, notamment la motorisation, l'aérodynamique et la masse. Certains dépasseront même 200 mètres. On peut observer les évolutions chronologiques de ces ballons : (voir annexe 1) Ils seront 96 Zeppelin en tout à avoir bombardé la ville de Londres sur les ordres de l’Empire Allemand. Ils effectueront également

barrages bien particuliers, par exemple les usines marémotrices, dont nous ne traiterons pas ici de la spécificité. Problématique : Par quelles transformations energetiques peut-on produire de l'electricite utilisable dans nos foyers a partir de la masse d'eau contenue dans un barrage ? Les barrages Principaux types d'ouvrages Il existe plusieurs types de barrages, tous adaptés à une certaine situation; il s'agira donc d'abord d'expliquer les contraintes, puis d'exposer les 3 types de barrages

- Prépa Santé 2 Chapitre 1 Mesure de quantité de matière 1.1 Masse et quantité de matière Masse molaire atomique (ou moléculaire) = masse d’une mole d’atomes (ou de molécules) de l’espèce chimique considérée. Unité : g · mol−1 , notation habituelle M. Les classiques à connaître : M(H) = 1 g · mol−1 ; M(C) = 12 g · mol−1 ; M(N) = 14 g · mol−1 ; M(O) = 16 g · mol−1 . Remarque : L’unité SI (système international) de masse est le kg, mais en chimie on a pour habitude de mesurer les masses en

D’après les légendes du schéma explicatif, le ballon peut atterrir devant son point de départ car le joueur court lors du lancer du ballon. Si on néglige les frottements de l’air, il n’y a pas de forces horizontales exercées sur le ballon après son lancer par le joueur. D’après le principe d’inertie, si on néglige les frottements de l’air, le ballon de rugby serait tombé au pied de Yoann Huget s’il l’avait lâché en courant en ligne droite à vitesse constante (sans le lancer vers l’arrière). La valeur de

la vitesse de rotation du bol, avant de pénétrer dans les canaux de séparation de la pile de disques (2). La force centrifuge projette le lait vers l’extérieur, formant un anneau à surface intérieure cylindrique. Ceci s’effectue en contact avec de l’air à la pression atmosphérique, le lait au niveau de la surface étant donc également à la pression atmosphérique. La pression augmente progressivement avec l’éloignement de l’axe de rotation, jusqu’à atteindre son maximum à la périphérie du bol. Les particules

effectives ou variables indépendantes.................................. 2.2.1 Hypothèse des contraintes effectives en sol non saturé................. 2.2.2 Analyse en variables indépendantes ................................................ Déformations volumiques .......................................................................... Résistance au cisaillement.......................................................................... 2.4.1 Résultats expérimentaux à la rupture..........................

Nomenclature A: débit molaire total de l'alimentation B: débit molaire total du résidu D : débit molaire total du distillat Lv Chaleur latente de vaporisation NET: nombre d'étage théorique NETmin: nombre d'étage théorique minimal Qv Débit volumique de l’eau de refroidissement au niveau du condenseur R: taux de reflux L: débit molaire total du reflux dans le tronçon de concentration de la colonne L': débit molaire total de reflux dans le tronçon d'épuisement de la colonne Rmin: taux

3 – définition de « l’atmosphère standard » C’est une atmosphère théorique qui a été définie pour les besoins de l’aéronautique (altimétrie). Elle est définie au niveau de la mer : - température : 15°c - pression : 1013,25 hpa - masse volumique : 1,225 Kg/m3 1.4 – variations de températures 1.4.1 – diminution de température en atmosphère standard En atmosphère standard la température diminue de 6,5°c lorsque l’on s’élève de 1000 mètres. 1.4.2 – isothermie et inversion de température